JPMorgan jette un pont crypto entre TradFi et DeFi. Une transaction tokenisée qui secoue les banques, pendant que certains géants tech regardent ailleurs, prudents et indifférents.
JPMorgan jette un pont crypto entre TradFi et DeFi. Une transaction tokenisée qui secoue les banques, pendant que certains géants tech regardent ailleurs, prudents et indifférents.
Quand la crypto joue à saute-mouton avec l’ordinateur quantique, BlackRock met le bitcoin en garde, pendant que les hackers du futur se frottent déjà les mains.
Un sourire en coin, une réponse évasive. Lors d’un récent épisode du podcast Crypto Beat de The Block, Dan Finlay, cofondateur de MetaMask, a relancé les spéculations sur un hypothétique jeton natif pour le portefeuille Ethereum. « Peut-être », a-t-il lâché, sous-entendant une possibilité longtemps mijotée en coulisses. Si l’idée d’une crypto maison agite la communauté depuis 2021, les déclarations de Finlay révèlent autant d’enthousiasme que de prudence. Entre décentralisation progressive, régulations mouvantes et craintes de fraudes, MetaMask navigue dans un paysage où chaque pas compte.
Solana s’impose dans l’univers crypto en surpassant nettement toutes les autres blockchains L1 et L2 en revenus réseau. Ce succès repose sur plusieurs facteurs déterminants qui renforcent son attractivité et sa pertinence. Solana est-elle en passe de détrôner le bitcoin et de devenir la première blockchain mondiale ?
Chaque année, des milliards dorment dans des biens figés : immobilier, matières premières, créances. L’économie en souffre, l’investissement stagne, l’inclusion recule. Et si la solution venait du Web3 ? Real pense que tout le monde devrait posséder une part du monde réel. Grâce à sa blockchain dédiée, elle rend enfin la tokenisation fluide, transparente et inclusive.
Après une phase de correction, Ondo montre des signes d'intérêt encourageants. Retrouvez notre analyse complète et les perspectives techniques du ONDO.
Le bitcoin frôle les 104 000 dollars, mais l’engouement des investisseurs particuliers s’effondre. Les recherches Google et les téléchargements d’applications de trading atteignent un creux inédit. Ce contraste révèle un paradoxe inquiétant : où sont passés les retail dans ce cycle haussier historique ?
Les adresses actives de Dogecoin ont bondi de manière spectaculaire, passant de 74 640 à 469 477 en une seule journée. Ce réveil soudain du réseau intervient alors que la SEC examine plusieurs demandes d'ETF Dogecoin. Mais ce regain d'intérêt suffira-t-il à propulser le prix vers de nouveaux sommets ?
Trump lève (un peu) le pied sur les surtaxes douanières : l’économie respire, les analystes toussent, et Pékin ricane. 90 jours de trêve, ou 90 jours avant l’orage ?
La récente poussée du XRP ne relève pas d’un simple sursaut technique. En l’espace de quelques jours, prix, volumes et open interest se sont envolés, traduisant un basculement structurel du marché. Loin d’un rebond isolé, cette dynamique révèle l’activation conjointe des acteurs spéculatifs et institutionnels autour de l’actif. À l’heure où les signaux convergent, l’écosystème Ripple semble entrer dans une nouvelle phase stratégique.
Dans l’univers crypto, ce ne sont pas toujours les innovations qui dictent la cadence, mais les décisions de la SEC. En repoussant l’examen des ETF Solana et Litecoin, le régulateur américain rappelle qu’aucun altcoin ne franchira la porte des marchés institutionnels sans son aval. Derrière ces reports, d’autres échéances approchent : le XRP, Polkadot, et le Dogecoin. Juin sera donc décisif. Chaque nouveau délai alimente les spéculations et dessine les contours d’une régulation qui pourrait bouleverser la donne.
Face à la multiplication des enlèvements visant le secteur crypto en France, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau organise ce vendredi une réunion d'urgence avec les entrepreneurs. Cette décision intervient après la tentative de kidnapping de la fille et du petit-fils du PDG de Paymium, mardi à Paris. La sécurité des acteurs crypto devient-elle un enjeu national ?
En 2025, les entreprises s’imposent comme les principaux acheteurs de bitcoin, surpassant les particuliers et les ETF. Ce basculement stratégique replace le BTC, conçu pour la décentralisation, entre les mains d’acteurs centralisés. La reine crypto peut-elle encore incarner une alternative populaire face à cette concentration grandissante ?
Longtemps perçus comme des suiveurs, les BRICS prennent aujourd’hui la tête de la croissance mondiale. D’après les dernières prévisions du FMI, ces puissances émergentes enregistrent en 2025 une dynamique économique nettement supérieure à celle des États-Unis. Ce basculement quantitatif devient stratégique : la montée en puissance des BRICS n’est plus une tendance, c’est un fait. Leur performance collective redéfinit les rapports de force et impose une relecture des équilibres géoéconomiques.
L'introduction en bourse d'eToro se lance sur le Nasdaq à 52 $ par action, dépassant les attentes. L'entreprise lève 310 millions de dollars, la valorisant à 4,2 milliards de dollars, et se positionne pour rivaliser avec des plateformes comme Robinhood.
