Panetta estime que seule une monnaie numérique centrale peut enrayer les risques des plateformes étrangères. Les détails ici !
Panetta estime que seule une monnaie numérique centrale peut enrayer les risques des plateformes étrangères. Les détails ici !
Christine Lagarde rêve d’un euro numérique supplantant le dollar dans les réserves de change mondiales. Les États-Unis misent eux sur le bitcoin.
Musk quitte le gouvernement avant la transparence obligatoire. Tesla en chute libre, X en panne, il se réfugie dans ses usines. L’économie de l’empire est-elle déjà en sursis ?
Et si l’euro s’imposait enfin comme référence mondiale ? À Berlin, Christine Lagarde a surpris son auditoire en affirmant que la monnaie unique européenne pourrait remplacer le dollar comme principal pilier des réserves internationales. Derrière cette déclaration audacieuse, la présidente de la BCE esquisse une stratégie claire : doter l’Union européenne des leviers nécessaires pour peser financièrement et géopolitiquement. Ainsi, dans un monde en recomposition, cette ambition redéfinit les rapports de force monétaires et place l’euro au cœur d’un nouvel équilibre global en gestation.
Trump fait durer le suspense, Bruxelles respire, la bourse danse. Mais derrière le rideau, les menaces pèsent toujours. Qui sortira vainqueur de cette valse douanière ?
Un coup de fil, une trêve ? Trump range les missiles douaniers. L’économie européenne souffle, mais jusqu’à quand ? Ursula murmure, Donald recule. Suspense sous haute tension jusqu’à juillet.
Le retour de Donald Trump sur le terrain économique mondial a suffi à secouer les marchés. Vendredi, une déclaration lapidaire sur Truth Social a mis le feu aux poudres : 50 % de droits de douane sur les importations européennes dès le 1er juin. La réaction ne s’est pas fait attendre. Wall Street a vacillé dès l’ouverture, les traders ont ajusté leurs positions dans l’urgence, et le marché des cryptos a encaissé le choc : le bitcoin a chuté de 4 %, ce qui a conduit à des liquidations de positions de plus de 300 millions de dollars.
Tandis que le conflit en Ukraine s’enlise, l’Union européenne franchit un seuil stratégique. Le 20 mai, Bruxelles a adopté un 17ème train de sanctions qui vise des cibles jusqu’ici peu exposées : la flotte fantôme russe, pilier logistique du contournement pétrolier. Cette manœuvre, synchronisée avec Londres, marque un tournant dans la guerre économique menée contre Moscou. En durcissant sa ligne, l’UE entend affaiblir les circuits opaques finançant l’effort militaire russe et maintenir la pression sur ses soutiens étrangers.
Revolut s’installe à Paris, dépense un milliard, recrute 200 personnes… Mais derrière la néobanque, la crypto jouera-t-elle son va-tout pour dominer l’économie européenne ? Mystère à suivre.
À l’insu du grand public, une bascule monétaire s’opère en Europe. Le dollar américain y perd du terrain. Depuis le début de l’année, des entreprises et fonds étrangers exigent des règlements en devises locales, révélant une fracture stratégique au cœur de la finance continentale. Ce mouvement, loin d’être anecdotique, s’aligne sur les ambitions des BRICS, bien décidés à éroder l’hégémonie du billet vert. Discrètement, c’est l’architecture même des échanges internationaux qui vacille, sous l’impulsion d’une alliance émergente en quête de souveraineté économique.
Trump lève (un peu) le pied sur les surtaxes douanières : l’économie respire, les analystes toussent, et Pékin ricane. 90 jours de trêve, ou 90 jours avant l’orage ?
Tandis que le conflit en Ukraine franchit un cap critique, Kiev et ses alliés occidentaux avancent une proposition de cessez-le-feu de 30 jours, intégral et sans conditions. Soutenue par Washington et les grandes capitales européennes, cette initiative vise à ouvrir une brèche vers des pourparlers. Cependant au-delà de l’appel à la trêve, une interrogation domine : Moscou y verra-t-elle une véritable main tendue ou une manœuvre tactique dissimulant un avantage stratégique pour l’Ukraine ? La réponse pourrait redessiner l’équilibre des forces sur le plan diplomatique.
L’Union européenne met fin à l’anonymat dans les transactions crypto. Dès le 1er juillet 2027, tout transfert supérieur à 1 000 € devra obligatoirement dévoiler l’identité précise de l’expéditeur et du destinataire. Selon Paschal Donohoe, président de l’Eurogroupe, ces nouvelles règles anti-blanchiment (AMLR) placent désormais clairement la blockchain et les actifs numériques sous la surveillance directe des autorités européennes. Pour les adeptes de la crypto, cette mesure constitue à la fois une révolution nécessaire et une trahison douloureuse.
La bourse réagit positivement à la décision de la Fed de maintenir ses taux inchangés. Découvrez les chiffres clés dans cet article !
