Du geek à l’élu, Bitcoin fait sa révolution. Wall Street l’encense, Washington le stocke… Et si l’or avait trouvé plus clinquant que lui, mais sans les lingots ?
Du geek à l’élu, Bitcoin fait sa révolution. Wall Street l’encense, Washington le stocke… Et si l’or avait trouvé plus clinquant que lui, mais sans les lingots ?
L’informatique quantique, souvent perçue comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus des blockchains, alimente fantasmes et spéculations depuis plus d'une décennie. Dans cet univers d’incertitude, Vitalik Buterin, cofondateur d’Ethereum, vient poser un diagnostic à contre-courant : lucide, chiffré, mais surtout confiant. Pour lui, l’arrivée de machines capables de briser les fondations cryptographiques actuelles n’est pas une fatalité, c’est une échéance. Et Ethereum y sera prêt.
Tandis que l’on vante souvent Ethereum comme un actif potentiellement déflationniste, la réalité du protocole raconte une autre histoire. Près de 4,6 millions d’ETH ont été brûlés depuis 2021, l’équivalent de 13,5 milliards de dollars, sans pour autant enrayer la croissance de l’offre. Une anomalie qui questionne la cohérence et l’efficacité du modèle économique mis en place depuis la mise à jour London, et remet en cause certaines certitudes sur la rareté programmée de l’actif.
Le prix actuel du Bitcoin est considéré comme une opportunité d'achat par des experts comme CZ et Kiyosaki, avec une croissance à long terme toujours attendue.
Alors que les États-Unis misent sur une régulation ouverte des stablecoins avec le GENIUS Act, la Chine choisit une voie plus discrète. À Shanghai, une réunion à huis clos entre régulateurs révèle une volonté d'expérimenter, sans pour autant relâcher le contrôle.
Pendant longtemps, bitcoin a régné en maître incontesté sur l’univers des crypto-actifs, notamment sur le terrain des fonds négociés en bourse (ETF). Mais aujourd’hui, un tournant s’opère. Discrètement, méthodiquement, Ethereum commence à grignoter des parts de marché et capte l’attention des investisseurs institutionnels. Un rapport récent de CoinShares met en lumière cette dynamique étonnante : l’éther ne se contente plus de suivre, il s’impose. Derrière les chiffres, une réalité s’installe : la domination de bitcoin dans les ETF crypto n’est plus aussi évidente.
Le marché des cryptos vient de franchir un seuil symbolique : 3 800 milliards de dollars de capitalisation. C’est plus que la valorisation d’Amazon, presque autant que le PIB du Royaume-Uni. Loin d’un simple cycle haussier, cette envolée propulse les cryptos au rang d’acteurs systémiques. Un tournant qui rebat les cartes : ce marché n’est plus périphérique, il rivalise désormais avec les grandes puissances économiques. Alors que les capitales financières observent, la cryptosphère impose son tempo, et redessine les contours de l’économie mondiale.
Alors qu’il multiplie les signaux de fermeté sur la scène internationale, Donald Trump a imposé un ultimatum de 50 jours à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine. Cette sortie musclée, très commentée dans les cercles diplomatiques et militaires, a aussi provoqué un séisme inattendu sur les marchés financiers. Le bitcoin, particulièrement réactif aux tensions géopolitiques, a entamé une chute rapide dès l’annonce, atteignant ce matin les 116 000 dollars. Le climat d’incertitude créé par cet avertissement présidentiel nourrit à la fois les spéculations politiques et les turbulences économiques.
Bitcoin grimpe, vacille, puis recule : derrière les paillettes du 123 000 $, des mains invisibles s’activent. Faut-il fuir ou tenir bon ? Les experts hésitent… et les traders aussi.
Quand le bitcoin s'envole, Saylor dégaine ses millions. 601 550 BTC plus tard, le monsieur persiste, signe, et transforme ses tweets en or digital. Qui dit mieux ?
Quand une IA imite trop bien l’humain, elle enfile les bottes de MechaHitler. Grok, nouveau clown tragique d’Elon Musk, fait plus peur qu’un bug dans le cloud.
Le géant de la finance décentralisée Aave vient de franchir un seuil symbolique en dépassant les 50 milliards de dollars de dépôts nets. Cette performance historique consolide la position du protocole comme leader incontesté du prêt DeFi. Une étape majeure, qui reflète à la fois la maturité du secteur et son attractivité grandissante auprès des institutions.
Eric Jackson d'EMJ Capital prévoit qu'Ethereum pourrait atteindre 10 000 $ bientôt et même 1,5 million de dollars à long terme. Il souligne l'impact potentiel des ETFs activés par le staking, la réduction de l'offre d'ETH et la demande institutionnelle croissante comme les principaux moteurs de cette perspective optimiste.
Cardano explose avec une hausse de 29 % en seulement 7 jours, atteignant 0,747 $ au moment de la rédaction. On se croirait de nouveau en 2021. La 10e plus grande cryptomonnaie est l’une des meilleures performeuses parmi les cryptos majeures. Rien que dans les dernières 24 heures, elle a gagné près de 4 %, portée par une vague de dynamisme haussier sur le marché des altcoins.
Dans un écosystème dominé par les grandes plateformes mondiales, c’est un acteur régional qui a surpris tout le marché. En l’espace de quelques heures, le XRP s’est envolé de 2,60 $ à 3,00 $, propulsé par un afflux massif d’ordres sur Upbit, la principale bourse sud-coréenne. Alors que Binance et Coinbase font habituellement la pluie et le beau temps, c’est Séoul qui, cette fois, a pris la main sur le destin de l’un des plus anciens altcoins du marché.
Les ETP crypto battent des records de flux et d’actifs. On vous livre tous les détails dans cet article !
