Quand Dubaï marie la finance tradi aux tokens, ce n’est pas un mirage du désert, mais un fonds très réel… et parfaitement régulé, s’il vous plaît !
Quand Dubaï marie la finance tradi aux tokens, ce n’est pas un mirage du désert, mais un fonds très réel… et parfaitement régulé, s’il vous plaît !
La tokenisation croît rapidement, avec de grandes entreprises qui investissent et de nouvelles plateformes qui se lancent. Cette tendance pourrait bientôt avoir un impact sur les prix des cryptomonnaies.
Une étoile brille plus fort que les autres dans l’arène saturée des néobanques : Revolut. À Londres, on ne cache plus ses ambitions. Avec une levée de fonds d’un milliard de dollars en préparation, l’entreprise vise une valorisation colossale de 65 milliards de dollars. Et au cœur de cette ascension ? Un mot : crypto. Car ce n’est pas seulement une diversification, c’est une stratégie. Une conviction. Une boussole.
Le bitcoin est à un cheveu de son plus haut historique. Les volumes sur les ETF, la fronde des BRICS et l’audace des États-Unis sont de très bon augure pour la suite.
Le monde des actifs réels tokenisés (Real World Assets - RWA) poursuit sa transformation en se rapprochant progressivement de l’économie réelle. Dans ce contexte, Credefi a connu une évolution continue, passant d’un projet expérimental à une infrastructure fonctionnelle. Avec le lancement de Credefi 3.0, la plateforme franchit une nouvelle étape : elle intègre pleinement des modules conçus pour relier finance décentralisée et actifs tangibles. Tous les outils sont désormais disponibles en ligne.
Pendant que les ETF crypto battent des records, les volumes s’évaporent. Blackrock et Fidelity mènent la danse côté afflux, mais le marché, lui, semble retenir son souffle. Boum en surface, vide en profondeur ?
Annoncé moribond, le capital-risque crypto signe un retour spectaculaire. Au deuxième trimestre de cette année, plus de 10 milliards de dollars ont afflué vers l’écosystème, un seuil inédit depuis le sommet de début 2022. En trois mois, les investisseurs ont ravivé un marché que l’on disait gelé, réaffirmant leur appétit pour l’innovation blockchain.
À l’ouverture du sommet des BRICS à Rio, Donald Trump a ravivé les tensions commerciales, menaçant de surtaxer tout pays aligné sur ce bloc émergent. Face à une coalition qui défie l’hégémonie américaine, la confrontation dépasse les tarifs douaniers pour toucher aux rapports de force globaux. Les BRICS intensifient leur…
Le capital-risque crypto montre des signes de ralentissement, mais des start-ups clés dans l'IA, la DeFi et l'infrastructure blockchain continuent d'attirer des investissements majeurs, signalant une innovation continue dans ce domaine.
Et si la finance n’était plus un privilège réservé à ceux qui connaissent les horaires des marchés et les rouages des banques traditionnelles ? Kraken bouscule les codes avec xStocks, une innovation qui permet aux utilisateurs de détenir des actions américaines tokenisées sur la blockchain Solana. Fini l’attente de l’ouverture de Wall Street ou les frais cachés : l’investissement devient fluide, fractionné, programmable et conforme à la réglementation. Avec BackedFi comme ancrage réglementaire, Kraken ouvre une nouvelle voie qui allie discipline financière et liberté technologique. Une nouvelle ère commence pour celles et ceux qui veulent faire croître leur patrimoine selon leurs propres règles.
L’économie française accuse un déficit commercial de 7,6 milliards d’euros en mai. Une dynamique inquiétante pour les investisseurs.
Larry Fink avale les bitcoins plus vite que les mineurs les pondent. Pendant que le staking s'invite, l’ETF fait du BTC un petit pion bien juteux.
Quand une marque de soupe asiatique se transforme en coffre-fort à bitcoin… DDC achète, encaisse, recommence : 368 BTC plus tard, les marchés ont faim d’un nouveau modèle.
Depuis le début du mois de juillet, les investisseurs prêtent à l’Italie à un taux inférieur à celui exigé pour la France. En effet, la courbe s’est inversée pour la première fois depuis 2005, fragilisant la place de Paris dans la hiérarchie du risque souverain en zone euro. Et pourtant, la France conserve une meilleure notation. Ce paradoxe renvoie à une réalité perceptible : les marchés doutent. Et dans cette hésitation, les actifs alternatifs gagnent du terrain.
L’économie risque un séisme commercial : les droits de douane suspendus pourraient entrer en vigueur en août. Les détails ici !
Le débat sur la sortie de l'euro refait surface régulièrement en France. Alors que de nouvelles élections présidentielles auront lieu en 2027, la victoire du Rassemblement National, pourrait aboutir à une sortie de l’euro. Les français pourraient bien en ressortir ruinés !
