Pendant que la BCE rêve d’un euro numérique bien sage, une startup crypto française s’offre 30 millions pour pirater la banque... mais avec l’accord du régulateur. Chapeau bas.
Pendant que la BCE rêve d’un euro numérique bien sage, une startup crypto française s’offre 30 millions pour pirater la banque... mais avec l’accord du régulateur. Chapeau bas.
BitMine empile des milliards d’Ethereum et change de chef : simple lubie cryptomaniaque ou plan machiavélique pour devenir la future BCE décentralisée ? L’avenir s’écrit en code source.
La Banque nationale tchèque vient de franchir un cap inédit : l’achat de 1 million de dollars en cryptos, dont du bitcoin. Il s’agit d’une première pour une banque centrale européenne, à l’heure où nombre d’institutions restent prudentes face aux cryptos. Derrière ce montant symbolique, c’est une déclaration d’intention forte, car le pays veut comprendre et tester le futur de la finance. Un geste discret, mais qui pourrait bien annoncer un tournant dans les politiques monétaires à l’ère de ces actifs.
Pendant que certains cherchent encore la touche « envoyer » sur leur portefeuille crypto, Singapour s’apprête à dégainer des bons tokenisés en CBDC. Faut-il s’attendre à une révolution feutrée ?
Quand la crypto joue au banquier central, la Fed transpire sous son costard. Stablecoins, trésors planqués, et taux en chute libre : devinez qui dirige vraiment le monde ?
Quand JPMorgan flirte avec Ethereum sans jamais lui glisser la bague au doigt… 102 millions glissés dans Bitmine, c’est discret, malin, et surtout très, très crypto-compatible.
Et si la promesse d’inclusion financière cachait un risque systémique majeur ? Plébiscités dans les pays en crise, les stablecoins sont devenus l’outil privilégié de millions de citoyens pour échapper à l’hyperinflation. Toutefois derrière cette adoption massive, une inquiétude grandit : en drainant l’épargne vers le dollar numérique, ces actifs pourraient fragiliser les économies les plus vulnérables. Alors que leur usage explose, un dilemme s’impose : les stablecoins sont-ils un rempart pour les peuples ou une menace silencieuse pour les États ?
Tandis que les banques centrales accélèrent leurs projets de monnaies numériques, une déclaration vient bouleverser le paysage financier : « l’argent sera entièrement numérique ». Ces mots, prononcés par Bill Winters, CEO de Standard Chartered lors de la Hong Kong FinTech Week 2025, tracent les contours d’un futur sans espèces, ancré sur la blockchain. Il ne s’agit pas d’une simple évolution technique, mais d’une bascule structurelle du système monétaire mondial, que de grandes institutions semblent désormais considérer comme inévitable.
Les règles du Comité de Bâle sur les cryptomonnaies pourraient bien changer la donne en 2026. Entre adoption bancaire des stablecoins et intégration crypto, une révolution financière se prépare. Les banques sont-elles prêtes à sauter le pas ? La réponse pourrait tout changer pour vos investissements.
Michael Saylor voit le bitcoin grimper au ciel, Wall Street s’y convertit... Et si le gourou crypto avait encore tapé juste malgré les turbulences géopolitiques ?
Wall Street tremble, BlackRock applaudit, et le dollar se digitalise sans demander l’avis du Trésor… Les stablecoins s’imposent, pendant que la crypto tisse sa toile monétaire planétaire.
Alors que les cryptos font des ravages dans les poches et les idées, l’Afrique francophone joue une carte numérique... mais cette révolution ne sentirait-elle pas un petit parfum d’euro ?
Les banques régionales américaines replongent dans la tourmente, ravivant le spectre d’une instabilité systémique. Alors que les marchés réagissent avec nervosité, le bitcoin recule, mais certains y voient déjà un signe précurseur. Pour des acteurs du secteur crypto, l’actif anticipe une nouvelle crise de liquidité et une intervention monétaire à venir.
Tandis que les banques centrales multiplient les achats d’or face à un contexte économique incertain, la Deutsche Bank établit un parallèle inédit avec le bitcoin. Dans un rapport publié, la banque allemande souligne des dynamiques communes entre les deux actifs, traditionnellement opposés. Cette analyse interroge sur la place que pourrait occuper le bitcoin dans les réserves officielles à moyen terme.
Face à l’essor incontrôlé des stablecoins privés, les géants bancaires mondiaux, de Goldman Sachs à la Société Générale, passent à l’offensive. En testant des tokens adossés aux devises du G7, ces institutions entendent reprendre la main sur la finance numérique. Ce projet stratégique, porté par le consortium USDF et la blockchain Provenance, vise à combiner stabilité monétaire, conformité réglementaire et innovation technologique. Une telle initiative pourrait redéfinir l’équilibre entre banques traditionnelles, régulateurs et écosystème crypto.
Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Andrew Bailey, souligne que les stablecoins pourraient jouer un rôle clé dans la transformation du système monétaire britannique. En affirmant qu’ils peuvent réduire la dépendance du pays aux banques commerciales, Bailey ouvre la voie à une réflexion profonde sur l’avenir de la monnaie et du crédit au Royaume-Uni.
Quand Christine Lagarde sort le marteau réglementaire, même les géants de la crypto tremblent. L’euro numérique avance masqué, mais vise clairement les stablecoins trop à l’aise en Europe…
Neuf poids lourds bancaires d’Europe s’agrègent pour un pari simple et ambitieux : un stablecoin en euro, taillé pour MiCA, pensé dès l’origine pour les usages « on-chain ». Le consortium réunit ING, Banca Sella, KBC, Danske Bank, DekaBank, UniCredit, SEB, CaixaBank et Raiffeisen Bank International. Première émission visée : deuxième semestre 2026.
Deutsche Bank prévoit que Bitcoin pourrait rejoindre l'or dans les réserves des banques centrales à mesure que les marchés mûrissent et que la volatilité diminue, signalant une adoption institutionnelle croissante.
Les banques hurlent au casse-pipe, Coinbase répond avec chiffres : les stablecoins n’avalent pas les dépôts, mais croquent joyeusement dans les 187 milliards $ de frais bancaires.
Ce 13 septembre, Binance Coin (BNB) a franchi un cap symbolique en dépassant brièvement la capitalisation boursière de la banque suisse UBS. Un tel événement illustre la montée en puissance des cryptos face aux institutions financières traditionnelles. Changpeng Zhao, cofondateur de Binance, a immédiatement réagi, appelant les banques à « adopter BNB ». Alors que la crypto atteint un nouveau sommet historique, cette sortie relance le débat sur l'intégration des tokens natifs dans les stratégies bancaires à l’ère de la finance décentralisée.
La BCE gèle ses taux, la FED s’apprête à les couper… Et si, dans ce ping-pong monétaire, c’était finalement l’économie réelle qui servait de balle perdue ?
Nouveau projet : une banque crypto pourrait voir le jour en Russie. On vous livre tous les détails dans cet article.
Trump pousse les banques à aimer la crypto. Hier diabolisée, aujourd’hui courtisée, l’industrie Web3 s’installe dans les coffres du fiat. Mais qui orchestre vraiment ce revirement spectaculaire ?
Alors que la plupart des nations hésitent encore à franchir le pas, le Kazakhstan accélère. Son président, Kassym-Jomart Tokaïev, vient d’annoncer la création d’une réserve nationale de crypto-monnaies, assortie d’un appel clair à bâtir un véritable écosystème d’actifs numériques. Une décision audacieuse pour ce pays d’Asie centrale, déjà incontournable dans le minage mondial.
Pendant que certains rêvent encore du Bitcoin à 200 000 $, Mastercard glisse l’USDC sous le tapis et règle l’addition en stablecoin... Sans bruit, mais sûrement.
Face à une vague d’échéances critiques sur 4 000 milliards $ de dettes, Pékin a dégainé une réponse monétaire d’ampleur inédite. En août, la Banque populaire de Chine a injecté 1 400 milliards $ pour éviter l’asphyxie de son marché obligataire. Plus qu’une mesure d’urgence, cette intervention marque un tournant stratégique dans la gestion des flux financiers chinois. Dans un contexte de tensions globales, ce geste technique en dit long sur la volonté de Pékin de garder la main sur son cycle économique.
Entre audace et entêtement, Bukele lance ses « banques Bitcoin » : un pied dans la finance mondiale, l’autre dans la crypto, et le FMI qui tousse dans sa cravate.
Dans un secteur bancaire en pleine mutation, Fortuneo s’apprête à franchir un cap décisif. En explorant l’intégration des cryptos dans son offre, la néobanque française suit une dynamique déjà amorcée par ses concurrents européens. Une stratégie attendue, à l’heure où l’investissement numérique devient une nouvelle norme plutôt qu’une tendance passagère.
Tandis que le bitcoin et Ethereum monopolisent l’attention, le XRP s’impose discrètement comme l’un des projets les plus stratégiques du paysage crypto. Au-delà de la spéculation, certains analystes évoquent un « transfert de richesse historique » en cours. Cette formule audacieuse reflète l’alignement d’indicateurs clés : avancées réglementaires, intégration bancaire et performance technologique. Le XRP, longtemps en retrait, pourrait bien redessiner les circuits mondiaux de paiement.