Trump brandit son glaive tarifaire, le Bitcoin vacille, tangue et trébuche, mais comme un boxeur sonné, il se relève, prêt pour un nouveau round.
Trump brandit son glaive tarifaire, le Bitcoin vacille, tangue et trébuche, mais comme un boxeur sonné, il se relève, prêt pour un nouveau round.
Les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs principaux partenaires refont surface, et ravivent le spectre d’une nouvelle guerre économique. Washington a annoncé une hausse des droits de douane qui visent le Canada, le Mexique et la Chine, une décision qui marque le retour du protectionnisme cher à Donald Trump. Cette offensive tarifaire a aussitôt déclenché des réactions partout, notamment en Europe, où la Commission européenne surveille la situation avec attention. Si l’Union européenne n’est pas encore directement touchée, Bruxelles redoute un élargissement des mesures américaines et prévient qu’elle ne restera pas passive. La Commission a d’ores et déjà exprimé son ferme désaccord avec cette politique et se dit prête à adopter des mesures de rétorsion pour protéger les intérêts économiques du continent. Face à cette nouvelle offensive commerciale des États-Unis, le risque d’une escalade entre les deux blocs ne peut être écarté.
Les États-Unis ravivent les tensions commerciales avec leurs principaux partenaires économiques. Donald Trump vient d’annoncer de nouvelles taxes massives sur les importations en provenance du Canada, du Mexique et de la Chine, et relance une politique protectionniste agressive. Présentée comme une réponse à la lutte contre le trafic de fentanyl et l’immigration illégale, cette décision s’intègre surtout dans une stratégie plus large qui vise à renégocier les accords commerciaux nord-américains et à protéger l’industrie américaine face à la concurrence chinoise. Cette escalade a immédiatement provoqué une réaction virulente des pays visés, qui préparent déjà des mesures de rétorsion, ce qui laisse présager un nouveau bras de fer économique aux conséquences encore incertaines.
Depuis plusieurs années, MicroStrategy s’impose comme une figure de proue dans l’adoption institutionnelle du Bitcoin, avec l’accumulation de plus de 450 000 BTC dans ses réserves. Cette stratégie audacieuse, menée par Michael Saylor, a valu à l’entreprise une position centrale dans l’écosystème crypto. Pourtant, une nouvelle réglementation fiscale aux États-Unis pourrait bouleverser cet équilibre. L’entreprise serait potentiellement redevable d’impôts sur ses gains non réalisés, estimés à 19,3 milliards de dollars. Ce développement, sans précédent dans le domaine des cryptos, provoque des questions capitales sur les implications de ces règles pour les sociétés exposées à ces actifs et sur l’avenir des stratégies d’investissement.
« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
Sous les cieux assombris du budget, le Medef propose une réforme tranchante : retirer aux retraités leur précieux abattement fiscal. Une idée où l’économie dialogue avec l’injustice.
Quelques déclarations suffisent à faire vaciller les marchés, et Donald Trump l’a une nouvelle fois démontré. Un article du Washington Post a laissé entendre que son équipe explorait une approche plus nuancée en matière de politique tarifaire. Cette seule hypothèse a suffi à propulser les indices boursiers vers le haut, avec les investisseurs qui parient sur un assouplissement des tensions commerciales. Pourtant, l’ancien président n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, il a fermement démenti ces informations, et dénonce une énième tentative de manipulation médiatique. Ce revirement brutal a déclenché une onde de choc sur les places financières.
En 2025, les Américains prévoient une hausse des marchés boursiers et une intensification des conflits internationaux. Cette dualité pourrait influencer les marchés financiers et crypto, rendant l'année en cours à la fois prometteuse et incertaine pour les États-Unis.
Un analyste financier de renom, Dr. Jim Willie, a récemment tiré la sonnette d'alarme concernant une crise massive de la dette qui pourrait frapper l'économie américaine en 2025. Selon lui, les États-Unis se dirigent vers un point critique avec 7 000 milliards de dollars de dette arrivant à échéance, ce qui pourrait déclencher une crise économique majeure.
La secrétaire au Trésor des États-Unis, Janet Yellen, a récemment averti que le plafond de la dette américaine pourrait être atteint dès la mi-janvier 2025. Selon ses déclarations, le Trésor s'attend à atteindre cette nouvelle limite entre le 14 et le 23 janvier, moment où des mesures extraordinaires devront être prises pour éviter un défaut de paiement.
Le commerce mondial traverse une période marquée par des tensions croissantes, où diplomatie et économie s’entremêlent dans des rivalités stratégiques. En effet, l’ouverture par la Chine d’une enquête antidumping sur les importations de cognac européen renseigne sur un nouveau front dans le conflit commercial avec l’Union européenne. Cette démarche, perçue comme une réponse directe aux accusations européennes contre les subventions chinoises aux véhicules électriques, reflète une escalade des représailles économiques entre deux puissances majeures. Un tel dossier va au-delà d’un simple différend commercial. Il pose des questions fondamentales sur l’équilibre des échanges internationaux et le rôle des institutions comme l’Organisation mondiale du commerce pour arbitrer ces différends dans un contexte de rivalités de plus en plus complexes.
Les traders de crypto en Inde évoluent dans un climat d’incertitude constant. Tantôt, le gouvernement promet une régulation ouvrant la voie à un cadre légal stable, tantôt, il fait planer la menace d’une répression sur le bitcoin et les autres crypto-actifs. Cette instabilité tient les utilisateurs crypto en haleine. Pourtant, malgré des taxes jugées décourageantes, l’Inde affiche une adoption crypto impressionnante, poussée par sa jeunesse et ses avancées technologiques.