Crypto : COTI participe au plan secret de la BCE pour lancer l’euro numérique dès 2026. Découvrez les détails dans cet article !
Les marchés européens ont entamé la semaine sans cap clair, coincés entre deux incertitudes majeures : les décisions imminentes des banques centrales et la crainte d’un durcissement commercial mondial. Ce lundi 5 mai, les principales places financières affichent une prudence manifeste, illustrée par des indices en léger repli et des volumes d’échange faibles. En effet, les investisseurs attendent fébrilement les prochaines annonces de la Fed et de la Banque d’Angleterre, dans un climat où chaque signal monétaire ou diplomatique peut faire basculer la tendance.
Quand Elon Musk joue à la politique avec Trump, c’est Tesla qui cale au démarrage. Entre chute libre, board frileux et tweets rageurs, l’Empire du tweet vacille dangereusement.
L’Union européenne serre la vis sur l’anonymat dans le secteur crypto. Dès 2027, les tokens confidentiels et les comptes anonymes seront interdits, marquant un tournant historique pour l’écosystème. Objectif : renforcer la lutte contre le blanchiment d’argent et imposer une transparence totale aux acteurs du marché.
Pendant que l’Asie fonce et que l’Amérique finance, l’Europe brasse du papier, empile les normes et attend que l’innovation vienne frapper à sa porte… avec le formulaire B-27.
L’UE tente d’éviter une guerre commerciale qui plomberait son économie. Dans cet article, on vous explique comment.
Tether jette un pavé dans la mare réglementaire européenne : son PDG refuse catégoriquement de soumettre l’USDT au cadre MiCA. Une décision qui pourrait bouleverser le marché des stablecoins en Europe, fragiliser les échanges crypto, et mettre en lumière une opposition frontale entre régulation et innovation financière globale.
L’Europe, jadis frileuse sur le bitcoin, veut son MicroStrategy : TBG prévoit 260 000 BTC d’ici 2033. Un plan musclé qui chatouille la BCE et secoue les marchés.
CZ, en apôtre de la liberté version crypto, a misé 500 millions sur X pour libérer les tweets… tout en priant qu’Elon Musk fasse la chasse aux bots qui pullulent.
Lors de la conférence Token2049 à Dubaï le 30 avril, Changpeng « CZ » Zhao, ex-PDG de Binance, n’a pas mâché ses mots : l’Europe serait quasiment absente du débat sur l’adoption crypto. Pour Zhao, alors que des pays comme les Émirats arabes unis ou le Bhoutan accumulent du bitcoin et de l’ethereum comme réserves stratégiques, les pays européens avancent « nulle part ».
Bunq, la néobanque européenne bien connue des nomades numériques, élargit son offre : place aux cryptos ! L’appli permet désormais de gérer épargne et crypto dans un même panier, grâce à Kraken.
L’affaire Ekaterina Djanova ressemble à un thriller financier où crypto, crime organisé et failles judiciaires s’entremêlent. Alors que cette Française de 38 ans, surnommée ‘la banquière de l’ombre’, croupit en prison depuis deux ans, un rebondissement juridique pourrait la libérer. Derrière cette possible évasion légale se cachent des questions brûlantes : comment le système crypto facilite-t-il le blanchiment à grande échelle ? Et jusqu’où s’étend l’impunité numérique ?
Pendant que le dollar fait des claquettes sur un fil de tweets présidentiels, l’euro, lui, trottine vers le trône monétaire, galvanisé par les bévues de son rival étoilé.
À l’intersection tumultueuse entre spiritualité et spéculation, une crypto-monnaie nommée LUCE défie les conventions. Alors que le Vatican pleure la disparition du pape François, ce jeton-mème, inspiré de la mascotte de l’Année Sainte 2025, s’impose comme un paradoxe moderne. Entre prières et algorithmes, la communauté crypto s’agite, transformant un événement sacré en un terrain de jeu financier. Comment un simple dessin animé a-t-il pu déclencher une frénésie aussi profane ?
L’euro numérique, future monnaie digitale émise par la Banque centrale européenne, s’apprête à transformer profondément le paysage monétaire européen. Selon la BCE, cette CBDC pourrait remplacer jusqu’à 50 % des billets en circulation et impacter significativement les dépôts bancaires ! Marquant ainsi un tournant stratégique pour l’Europe face aux actifs numériques.
Dans un monde où l’information se mêle souvent à la désinformation, Telegram, l’application de messagerie cryptée, s’est retrouvée au centre d’une polémique inédite. Alors que la France affirme avoir contraint la plateforme à respecter les règles européennes après l’arrestation de son fondateur, Pavel Durov retourne l’accusation : selon lui, ce sont les autorités françaises qui ont tardé à appliquer les procédures prévues par l’UE. Un duel rhétorique qui révèle des tensions plus profondes sur le contrôle des géants tech.