L’or, l’euro, les actions… et Bitcoin dans le coffre-fort tchèque ? La finance vacille entre audace et prudence, et Prague danse sur un fil tendu entre volatilité et ambition.
L’or, l’euro, les actions… et Bitcoin dans le coffre-fort tchèque ? La finance vacille entre audace et prudence, et Prague danse sur un fil tendu entre volatilité et ambition.
L'émetteur du stablecoin USDT fait part de ses préoccupations concernant le retrait de sa crypto des plateformes européennes. Cette décision, motivée par la nouvelle réglementation MiCA, pourrait créer selon Tether un marché "désordonné" et présenter des risques pour les consommateurs européens.
L’Union européenne intensifie son contrôle sur les stablecoins non conformes à sa nouvelle réglementation. Crypto.com vient d’annoncer la suppression de Tether (USDT) et de neuf autres cryptos en Europe, une décision qui constitue un virage pour le secteur. Une telle initiative répond directement aux exigences du règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), qui impose un encadrement strict des stablecoins et des services associés. Après Coinbase, qui a retiré l’USDT en octobre 2024, Crypto.com suit le mouvement et impose un calendrier précis à ses utilisateurs. Dès le 31 janvier 2025, l’achat et le dépôt de ces actifs seront interdits sur sa plateforme européenne. À partir du 31 mars, les fonds restants seront automatiquement convertis en stablecoins conformes à MiCA. Ce retrait dépasse la simple mise en conformité. Il redessine le paysage des stablecoins en Europe, où les plateformes d’échange doivent désormais s’adapter aux nouvelles règles ou risquer des sanctions. Dans un marché en pleine mutation, cette annonce souligne la volonté des régulateurs d’imposer un cadre strict, et laisse planer des incertitudes sur l’avenir des stablecoins décentralisés dans l’UE.
OKX et Crypto.com décrochent leurs licences MiCA. Ils accèdent à 400M de clients dans 30 marchés crypto européens. Les détails ici !
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier 2025 marque une rupture historique dans la politique américaine. En moins d'une semaine, le président a signé 78 décrets touchant des domaines aussi variés que la politique intérieure ou l'aide internationale.
La Valette, le 23 janvier 2024 - OKX, leader mondial des technologies blockchain, annonce aujourd’hui être le premier exchange d'Actifs Financiers Virtuels (Virtual Financial Asset ou VFA) à recevoir sa pré-autorisation MiCA. Avec cette étape, OKX devrait bientôt obtenir la licence MiCA, lui permettant de proposer ses services crypto réglementés et adaptés à plus de 400 millions d’Européens depuis son siège Maltais.
« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
L'Union européenne renforce son rôle de pionnière en matière de régulation financière et s’attaque à un enjeu capital : l’encadrement des cryptos. Avec l’arrivée du cadre réglementaire MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), l'ESMA, l’autorité des marchés financiers, appelle à une action rapide contre les stablecoins qui ne respectent pas les nouvelles normes. Ce virage réglementaire, qui vise à protéger les investisseurs et assurer la transparence, annonce une refonte majeure de l’écosystème crypto européen et pose des défis importants aux émetteurs comme aux plateformes d’échange.
Bayrou, prophète inquiet, dépeint une Europe spectatrice d’un dollar conquérant et d’un Trump martial, broyant nos rêves d’indépendance. L’heure n’est plus au déni : place au sursaut.
Les relations transatlantiques traversent une période de vives tensions, marquée par le retour de Donald Trump à la présidence américaine. Dans ce contexte, Isabel Schnabel, membre éminente du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a tiré la sonnette d’alarme. Elle affirme qu’une guerre commerciale entre l’Union européenne et les États-Unis est « très probable », en raison des politiques protectionnistes déjà annoncées par l’administration américaine. Si ces mesures, dont des droits de douane élevés sur les importations européennes, venaient à se concrétiser, elles pourraient déstabiliser l’économie mondiale. Cette menace, qui cible particulièrement les secteurs clés en zone euro, pose des enjeux capitaux pour l’avenir des relations économiques internationales.
Les semi-conducteurs sont devenus un pilier essentiel de l’économie mondiale et de la sécurité technologique. Dans ce contexte, la Chine a annoncé un investissement inédit de 37 milliards d’euros pour accélérer son autonomie technologique, jusque-là entravée par la domination de l’Europe et des États-Unis. Ce secteur stratégique, incarné par des acteurs comme ASML, leader mondial des équipements de photolithographie, se retrouve désormais au cœur d’une compétition féroce. Pékin ne cherche pas seulement à combler son retard, mais à redéfinir l’équilibre des forces en vue de viser une indépendance complète. Cette initiative pourrait redessiner les contours de l’innovation mondiale et intensifier les tensions sur un marché déjà sous haute pression.
D'après les projections économiques et l'analyse d'experts internationaux, aucune économie européenne ne figurera parmi les dix premières puissances mondiales à l'horizon 2050.
Entre slogans provocateurs et ambitions économiques, Musk impose son MEGA au Vieux Continent, jouant des algorithmes pour conquérir une Europe déjà fragilisée.
Tandis que l’économie américaine s’envole comme une étoile, l’Europe s’égare dans un labyrinthe de règles et de regrets amers.
