Les altcoins battent le bitcoin en avril ! Dans cet article, découvrez pourquoi cette tendance va bouleverser le marché crypto.
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Le 13 mai 2025 à Riyad, Donald Trump a signé avec l’Arabie saoudite un partenariat stratégique estimé à 600 milliards de dollars. Au-delà de la somme, c’est la nature de l’alliance, entre défense, tech et énergie, qui interpelle. Tandis que Washington renforce son ancrage au Moyen-Orient et que Riyad accélère sa mutation post-pétrole, cet accord redéfinit les rapports de force entre deux puissances en quête d’influence globale.
Dans un monde où les lignes de fracture géopolitiques se déplacent rapidement, l’Arabie saoudite joue une partition délicate entre deux blocs rivaux. Sollicitée par les BRICS, mais toujours étroitement liée aux États-Unis, Riyad temporise, suspendant son adhésion officielle malgré des signaux d’ouverture. Tandis que Pékin séduit par ses promesses économiques et que Washington agite la menace tarifaire, le royaume ménage ses options. Ce flou tactique masque-t-il une orientation stratégique déjà actée ou prépare-t-il un rééquilibrage majeur sur l’échiquier mondial ?
Tandis que les cours du pétrole dégringolent et que la demande reste morose, l’OPEP+ surprend en annonçant une hausse massive de sa production dès juin. Huit membres du cartel rompent avec la prudence récente et ravivent l’incertitude sur un marché déjà sous tension. Derrière ce revirement se dessine un possible tournant géopolitique et économique, entre stratégie de reconquête et prise de risque calculée. Cette décision pourrait bien redessiner les équilibres énergétiques mondiaux.
Et si l’indépendance ne passait plus par les armes, mais par des blocs de code ? Les BRICS rêvent de souveraineté en cryptomonnaies, Siluanov en éclaireur numérique.
Les marchés pétroliers viennent d’être pris de court. Alors que les traders s’attendaient à un report de l’augmentation de la production de pétrole par l’OPEP+, le cartel a finalement confirmé qu’il remettrait sur le marché 2,2 millions de barils par jour à partir d’avril. Une décision qui a immédiatement provoqué une réaction brutale des prix : le baril de Brent est tombé à 70,60 dollars, soit son plus bas niveau en cinq mois. Ce choix stratégique, qui intervient après plusieurs reports successifs, modifie profondément l’équilibre de l’offre et de la demande dans un contexte déjà marqué par des incertitudes économiques.
L’intelligence artificielle redessine les équilibres économiques mondiaux, et l’Arabie Saoudite entend bien s’imposer comme un acteur incontournable. Avec un investissement massif de 14,9 milliards de dollars annoncé lors du LEAP 2025 Tech Conference à Riyad, le pays affiche clairement son ambition : devenir un hub technologique de premier plan. Grâce à son association à des géants comme Google, Alibaba, Lenovo et Qualcomm, le royaume ne se contente pas d’injecter des capitaux, il construit l’infrastructure qui pourrait façonner l’avenir de l’innovation en intelligence artificielle et en cloud computing.
Depuis plusieurs décennies, les alliances économiques mondiales évoluent sous l'effet des transformations géopolitiques et économiques. Le bloc des BRICS incarne cette dynamique à travers s'élargissement à de nouveaux membres afin de consolider son influence sur la scène internationale. En 2023, l'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, a reçu une invitation officielle à rejoindre cette alliance stratégique. Cependant, contrairement à d'autres pays comme l'Iran ou les Émirats arabes unis, qui ont rapidement accepté, Riyad adopte une posture prudente. Faisal Al-Ibrahim, ministre saoudien de l'Économie et de la Planification, a souligné que le royaume continue d’évaluer minutieusement les implications d’une adhésion. Ce choix stratégique déclenche des interrogations sur les intentions réelles de l’Arabie saoudite et son rôle futur dans ce nouvel équilibre économique.
L’Arabie Saoudite a dévoilé un ambitieux projet économique, porté par le prince héritier Mohammed ben Salmane, qui vise à investir 600 milliards de dollars aux États-Unis sur quatre ans. Cet engagement s’insère dans la stratégie de diversification économique du Royaume, un pilier de sa vision 2030. Grâce au renforcement de ses liens commerciaux avec Washington, Riyad cherche non seulement à diversifier ses partenariats économiques, mais aussi à consolider son influence sur la scène internationale. Ce plan, qui intervient dans un contexte de redéfinition des équilibres mondiaux, souligne l’importance croissante de la coopération économique comme levier de stabilité géopolitique et de croissance mutuelle.
Les BRICS se présentent depuis plusieurs années comme une alternative crédible aux blocs économiques hégémoniques tels que le G7. Dans ce contexte de rivalités croissantes entre puissances, la Russie a entrepris des démarches pour élargir cette alliance. Elle a alors invité l’Arabie saoudite et la Turquie à rejoindre ses rangs. Moscou espérait ainsi renforcer l’influence du bloc sur la scène internationale et faire face aux pressions des économies occidentales. Toutefois, ces efforts se sont heurtés à une fin de non-recevoir. Ce revers illustre les divergences d’intérêts entre ces nations, mais aussi les défis auxquels les BRICS font face pour élargir leur cercle d’influence dans un monde où les équilibres géopolitiques sont de plus en plus complexes.
Dans un monde en mutation où les alliances redéfinissent les équilibres globaux, l’attitude de l’Arabie Saoudite vis-à-vis des BRICS intrigue. Invité à rejoindre ce groupe stratégique qui réunit des puissances émergentes, le royaume opte pour une stratégie d’attente. Ce choix n’est pas anodin. Il reflète des enjeux profonds qui associent géopolitique, économie et rivalités régionales, à l’heure où les BRICS cherchent à s’étendre et à accroître leur influence.