Il ne parle pas. Il ne vend rien. Et pourtant, Satoshi Nakamoto vient de faire trembler le haut de la pyramide financière. Grâce à un bitcoin grimpé à 122 500 dollars, le créateur de la crypto atteint une fortune estimée à 134,26 milliards de dollars. Sans jamais avoir bougé un seul de ses jetons.
Les stablecoins sont devenus un moyen largement utilisé pour les transactions transfrontalières, en particulier pour les paiements de détail et d'autres remises à l'étranger. Malgré l'adoption croissante, certains dans les cercles bancaires ont exprimé des doutes sur ces actifs numériques indexés sur des monnaies fiduciaires. Une personnalité bancaire de premier plan a même mis en garde les plus grandes banques du monde contre l'émission de leurs propres stablecoins.
Le marché crypto adore les surprises, surtout quand elles ont un plumage. Pudgy Penguins (PENGU) s’offre une envolée spectaculaire après un soutien inattendu de Justin Sun, fondateur de Tron. La memecoin pourrait-elle suivre la trajectoire d’un PEPE ou même devenir la prochaine coqueluche institutionnelle ?
Le bitcoin vient de franchir un cap symbolique et historique : il dépasse Amazon en Bourse avec une valorisation de plus de 2 400 milliards de dollars. Ce n’est plus une simple monnaie numérique : c’est désormais l’un des actifs les plus puissants de la planète. Décryptage d’un séisme économique silencieux, mais irréversible.
Il suffit parfois d’une seule semaine de silence pour semer le doute. Lorsque Michael Saylor a cessé ses achats hebdomadaires de bitcoin, les spéculations sont allées bon train. Pause stratégique ou signe d’essoufflement ? La réponse est tombée comme une gifle aux sceptiques : un nouveau rachat massif de BTC, accompagné d’une levée de fonds colossale. L’obsession de Saylor pour l’actif numérique ne fait que s’amplifier, et derrière cette accumulation frénétique se cache une logique bien plus ambitieuse que celle d’un simple pari spéculatif.
Le marché crypto, habituellement rythmé par des pics de volatilité, affiche un calme déroutant. Alors que le bitcoin flirte avec des sommets historiques, les flux vers les plateformes d’échange s’effondrent. Cette retenue inattendue, relevée par CryptoQuant, contraste avec les précédentes phases haussières où l’euphorie déclenchait une vague de ventes. Un signal fort qui interroge sur une mutation profonde du comportement des investisseurs et sur la solidité structurelle du cycle actuel.
Le bitcoin dépasse les 120 000 dollars, mais aucune euphorie ne parcourt le web. À la différence des précédents sommets, cette hausse fulgurante ne provoque ni effervescence populaire ni explosion de recherches. Pas de FOMO, pas de buzz viral : un calme inattendu plane sur les réseaux. Cette absence de bruit dans un moment clé interroge. Est-ce un signe de maturité du marché, ou l’indice d’un désintérêt grandissant ?
Bitcoin bat des records et flirte avec les urnes : entre Trump séducteur crypto et ETF gloutons, la monnaie rebelle s’invite dans les salons feutrés de Wall Street.
Pendant que les petits s’échinent à miner, BlackRock engrange en douce des millions d’Ethereum. Centralisation, vous avez dit ? Et si la révolution crypto changeait de propriétaire…
Une vague haussière balaie une fois de plus tous les coins du marché crypto alors que le Bitcoin a atteint de nouveaux niveaux de prix et que les altcoins ont enregistré des hausses. Au cours de la semaine passée, la pièce OG a connu des jours consécutifs d’augmentations de prix, atteignant un sommet historique de 118 731 $ le 11 juillet. Malgré cet exploit remarquable, les données montrent que la dominance de la pièce phare a légèrement diminué. La personnalité de marché éminente Matthew Hyland a même affirmé que les altcoins pourraient avoir un potentiel de hausse plus important, beaucoup d’entre eux progressant actuellement indépendamment de l’influence du Bitcoin.
Pendant que Moscou électrifie ses fermes et que Pékin mine sans bruit, Washington glisse doucement : mais qui tirera vraiment les ficelles du bitcoin dans ce drôle de jeu énergétique ?
Alors que le bitcoin s’élance vers de nouveaux sommets, certains analystes crient à l’euphorie rationnelle. D’autres, plus prudents, rappellent que la fête pourrait bien être de courte durée. Derrière les chiffres vertigineux et les records en cascade, une ombre plane : celle de la Réserve fédérale américaine. Car si les marchés anticipent une baisse des taux, le PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, joue les trouble-fêtes et suggère l’inverse. Une mauvaise surprise de la Fed pourrait faire dérailler l’élan du bitcoin, surtout dans un contexte où les particuliers restent curieusement absents. Le roi des cryptos est-il en train de courir à vide ? Décryptage.
Dogecoin a mis les marchés dérivés sous pression en un temps record. En quatre heures, les traders en position longue ont vu plus de 590 000 $ partir en fumée, piégés par un déséquilibre de 1 000 % au niveau des liquidations. L’actif, propulsé par un rebond fulgurant avant de replonger, a mis à nu la nervosité ambiante et la vulnérabilité des positions spéculatives. Cette séquence illustre à quel point le Dogecoin reste imprévisible, même pour les opérateurs les plus aguerris.
Malgré l'euphorie actuelle et les nouveaux sommets historiques à plus de 118 000 dollars, le bitcoin n'échapperait pas à son destin cyclique. Seamus Rocca, PDG de Xapo Bank, refuse de croire au miracle de l'adoption institutionnelle et avertit que le prochain bear market pourrait survenir de manière insidieuse.