Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
Au moment où la guerre en Ukraine entre dans une nouvelle phase d’incertitude, un accord majeur entre Washington et Kiev vient redessiner les contours du soutien occidental. Volodymyr Zelensky s’apprête à se rendre aux États-Unis ce vendredi 28 février 2025 après l’adoption d’un pacte qui prévoit l’accès américain aux terres rares ukrainiennes et la mise en place d’un fonds de reconstruction pour le pays. Ce compromis, qui mêle enjeux économiques et considérations militaires, marque une étape capitale dans la relation entre les deux nations. Les discussions, menées sous tension, ont finalement abouti à une entente qui pourrait jouer un rôle décisif dans l’avenir géopolitique de la région.
Le bitcoin subit actuellement une forte correction, tombant sous la barre des 86 000 $. Ceci, dans un contexte de turbulences économiques provoquées par l’annonce de nouveaux tarifs douaniers par le président américain Donald Trump. Cette chute marque un tournant pour le marché des cryptomonnaies, qui faisait face à une pression croissante ces derniers jours. L’avenir du BTC est désormais plus incertain que jamais.
La politique étrangère des États-Unis pourrait connaître un virage majeur. Alors que les tensions diplomatiques entre Washington et Moscou n'ont cessé de s’intensifier ces dernières années, Donald Trump semble prêt à réécrire les règles du jeu. Le président américain, favori dans la course à la Maison-Blanche, envisage un rapprochement économique avec la Russie de Vladimir Poutine, en vue de rompre ainsi avec la stratégie de sanctions imposée sous Joe Biden. S'agit-il d'une manœuvre qui vise à fragiliser l’alliance des BRICS ?
Depuis des décennies, Fort Knox incarne la puissance économique des États-Unis. Pourtant, une question insidieuse persiste : et si ces réserves légendaires n’étaient qu’un mirage ? La plateforme de paris Polymarket jette de l’huile sur le feu : un contrat spécule à 21 % sur l’absence réelle de l’or. Entre silence officiel et théories foisonnantes, le doute s’installe.
L’Europe, menacée par la tempête Trump, se trouve sur le fil du rasoir. Laurent Saint-Martin exhorte à l’unité pour contrer l’ombre d’une guerre commerciale destructrice qui se profile.
L'idée d'un impôt sur le revenu a longtemps été un pilier de la politique fiscale des États-Unis. Pourtant, Donald Trump entend remettre en cause ce modèle et propose de le remplacer intégralement par un système de taxation des importations. Une étude menée par Dancing Numbers affirme que ce projet pourrait générer d’importantes économies pour les Américains, soit 134 809 dollars par individu, et jusqu’à 325 561 dollars en supprimant d’autres prélèvements sur les revenus du travail. Mais cette proposition, si elle devait se concrétiser, ne serait pas sans conséquence, tant pour les consommateurs que pour l'économie globale. Entre promesse de pouvoir d’achat accru et risques de tensions commerciales, cette réforme fiscale fait déjà débat.
Dans un contexte géopolitique déjà marqué par des tensions économiques croissantes, Donald Trump a ravivé les hostilités commerciales et s’attaque à nouveau au BRICS. Le président américain a qualifié l’alliance économique de « morte » et a menacé de frapper ses membres avec une taxe de 100 % sur leurs exportations vers les États-Unis s’ils persistaient à remettre en cause la suprématie du dollar. Cette déclaration a immédiatement provoqué une réaction diplomatique de la Chine, qui a dénoncé un protectionnisme destructeur et affirmé son engagement à renforcer la coopération entre les économies émergentes.
Une récente enquête menée par Independent Reserve révèle qu'un tiers seulement des Australiens considère Donald Trump comme une figure positive pour le secteur des cryptomonnaies, malgré la hausse significative du Bitcoin depuis son élection. Cette étude intervient dans un contexte où les promesses pro-crypto de Trump remodèlent le paysage numérique américain.
La gestion des finances publiques est un sujet sensible, surtout lorsqu’elle est portée par une figure aussi polarisante qu’Elon Musk. Depuis sa nomination à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE), l’entrepreneur promet une réduction drastique des dépenses fédérales pour éviter une « faillite des États-Unis ». Ainsi, il a annoncé avoir économisé 8 milliards de dollars grâce à l’annulation d’un contrat gouvernemental. Un chiffre spectaculaire, mais rapidement contesté par plusieurs médias : le contrat en question ne valait en réalité que 8 millions de dollars.
La domination du dollar américain sur les échanges internationaux est plus que jamais contestée. Un bloc puissant, les BRICS, cherche activement à s’en affranchir par le développement d’une monnaie alternative. Face à cette offensive, Donald Trump, fidèle à son style, ne compte pas rester spectateur. Le président américain brandit la menace de sanctions économiques massives pour décourager toute tentative de saper l’hégémonie du billet vert. Mais, cette stratégie peut-elle vraiment inverser la tendance ou risque-t-elle d’accélérer la dynamique en cours ?
La Bourse de Paris traverse une période d'hésitation marquée, confrontée à un double défi : les menaces de guerre commerciale de Donald Trump et les développements géopolitiques autour de l'Ukraine. Ce lundi 17 février 2025, le CAC 40 affiche une légère baisse de 0,03 % à 8.176,47 points, reflétant la prudence des investisseurs face à ces enjeux majeurs.
Coinbase plane sur un avenir en or numérique : 10 000 milliards de dollars sur la blockchain et Washington en fer de lance. Armstrong prophète ou charlatan ?
Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
813 000 investisseurs lessivés, un memecoin qui s’évapore, 100 millions dans les poches des initiés. La SEC regarde ailleurs, Trump sourit : bienvenue dans le Far West de la crypto !