Les politiques économiques américaines entrent dans une nouvelle phase de confrontation. Donald Trump, à l’aube de son nouveau mandat présidentiel, annonce des mesures protectionnistes qui ravivent les tensions commerciales avec plusieurs partenaires clés. Ce projet, qui s’insère dans une vision résolument nationaliste, pourrait bouleverser les relations commerciales mondiales. Entre menaces explicites et mesures concrètes, cette initiative s’impose comme un point d’inflexion dans les échanges internationaux, qui affectent des nations aussi diverses que la Chine, le Mexique et le Canada.
La fiscalité immobilière, déjà complexe, fait à nouveau parler d’elle. Cette fois, ce sont les propriétaires qui se retrouvent au cœur d’une polémique fiscale d’ampleur. Une erreur technique dans l’émission des avis d’imposition a conduit de nombreux propriétaires à être taxés à tort sur des logements déclarés vacants. Cette situation inattendue, qui touche un nombre encore indéterminé de contribuables, renseigne davantage sur les défis liés à la gestion des données et au respect des obligations déclaratives.
L’annonce du retour du protectionnisme de Donald Trump constitue un changement notable dans les relations économiques transatlantiques, car il menace de raviver les tensions commerciales entre les États-Unis et l'Europe. Face à une politique qui pourrait à nouveau ébranler les échanges internationaux, la France se montre prête à défendre vigoureusement ses intérêts. En jeu, les secteurs stratégiques de l’industrie et de l’agriculture, alors que l’Union européenne envisage de nouvelles mesures pour protéger son économie. Ainsi, entre détermination française et concertation européenne, le débat autour du protectionnisme américain ne cesse de s'intensifier, avec des implications majeures pour les acteurs économiques des deux côtés de l'Atlantique.
Nouveau mandat pour Trump : un cocktail explosif d'économie musclée, entre forages frénétiques et tarifs douaniers percutants. La fête commence !
En 2023, la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales avait allégé le fardeau de nombreux foyers, mais cette mesure a également creusé un trou financier de près de 20 milliards d’euros dans les caisses des collectivités. Aujourd’hui, face à des déficits budgétaires importants et une hausse de la taxe foncière qui ne suffit plus, le gouvernement envisage une « contribution territoriale universelle » (CTU). Soutenue par certaines figures politiques, cette mesure viserait à rééquilibrer les ressources locales par la contribution des propriétaires, mais aussi les locataires.
Alors que le débat sur les recettes budgétaires fait rage et que les tensions s'accumulent, un nouvel impôt de 40 milliards d'euros pourrait faire vaciller encore davantage l'économie de la France, déjà fragile. Lors d'une intervention ce dimanche 27 octobre, Pierre Lellouche, ancien ministre, a tiré la sonnette d’alarme : « l'économie française va subir un choc qui va l'arrêter au pire moment ». Cette déclaration, lourde de conséquences, s’inscrit dans un contexte où la relance économique est plus que jamais nécessaire, mais où les marges de manœuvre se réduisent de jour en jour.
Alors que les gouvernements cherchent à maintenir le contrôle sur leurs finances et à combler des déficits budgétaires toujours plus importants, un nouvel ennemi semble se dresser sur leur chemin : le Bitcoin. La crypto, avec son offre limitée et sa nature décentralisée, perturbe les modèles économiques traditionnels, et force certains acteurs à envisager des mesures radicales. C’est dans ce contexte que la Federal Reserve Bank de Minneapolis a publié nouvellement un rapport explosif qui suggère que pour maintenir des déficits permanents, les gouvernements devraient soit taxer, soit purement et simplement interdire Bitcoin. Une telle déclaration choc intervient alors que les États-Unis peinent à contenir leur dette nationale, qui atteint des niveaux records, et que la régulation des cryptos devient un sujet sensible.
En voilà un budget ! Barnier taille, coupe, ponctionne... et les Français grognent plus fort que jamais.
Les grandes banques françaises, expertes en évasion fiscale et en déforestation, savent comment planter la planète et plumer leurs clients !
L’adoption des cryptos vient de franchir un cap historique aux États-Unis. En effet, l'État de la Louisiane a annoncé qu'il accepte désormais officiellement le Bitcoin et d'autres cryptos comme moyens de paiement pour ses services publics. Dans un contexte où les gouvernements hésitent encore à réguler ces actifs, cette décision audacieuse place la Louisiane en tête de file des États pionniers dans l'intégration des cryptos au sein de l’administration publique.
En France, la taxe foncière 2024 affiche une hausse de 3,9 % minimum dans certaines communes. Les détails dans cet article !
La crypto en France fait face à de nouveaux défis fiscaux après les récentes élections législatives ! Devrait-on payer plus chère ?
Dans la ville suisse de Lugano, il est possible de payer ses impôts avec les cryptos Bitcoin et Tether. Plus de détails dans cet article.
Blockpit s’offre Accointing, la plateforme de taxation des cryptomonnaies de Glassnode.
Le président américain Biden a déclaré qu’il rendra le système fiscal équitable en ayant l’industrie crypto dans le viseur. En effet, il éliminera les échappatoires pour les traders de cryptos. De nouvelles règles sur les taxes devraient permettre de combler les lacunes en matière de crypto. Mais à quelles lacunes le président fait-il allusion ? Les récentes déclarations nous donnent la réponse.
Découvrez comment Deloitte renforce son équipe aux États-Unis avec de nouvelles embauches pour dominer le marché crypto.
Le président américain, Joe Biden, a publié son projet de budget pour cette année. Ce dernier prévoit une hausse générale de taxes dans de nombreux secteurs y compris le minage des cryptomonnaies. L’industrie du mining est visée par une taxe de 30% sur l'électricité.
Dans son plan budgétaire 2024, Biden veut doubler les gains en capital de certains investisseurs et refréner le wash trading de crypto.