Ce mardi 29 octobre 2024, l'Arabie Saoudite a fait un pas stratégique majeur à travers le lancement du plus grand ETF du Moyen-Orient, adossé à des actions chinoises cotées à Hong Kong. En effet, ce fonds négocié en bourse, baptisé Albilad CSOP MSCI Hong Kong China Equity ETF, va au-delà d’une simple opération financière, mais il s’inscrit dans une vision à long terme et vise à consolider les relations entre ces deux puissances économiques. Face à la volatilité des marchés chinois et les incertitudes économiques mondiales, ce lancement est un indicateur clair des ambitions saoudiennes de diversifier leurs partenariats et d'accroître leur influence sur la scène financière internationale.
Israël est aujourd'hui gouverné par des fanatiques millénaristes d'extrême-droite. Bref, des fascistes.
L'Arabie Saoudite, poids lourd du secteur pétrolier, fait la une avec une nouvelle augmentation des prix du pétrole pour les acheteurs asiatiques. Cette décision intervient dans un contexte de volatilité accrue, accentuée par des tensions géopolitiques au Moyen-Orient et des incertitudes autour de la demande énergétique mondiale.
En pleine période de volatilité économique mondiale, l'Arabie Saoudite a pris une décision qui pourrait bien redéfinir les équilibres énergétiques et géopolitiques. Alors que le prix du baril de pétrole atteignait les 100 dollars, Riyad a choisi d'augmenter considérablement sa production de pétrole, une manœuvre qui vise à faire baisser les prix du brut sur les marchés internationaux.
Sommes-nous à l’aube d’un retour du Gold Standard ? C’est ce que les achats secrets de l’Arabie saoudite suggèrent. A quand le bitcoin ?...
La guerre des prix du pétrole est rarement un simple affrontement commercial, elle cache souvent des enjeux géopolitiques d’une portée bien plus vaste. Aujourd'hui, un nouvel épisode de cette lutte se joue sur la scène internationale et oppose deux mastodontes énergétiques : la Russie et l'Arabie Saoudite. Alors que le monde se remet encore difficilement des répercussions économiques de la pandémie et que le conflit en Ukraine continue de redessiner les cartes de l'influence mondiale, ces deux acteurs majeurs des BRICS se disputent âprement la domination du marché asiatique. Leurs manœuvres pourraient bien bousculer l'ordre établi, tant au sein de l'OPEP qu'au cœur des alliances stratégiques globales.
Le système monétaire international est en ébullition. Les BRICS multiplient les pistes avec plus ou moins de succès.
L’Arabie saoudite a rejoint le projet de nouveau système de paiement international mBridge. Un pas de plus vers la fin du pétrodollar et le bitcoin...
L’Arabie saoudite aurait décidé « de ne pas renouveler son accord de 50 ans sur le pétrodollar avec les États-Unis ». Bientôt le pétro-bitcoin ?
Les saoudiens et d'autres nations comme l’Indonésie mettent en garde l'Europe contre une saisie des réserves de change russes. Le Bitcoin en embuscade.
La tension Iran-Israël influence les marchés : l’or grimpe, le pétrole oscille. Quelles répercussions sur la bourse et le secteur pétrolier ?
Tucker Carlson, l’ancien journaliste de Fox News et potentiel futur vice-président de Donald Trump, s'est récemment rendue en Russie pour interviewer Vladimir Poutine. Cet entretien passionnant intervient au moment où Donald Trump a réaffirmé vouloir démembrer l'OTAN, et même encourager Poutine à envahir l’Europe. Faut-il s’attendre à une invasion de la Pologne par Poutine, 80 ans après Adolf Hitler ?
L’Iran a récemment appelé les BRICS à constituer une monnaie commune pour remplacer le dollar. Cette remise en cause du dollar par l’Iran, mais aussi de plus en plus par l’Arabie Saoudite explique pourquoi les Américains veulent en finir avec le régime iranien. La fin du pétrodollar ne permettrait plus aux Etats-Unis de financer ses déficits monstrueux par les autres pays.
Lors de leur récent sommet, les BRICS avaient proposé à un certain nombre de pays de rejoindre l’organisation. Ces pays, ce sont l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis (EAU), l’Iran, l’Égypte, l’Éthiopie et l’Argentine. Ce dernier Etat a décliné l’offre. Une proposition que les cinq autres ont quant à eux officiellement acceptée.
L'embargo maritime Israël pourrait raviver l’inflation et enlever momentanément un facteur de hausse pour le bitcoin.
Pendant plusieurs siècles et jusqu'à la première moitié du XXe siècle, de grandes parties du monde ont été soumises au colonialisme européen. Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, nombre de ces régions ont regagné leur indépendance vis-à-vis de ces puissances européennes, mais des vestiges de ce colonialisme subsistent encore aujourd'hui. Comme l’explique Lyn Alden dans Broken Money, le système monétaire de Bretton Woods et, par la suite, le système monétaire des eurodollars/pétrodollars représentent des formes de néocolonialisme monétaire, avec les États-Unis aux commandes.
C’est acté, la Chine est numéro 1. Et pas que d'un peu. L’ordre monétaire international va changer. Le Bitcoin attend son heure.
L’Arabie Saoudite, comme quelques autres pays du Golfe dont les Émirats arabes unis (EAU), est depuis peu autorisée à rejoindre les BRICS. Avec l’un de ses membres influents, la Russie, le Royaume saoudien a échangé des questions stratégiques, dont la sortie du dollar. Mais pas seulement.
Le crépuscule du pétrodollar n’est plus une arlésienne. La Chine et l’Arabie Saoudite dédollarisent leurs échanges à vive allure. A quand le pétro-bitcoin ?