Thématique Stablecoin

Crypto : Mastercard et ses partenaires réinventent l’économie numérique avec l’intégration des stablecoins dans les paiements. Les détails !

Malgré une forte concurrence, Tether domine le marché des stablecoins crypto avec une part de 66 % et des bénéfices record. Les détails ici !

Les Émirats arabes unis franchissent une nouvelle étape dans leur ambition de devenir un hub mondial des cryptomonnaies. Le fonds souverain d'Abu Dhabi ADQ, le conglomérat International Holding Company (IHC) et la First Abu Dhabi Bank (FAB) ont annoncé lundi leur collaboration pour créer un stablecoin adossé au dirham, entièrement régulé par la banque centrale émiratie.

Ripple, en mode « burn & mint », veut écraser Tether avec son stablecoin RLUSD. Objectif : figurer dans le top 5 des stablecoins d’ici décembre. À suivre, mais ça chauffe !

La blockchain pourrait vivre en 2025 son grand tournant, comparable à l’explosion de ChatGPT dans l’IA. Portée par une régulation favorable et l’essor des stablecoins, cette technologie est en passe de révolutionner la finance traditionnelle et les systèmes publics, selon une analyse percutante de la banque américaine Citigroup.

Les cryptos gagnent en légitimité. Powell mise sur les stablecoins et une législation claire, avec des régulations adaptées, même face à des prévisions économiques moins optimistes pour les États-Unis.

Le ministère des Finances russe explore la possibilité de développer son propre stablecoin. Ceci intervient après les récentes sanctions américaines et les actions de Tether, qui ont bloqué des portefeuilles liés à l’échange Garantex. Une initiative qui vise surtout à éviter les risques de dépendance liés aux stablecoins étrangers, comme l’USDT.

Le ministre italien de l’économie et des finances, Giancarlo Giorgetti, a exprimé ses inquiétudes quant à la menace posée par les stablecoins américains, soulignant qu’ils pourraient représenter un danger plus grand que les tarifs douaniers de Donald Trump. Selon lui, ces cryptos adossées au dollar risquent de perturber la stabilité financière de l’Europe.

Le jeu crypto de la famille Trump inspiré du Monopoly : un projet qui pourrait transformer l’immobilier numérique. Les détails ici !

Les stablecoins, ces cryptos adossées à des actifs réels, pourraient voir leur offre augmenter de manière spectaculaire, atteignant 2 000 milliards de dollars d’ici 2028, selon une récente analyse. Actuellement évalué à environ 230 milliards de dollars, ce marché pourrait ainsi être multiplié par dix dans les prochaines années, porté par des législations imminentes aux États-Unis.

WLFI, dont la famille Trump est partenaire, teste son stablecoin avec un airdrop de USD1. Si cette initiative attire l’attention, elle suscite également des inquiétudes sur la régulation.

Tether, leader de l'USDT, prépare un nouveau stablecoin américain destiné aux institutions financières. Ce projet stratégique émerge alors que Washington progresse vers un cadre réglementaire pour ces monnaies numériques adossées au dollar.

Le réseau Ethereum franchit un cap historique avec 200 000 adresses détenant des stablecoins. Cette adoption record s'impose comme colonne vertébrale d'une économie numérique plus mature, pouvant rabattre les cartes pour cet altcoin dont le cours peine à décoller.

Dans un contexte macroéconomique incertain, une tendance claire se dessine : les stablecoins entrent dans un bull market indépendant, selon le gestionnaire d’actifs VanEck dans son rapport d’avril 2025. Pendant que les plateformes de smart contracts comme Solana et Ethereum subissent un net ralentissement, les stablecoins gagnent du terrain à grande vitesse dans l’écosystème crypto.

Tether, cette baleine des mers numériques, s’empare de 8 888 BTC, sa quête inébranlable pour l’élévation du dollar dans un monde fluctuant où seule la stabilité du Bitcoin brille.

Binance arrête le trading de l’USDT en Europe, une décision historique dictée par la réglementation MiCA. Ce tournant majeur impacte directement les utilisateurs crypto de l’EEE et redéfinit l’avenir des stablecoins sur le vieux continent. Est-ce la fin de l’USDT en Europe ? Quelles solutions pour les investisseurs crypto ?