À l’heure où les tensions commerciales redessinent les rapports de force mondiaux, l’Europe fait face à une menace directe : Washington impose un ultimatum au 9 juillet pour conclure un accord bilatéral. Passé ce délai, des surtaxes pouvant grimper à 70 % s’abattraient sur les exportations européennes dès le 1er août. Dans ce climat sous haute tension, Bruxelles tente d’éviter un choc frontal avec une administration américaine résolue à imposer ses règles. Une négociation express s’engage pour éviter un basculement dans l’affrontement tarifaire.
La baisse des taux de crédit immobilier marque une pause inattendue. Alors que le marché amorçait un redémarrage, les courbes se figent, déjouant les prévisions. Ce retournement intrigue autant les acheteurs que les investisseurs, pris entre espoirs et incertitudes. Pourquoi les taux ne reculent-ils plus, malgré un contexte monétaire plus souple ? Ce blocage interroge les dynamiques du financement en France et révèle des tensions plus profondes, au moment même où l’immobilier tente de sortir de l’atonie.
À la veille du 4 juillet, le Congrès américain a adopté l’un des textes budgétaires les plus radicaux de l’ère moderne. Portée par Donald Trump, cette loi redessine les priorités économiques des États-Unis avec des baisses d’impôts massives, des coupes sociales et une dette en forte hausse. Le vote, arraché malgré des fractures républicaines, marque un tournant stratégique dans l’ère post-Biden. Plus qu’un simple budget, c’est une déclaration politique qui rebat les cartes du pouvoir et ravive les tensions idéologiques à Washington.
Tandis que l’équilibre géopolitique mondial se fragilise, Rio accueille les 6 et 7 juillet 2025 un sommet des BRICS sous tension. Conçu comme un contrepoids au G7, le bloc peine à incarner l’unité du Sud global. Désaccords internes, absence de Xi Jinping, retour offensif de Donald Trump : la 17ème édition illustre moins une montée en puissance qu’un questionnement sur la cohérence stratégique des membres. À l’heure des ambitions multipolaires, les BRICS s’exposent à une crise de légitimité autant qu’à un test de crédibilité internationale.
Tandis que la bourse progresse timidement, c’est le dollar qui vacille, affaibli par la double pression des nouvelles taxes commerciales imposées par Donald Trump et de l’hésitation persistante de la Réserve fédérale. Dans cette atmosphère tendue, les investisseurs oscillent entre la quête de rendement et la prudence dictée par l’instabilité ambiante. Le calme apparent cache une nervosité palpable : celle d’un marché qui sait que tout peut basculer à la moindre secousse.
Alors que Robinhood accélère dans les actifs tokenisés en Europe, OpenAI vient de mettre un sérieux coup de frein. La plateforme de trading a distribué des jetons « OpenAI » sans l’aval de la firme d’IA. Musk s’en mêle, l’affaire fait du bruit. Que cache vraiment ce faux pas ?
À l’heure où la DeFi réinvente les usages à coups d’innovations déroutantes, certaines tendances explosent littéralement. Dans ce vacarme technologique, les RWA — ces actifs du monde réel tokenisés — tracent une courbe fulgurante : +260 % en 2025, pour un marché de 23 milliards de dollars. Derrière ce chiffre, une promesse : celle de rendements tangibles, stables, ancrés dans l’économie réelle. Un remède à la volatilité crypto, un pont vers le monde traditionnel. « Le rendement réel, c’est le nouveau graal », murmurent déjà les initiés. Et au cœur de cette montée en puissance, Credefi déroule tranquillement son jeu.
La BRI monte au créneau pour défendre la Fed. L’économie peut-elle encaisser une crise monétaire ? Les détails dans cet article !
Quand les ETF bitcoin font du chiffre comme jamais, les investisseurs dansent la gigue pendant que Wall Street redécouvre la crypto, l’œil rivé sur des courbes qui montent sans trembler.
Pendant que les marchés hésitent, Saylor, lui, accumule les bitcoins par milliers. Encore 4 980 unités ? À ce rythme-là, c’est la FED qui va finir par l’appeler.
Un ETF Solana qui stake, des analystes qui jubilent, et la SEC qui ne dit mot… REX Shares tenterait-il de faire danser la crypto sur le parquet réglementaire ?
C'est difficile à croire, mais Donald Trump voit d'un bon œil que le bitcoin devienne la monnaie de réserve internationale par excellence.
Kalshi a levé 185 millions de dollars de nouveaux financements, portant sa valorisation à 2 milliards de dollars alors qu'elle prévoit d'élargir l'accès à ses marchés de prédiction et de développer son équipe technologique.
Rio s’apprête à accueillir un sommet des BRICS sous haute tension, marqué par deux absences historiques : Xi Jinping et Vladimir Poutine. Le président chinois se retire pour la première fois depuis 2013, tandis que son homologue russe reste au Kremlin, visé par un mandat d’arrêt de la CPI. À l’heure où le bloc veut s’affirmer face au dollar et renforcer son influence, ces désistements fragilisent l’unité du groupe et déclenchent des doutes sur sa trajectoire géopolitique.