Bank of America

La Bank of America attend que les législateurs américains adoptent la loi GENIUS avant de se lancer dans les stablecoins. Pendant ce temps, le projet de loi prend de l'élan, signalant un soutien croissant pour une réglementation claire.

Tandis que les inégalités de patrimoine s’aggravent, une autre réalité se profile : la génération Z, souvent perçue comme fragile économiquement, s’apprête à devenir la plus riche de l’histoire d’ici 2045. Une étude de Bank of America bouscule les idées reçues en projetant un basculement inédit des richesses vers cette jeunesse hyperconnectée. À rebours des discours alarmistes, ces prévisions révèlent une génération en pleine ascension, portée par des dynamiques économiques, éducatives et numériques qui redessinent les contours du pouvoir financier mondial.

Les grandes banques US opposées à des exigences de fonds propres plus strictes, craignant un impact négatif sur l'économie.

Le National Bureau of Economic Research (NBER) est un organisme privé américain. Il est connu pour fournir entre autres les dates de début et de fin des récessions. Dans le contexte actuel de crise bancaire, un document publié à la fin de l’année 2020 a refait surface. À l’époque, le NBER avait en effet étudié six des plus grandes banques américaines. Il s’agissait de Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Bank of America, Citigroup et Wells Fargo. Voici ce qui ressort du document de travail qui rend compte de cette étude.

Pour concurrencer PayPal, 7 grandes banques dont Bank of America, JP Morgan et Wells Fargo se seraient associés pour créer un portefeuille numérique.

L’intérêt pour les monnaies numériques comme les CBDC et les stablecoins s’est considérablement accru ces derniers mois. Cette tendance, loin de s’essouffler, pourrait se renforcer et se généraliser à l’échelle mondiale au cours des mois à venir. C’est en tout ce que de nombreux experts tendent à penser. Des conclusions basées sur l’engouement certain de plusieurs pays pour ces actifs numériques.

Les CBDC, pourraient-elles s’imposer dans les transactions financières internationales au point de les révolutionner ? Plusieurs analystes tendent à le penser. Certaines tendances semblent leur donner raison. Certains pays ont déjà lancé leurs monnaies numériques de banque centrale pendant que d’autres y travaillent. Ceci, malgré les avertissements des puristes de la crypto, qui estiment que les CBDC vont à l’encontre du principe originel derrière la monnaie numérique.

Les milléniaux sont les personnes nées entre la fin des années 1980 et la fin des années 1990. On les regroupe également dans le groupe de la Génération Y. Au cours des dernières années, de nombreuses études ont montré que les milléniaux s’exposent davantage aux investissements dans la crypto. Ils le font davantage que le groupe de la génération X (personnes nées entre 1965 et 1979). Il devient donc normal que les cryptos occupent une part plus importante dans les investissements des milléniaux.

Lors du Forum économique mondial, Brian T. Moynihan, le PDG de Bank of America, a récemment confirmé que la société ne proposera pas de services liés aux cryptomonnaies dans un avenir proche.