Imaginez un président, bâtisseur de gratte-ciels et de scandales, frappant monnaie au gré des lois qu’il écrit. L’USD1 n’est pas qu’un stablecoin, c’est le ticket d’entrée vers une finance sans garde-fou.

Le stablecoin USD Coin (USDC) de Circle vient d'atteindre un niveau record avec une capitalisation boursière dépassant les 60 milliards de dollars. Cette étape symbolique s'inscrit dans une tendance plus large d'expansion du marché des stablecoins, dont la capitalisation globale dépasse désormais les 230 milliards de dollars.

GameStop bouscule les codes. En effet, le conseil d’administration du géant du jeu vidéo vient d’approuver l’ajout du bitcoin à sa trésorerie. Loin d’un simple effet d’annonce, cette décision marque une rupture stratégique pour une entreprise en pleine mutation, bien décidée à s’aligner sur les nouvelles dynamiques économiques après des années d’instabilité. Un signal fort à destination des marchés et de l’écosystème crypto.

Et si votre portefeuille numérique devenait votre banquier ? C’est le pari que Sam Altman, PDG d’OpenAI, semble vouloir relever avec Worldcoin. Selon des sources proches du dossier, Tools for Humanity, la société derrière ce projet, négocierait avec Visa pour créer un portefeuille de paiements en stablecoin. Une alliance entre l’audace crypto et l’infrastructure financière traditionnelle. Objectif : transformer le World Wallet en un « mini-compte bancaire » universel. Mais derrière cette promesse se cachent des défis aussi complexes que les iris scannés par Worldcoin.  

Imaginez un monde où l’or retrouve sa couronne, non pas sous forme de lingots planqués dans un coffre, mais via des jetons numériques scintillants. Max Keiser, éternel trublion de la finance crypto, n’y va pas par quatre chemins. Selon lui, les stablecoins adossés à l’or pourraient bien faire mordre la poussière à ceux indexés sur le dollar et provoquer la fin de l’USD. Comment ?

L’Union européenne vit une révolution discrète, mais tenace. Un rapport récent d’Oobit, plateforme spécialisée dans les paiements cryptos, révèle que 70 % des transactions en crypto sur son réseau sont absorbés par le commerce de détail, l’alimentation et les boissons. Un chiffre qui pulvérise les clichés sur l’usage marginal des cryptomonnaies. Mais comment expliquer cette infiltration silencieuse dans le quotidien des Européens ? Entre adoption réglementaire et pragmatisme économique, le paysage se redessine.  

Ethereum continue d’asseoir sa suprématie dans l’univers des stablecoins, avec un volume de transactions record de 850 milliards de dollars, largement dominé par l’USDT et l’USDC. Cette croissance fulgurante soulève des interrogations : cette adoption massive peut-elle réellement impacter la valorisation d’ETH ou au contraire profiter à ses concurrents ?

Tether surpasse le Canada et devient le 7e acheteur de bons du Trésor US. Quelles sont les conséquences pour le marché crypto ?

Depuis des décennies, le dollar américain domine le commerce international et s’impose comme une réserve mondiale incontournable. Mais ce règne absolu est désormais remis en question par le bloc des BRICS. Ainsi, les tensions géopolitiques et l’essor des cryptos poussent plusieurs pays à chercher des alternatives au billet vert. Le bitcoin et les stablecoins émergent alors comme des instruments capables de contourner la suprématie du dollar, mais paradoxalement, ils pourraient aussi renforcer son influence.

Le marché crypto frémit, les traders accumulent, les stablecoins s’envolent. Un prélude à la fête haussière ou le chant du cygne avant un krach inattendu ? L’énigme persiste.

Le membre du Congrès américain Tom Emmer a récemment réaffirmé son soutien aux stablecoins et son opposition farouche aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC), qu’il considère comme une menace pour la liberté financière des citoyens. Lors d’une récente intervention ce 11 mars 2025, Emmer a présenté à nouveau son projet de loi pro-stablecoins visant à promouvoir ces actifs numériques tout en freinant le développement des CBDC aux États-Unis.

Alors que les États-Unis embrassent le bitcoin, l'Europe s'embourbe en continuant de mettre en avant la dystopique de l'euro numérique.