Lorsque les ordinateurs quantiques réussiront à briser les algorithmes de chiffrement qui protègent nos blockchains, cela ne surprendra pas tout le monde. Depuis des années, les chercheurs et les experts nous avertissent : cette révolution sera rapide. Et le Web3—destiné à garantir confiance et sécurité—pourrait soudainement devenir vulnérable. L'infrastructure derrière de nombreuses chaînes actuelles n'est pas prête. Mises à jour complexes, migrations coûteuses, forks risqués. C'est là qu'intervient Naoris Protocol, un pionnier d'un nouveau paradigme : l'Infrastructure Post-Quantique Décentralisée, fonctionnant bien en dessous de toutes les couches traditionnelles de la blockchain. "Le jour Q est plus proche que vous ne le pensez : voici comment Naoris prépare votre blockchain pour l'avenir, sans nécessiter de fork."
C’est un paradoxe qui ferait froncer les sourcils aux économistes les plus aguerris : alors que le dollar vacille, l’économie asiatique, elle, se redresse avec une assurance presque insolente. À l’heure où la Réserve fédérale américaine temporise sur les taux d’intérêt, et où les tensions commerciales semblent s’assoupir sans vraiment se dissiper, l’Asie profite d’un souffle inattendu. Comme quoi, même dans le brouillard monétaire mondial, certains trouvent leur cap.
Ethereum affiche un rebond de plus de 50 % en moins de deux semaines. Retrouvez notre analyse complète et les perspectives techniques actuelles d’ETH.
La BRI révèle que 600 Mds $ en crypto ont circulé en 2024, majoritairement pour spéculation, pas pour usage réel. Les détails ici !
Tether vient d'acquérir près d'un demi-milliard de dollars en bitcoin dans le cadre d'une opération stratégique majeure. Cette transaction prépare le lancement de Twenty One, une nouvelle société de trésorerie Bitcoin qui s'apprête à faire son entrée au Nasdaq via une fusion SPAC. Une manœuvre qui pourrait redéfinir les standards de la gestion institutionnelle des cryptos.
Ethereum s’envole avec une hausse de 50 % en une semaine, réveillant l’enthousiasme du marché crypto. Les indicateurs techniques s’alignent, l’inflation ralentit, et une baisse des taux devient plausible. Ce contexte explosif pourrait-il propulser l’ETH vers les 4 000 dollars comme certains l’annoncent ? L’élan actuel semble prometteur.
Le marché crypto s’agite. Les altcoins, jadis relégués au second plan, se redressent avec une vigueur surprenante. D’un côté, la domination du bitcoin s’érode, de l’autre, l’USDT se déleste peu à peu de sa couronne de stablecoin-roi. Ensemble, ces mouvements dessinent les contours d’une saison des altcoins prometteuse.
La gouverneure de l'Arizona, Katie Hobbs, a opposé son veto à deux projets de loi liés à la cryptomonnaie en raison de préoccupations concernant la volatilité du marché, tout en approuvant une loi pour réguler les distributeurs automatiques de cryptomonnaie, fixant des limites sur les transactions et exigeant des protections contre la fraude.
Pendant que les baleines planquent leur or numérique, les petits rament. Le bitcoin s’évapore, les ETF l’enferment, et la promesse d’une crypto décentralisée prend un virage oligarchique.
Dans un marché crypto saturé de promesses, Solana impose sa réalité chiffrée. Longtemps perçue comme un outsider, la blockchain vient de dépasser plusieurs poids lourds du secteur, affichant une TVL record, des frais en forte hausse et une adoption DeFi soutenue. Tandis que le SOL a bondi de 24,8 % % entre le 6 et le 10 mai, les indicateurs on-chain confirment une dynamique solide, bien au-delà du simple effet de marché.
XRP grimpe, les traders jubilent, l’intérêt ouvert explose : la crypto star du moment pourrait bien refaire le coup des 3 dollars, pendant que le marché retient son souffle... et ses stops.
Dans un marché crypto où la volatilité est la norme, le bitcoin vient de franchir un cap inattendu. Il est désormais moins instable que le S&P 500 et le Nasdaq. Ce glissement discret, mais significatif, révélé par Galaxy Digital, remet en cause une décennie de perception d’un actif jugé trop risqué pour les portefeuilles traditionnels. Plus qu’un simple indicateur technique, ce signal pourrait marquer un changement de statut durable pour la première crypto.
Le 13 mai 2025 à Riyad, Donald Trump a signé avec l’Arabie saoudite un partenariat stratégique estimé à 600 milliards de dollars. Au-delà de la somme, c’est la nature de l’alliance, entre défense, tech et énergie, qui interpelle. Tandis que Washington renforce son ancrage au Moyen-Orient et que Riyad accélère sa mutation post-pétrole, cet accord redéfinit les rapports de force entre deux puissances en quête d’influence globale.
Coinbase s’apprête à capter probablement 9 milliards de dollars d’achats passifs grâce à son entrée dans le S&P 500. Une injection massive qui pourrait pousser la capitalisation du marché crypto vers les 8 000 milliards de dollars. Mais derrière cet afflux institutionnel inédit, un piège silencieux menace la liberté stratégique de l’entreprise…
L'inflation américaine a défié toutes les prédictions catastrophistes en avril, chutant à 2,3 % malgré l'entrée en vigueur des tarifs douaniers massifs de l'administration Trump. Cette baisse inattendue soulève une question dérangeante : et si les analystes avaient dramatisé l'impact des mesures protectionnistes ? Les craintes d'une spirale inflationniste seraient-elles exagérées ?