Les BRICS continuent de redéfinir le paysage géopolitique mondial. Tandis que le groupe s’élargit et cherche à renforcer son influence, ses relations avec l’Occident se crispent. Dernier épisode en date : l’Iran, nouvel adhérent au bloc, vient de rejeter catégoriquement toute négociation avec les États-Unis. « Négocier avec l'Amérique ne résout aucun de nos problèmes », a déclaré Téhéran. Il s’agit d’un refus ferme de toute ouverture diplomatique avec Washington. Ce positionnement, bien plus qu’une simple déclaration politique, illustre une fracture croissante entre les BRICS et les puissances occidentales.
L’élection présidentielle américaine de 2024 a ravivé l’intérêt pour les cryptomonnaies, profitant notamment à Coinbase. Avec une hausse des volumes de trading et un afflux d’investisseurs institutionnels, la plateforme crypto voit ses perspectives évoluer. Cependant, l’exchange fait face à certains défis qui pourraient lui être fatal.
Les symboles monétaires ne sont pas que de simples pièces, ils incarnent des époques, des valeurs et des habitudes ancrées dans la culture d’un pays. Pourtant, aux États-Unis, l’existence du penny est à nouveau remise en question. Donald Trump, en quête de rationalisation budgétaire, souhaite supprimer cette pièce d’un centime qu’il considère comme un gaspillage de ressources. Cette décision, loin d’être anecdotique, déclenche un débat de fond entre nécessité économique et attachement au patrimoine numismatique américain. La mesure, si elle venait à être appliquée, pourrait bouleverser des habitudes commerciales et provoquer des ajustements dans le quotidien des Américains.
Dans un monde où la finance et la politique s’entremêlent de plus en plus, le lancement du memecoin Trump par Donald Trump et ses fils a provoqué une onde de choc sur les marchés. Ce qui aurait pu être une opération de branding crypto s’est transformé en un jeu de chaises musicales brutal, où les premiers arrivés ont empoché des centaines de millions de dollars, et laissent derrière eux une marée de perdants déçus. En seulement quelques heures, des traders avertis ont multiplié leur mise de façon vertigineuse, et profitent d’une envolée spéculative qui a propulsé le prix du token à 75 dollars avant qu’il ne s’écroule. Si le phénomène des memecoins n’a rien de nouveau, le rôle direct de Donald Trump dans cette interpelle sur l’éthique, la régulation et l’avenir des cryptos politiques.
Trump brandit son glaive tarifaire, le Bitcoin vacille, tangue et trébuche, mais comme un boxeur sonné, il se relève, prêt pour un nouveau round.
Le programme crypto de Donald Trump pourrait avoir des répercussions significatives sur l'accélération du développement de l'Euro numérique, d'après Piero Cipollone, membre de la Banque Centrale Européenne (BCE). Ce dernier exprime l'espoir que le Parlement et le Conseil de l'Union européenne parviennent à finaliser les discussions sur la législation encadrant l'euro numérique d'ici l'été 2025.
L’or brille comme un soleil en pleine apocalypse financière, tandis que Bitcoin, cet ado rebelle du marché, cherche encore son identité. Une guerre des nerfs où l’ancien monde mène la danse.
Les États-Unis accélèrent leurs efforts pour réguler les stablecoins adossés au dollar. Un nouveau projet de loi, porté par des législateurs républicains, vise à établir un cadre réglementaire clair. Cette initiative reflète la volonté de renforcer la domination du dollar tout en favorisant l’innovation dans le secteur crypto.
Les rumeurs sur une monnaie commune des BRICS reviennent régulièrement, et alimentent les spéculations sur un possible contrepoids au dollar. Alors que plusieurs nations cherchent à réduire leur dépendance au billet vert, l’hypothèse d’une devise partagée déclenche l’inquiétude des États-Unis. Donald Trump a d’ailleurs menacé d’imposer des sanctions aux pays qui envisageraient une alternative. Pourtant, le Kremlin vient de désamorcer le débat : aucun projet de ce type n’est en discussion. À la place, le bloc privilégie des plateformes d’investissement conjointes, ce qui laisse planer le doute sur sa véritable stratégie monétaire.
Les relations sino-américaines continuent de se dégrader, poussant la Chine à renforcer ses liens avec l’Union européenne. Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré que Pékin considère l’Europe comme un « partenaire stratégique global et un pilier important et indépendant dans un monde multipolaire ».
Le marché crypto traverse une période de turbulence, et les altcoins semblent loin de retrouver leurs sommets de décembre. Selon l’analyste Matthew Hyland, il faudra probablement attendre avril, voire plus, pour assister à un rétablissement complet.
Les actions des sociétés minières aurifères ont bondi ce mercredi 5 février à Wall Street, portées par un nouveau record historique de l'or à 2 869,68 dollars l'once. Cette hausse spectaculaire intervient dans un contexte de guerre commerciale ravivée entre Washington et Pékin, poussant les investisseurs vers les valeurs refuges.
La création par Donald Trump d'un fonds souverain chapeauté par Howard Lutnick est de très bon augure pour la réserve de bitcoins.
Les traders crypto sont désorientés face à un marché qui ne réagit plus selon les schémas traditionnels, et ce, malgré un contexte apparemment favorable avec les initiatives pro-crypto du gouvernement américain.
Le 4 février 2025, David Sacks, récemment nommé « Czar » des cryptomonnaies et de l’intelligence artificielle (IA) par l’administration Trump, a fait une annonce retentissante lors d’une conférence historique. Devant un parterre d’investisseurs, d’entrepreneurs et de régulateurs, il a déclaré la fin de la « persécution » de l’industrie crypto aux États-Unis, un tournant majeur pour le secteur.