#PeckShieldAlert 11,184.18 $PAXG (~$20M) has been transferred from FTX Accounts Drainer-labeled address to Null Address and burned at Paxos Treasuryhttps://t.co/4lE7wyILLs pic.twitter.com/BbSpPBNbn7
— PeckShieldAlert (@PeckShieldAlert) December 23, 2022
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Paxos récupère 20 millions de dollars en PAXG volés lors du piratage de FTX
lun 26 Déc 2022 ▪
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Quelques jours après le dépôt de bilan de FTX, l’exchange crypto a été victime d’un piratage massif. Celui-ci a entraîné un préjudice de plus de 400 millions de dollars en divers tokens. Parmi les tokens volés, il y a le Paxos Gold (PAXG). La société derrière ce token vient de réussir l’exploit d’arracher aux pirates une partie des fonds volés, en PAXG.
Des PAXG arrachés et automatiquement sécurisés
Paxos est une société new-yorkaise spécialisée dans la fourniture de services divers sur la blockchain. Ces dernières années, elle a suscité beaucoup d’intérêt de la part de grands investisseurs, qui n’ont d’ailleurs pas hésité à investir dans son développement. C’est l’une des victimes collatérales de l’attaque perpétrée sur FTX, dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 novembre. Depuis, ses équipes n’ont pas baissé les bras et se sont mises à traquer les pirates. Six semaines plus tard, la traque a porté ses fruits.
Paxos a annoncé avoir récupéré pour l’équivalent de 20 millions de dollars de PAXG. Il s’agit au total de 11 184 PAXG. Cette somme a été soustraite de l’un des portefeuilles ayant stocké les tokens dérobés. Rappelons que le PAXG est une crypto adossée à l’or, dont Paxos a la garde. Une fois cette étape atteinte, la société a procédé à la sécurisation des tokens récupérés.
« Paxos a déplacé les tokens volés depuis les adresses (…) vers une adresse nulle et les a brûlés. Après cela, il a frappé le même montant dans un autre portefeuille, achevant ainsi le processus de récupération », a rapporté la société de sécurité PeckShield sur la base de données on-chain.
D’après la nouvelle équipe dirigeante de l’exchange crypto, l’attaque du mois dernier sur FTX était inévitable. En effet, la plateforme de cryptos stockait les clés privées de ses portefeuilles de manière non cryptée, a-t-elle expliqué. Les équipes de l’exchange adoptaient également des contrôles de sécurité « très médiocres ».
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Diplômé de Sciences Po Toulouse et titulaire d'une certification consultant blockchain délivrée par Alyra, j'ai rejoint l'aventure Cointribune en 2019. Convaincu du potentiel de la blockchain pour transformer de nombreux secteurs de l'économie, j'ai pris l'engagement de sensibiliser et d'informer le grand public sur cet écosystème en constante évolution. Mon objectif est de permettre à chacun de mieux comprendre la blockchain et de saisir les opportunités qu'elle offre. Je m'efforce chaque jour de fournir une analyse objective de l'actualité, de décrypter les tendances du marché, de relayer les dernières innovations technologiques et de mettre en perspective les enjeux économiques et sociétaux de cette révolution en marche.
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