Les tensions commerciales entre l’Union européenne et la Chine atteignent un nouveau sommet. En effet, depuis plusieurs mois, Bruxelles cible des entreprises chinoises qu’elle accuse de bénéficier de subventions publiques ce qui fausse la concurrence. Dans le cadre du Règlement sur les subventions étrangères (FSR), l’UE a lancé plusieurs enquêtes, notamment contre CRRC, géant chinois des équipements ferroviaires, et des fabricants de panneaux solaires impliqués dans des projets européens. Face à ces investigations, Pékin réagit vivement et dénonce des pratiques discriminatoires. Ce bras de fer, qui reflète des divergences profondes sur les règles du commerce international, pourrait redéfinir les rapports de force entre les deux puissances économiques. Alors que l’UE cherche à protéger son marché, la Chine s’inquiète d’un durcissement réglementaire qui entraverait l’expansion de ses champions industriels. Dans ce contexte, les investisseurs et les entreprises se préparent à un climat d’incertitude important, où chaque décision politique peut influencer la dynamique des échanges entre l’Europe et la deuxième économie mondiale.
La société crypto FTX accuse Backpack d’avoir acquis FTX EU sans approbation judiciaire. On vous livre tous les détails dans cet article.
MEXC, une des principales plateformes crypto, inaugure le nouvel an avec une initiative exceptionnelle pour ses utilisateurs européens. Du 2 au 16 janvier 2025, la plateforme propose des récompenses exclusives axées sur les dépôts et le trading de l’USDT. Cet événement vise à offrir une expérience utilisateur fluide et des avantages généreux tout en consolidant la présence de MEXC sur le marché européen.
Quelques déclarations suffisent à faire vaciller les marchés, et Donald Trump l’a une nouvelle fois démontré. Un article du Washington Post a laissé entendre que son équipe explorait une approche plus nuancée en matière de politique tarifaire. Cette seule hypothèse a suffi à propulser les indices boursiers vers le haut, avec les investisseurs qui parient sur un assouplissement des tensions commerciales. Pourtant, l’ancien président n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, il a fermement démenti ces informations, et dénonce une énième tentative de manipulation médiatique. Ce revirement brutal a déclenché une onde de choc sur les places financières.
Au cœur du vieux continent, l’Union européenne fait un pas décisif vers l’avenir crypto. L’entrée en vigueur du cadre réglementaire MiCA, tant attendue, souffle un vent de renouveau sur l’industrie crypto. Les acteurs du secteur saluent cette avancée, tout en redoutant un possible excès de zèle administratif. Pourtant, malgré ces craintes légitimes, l’optimisme demeure. Les investisseurs institutionnels se préparent à injecter des capitaux frais. Dans le même temps, les gouvernements peaufinent leurs stratégies de surveillance. La tension est palpable, mais MiCA promet, à long terme, de solidifier l’essor des cryptomonnaies en Europe.
Backpack Exchange, une plateforme d’échange de cryptomonnaies entièrement réglementée à l’échelle mondiale, a annoncé aujourd’hui l’acquisition de FTX EU, l’ancienne branche européenne de FTX détenant une licence MiFID II. Approuvée par le tribunal de faillite de FTX et la Cyprus Securities and Exchange Commission (CySEC), cette acquisition représente une étape majeure dans l’expansion internationale de Backpack et témoigne de son engagement à fournir des solutions de trading sécurisées et réglementées dans toute l’Europe.
Adieu gazoduc, adieu pactole : sous les bombes, Kiev souffle un vent glacial qui éteint les fourneaux russes et chauffe l’Europe d’embarras.
L’inflation en zone euro continue de faire l’objet d’une attention particulière, alors que les marchés scrutent la publication des chiffres de décembre. Selon les estimations de FactSet, la hausse des prix à la consommation devrait atteindre 2,4 % sur un an, contre 2,2 % en novembre. Cette progression, bien que modérée, provoque des interrogations sur la trajectoire que la Banque centrale européenne (BCE) s’apprête à emprunter. D’un côté, certains investisseurs misent sur un assouplissement monétaire rapide, convaincus que l’inflation reviendra progressivement vers l’objectif des 2 % fixé par la BCE. De l’autre, la durabilité d’une inflation sous-jacente à 2,7 %, alimentée par la hausse des prix des services et des produits alimentaires, incite la banque centrale à la prudence. Alors que la BCE doit tenir sa première réunion de l’année le 30 janvier, l’équilibre entre soutien à l’économie et contrôle des prix s’annonce particulièrement délicat.
En 2024, les cryptos ont franchi une étape capitale, avec leur intégration croissante dans les systèmes financiers mondiaux. Cette année a été rythmée par des initiatives majeures, portées par des régulations ambitieuses et des projets stratégiques d’envergure. Aux États-Unis, l'adoption potentielle du Bitcoin Act a ouvert la voie à des discussions sur le rôle des cryptos dans la souveraineté économique. En Europe, le cadre réglementaire MiCA a instauré des règles inédites pour stabiliser les marchés et protéger les investisseurs. Dans le même temps, l’Amérique latine s’est affirmée comme un acteur clé, avec des partenariats novateurs comme celui du Salvador et de l’Argentine, ce qui consolide leur position face aux défis économiques locaux. Ces avancées témoignent d’un mouvement global en faveur de l’adoption de ces actifs, et dessinent une nouvelle trajectoire pour l’industrie crypto et ses implications futures.
L’Ukraine stoppe le transit du gaz russe dès 2025. Découvrez les conséquences majeures pour l’économie de l’Europe !
L’Union européenne est à l’aube d’un changement historique avec l’entrée en vigueur imminente du règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets), destiné à encadrer les cryptos et à renforcer la transparence sur le marché. Parmi les nombreuses implications de cette réglementation, le sort du stablecoin USDT, émis par Tether, déclenche des interrogations majeures. Ce token, qui occupe une place centrale dans les transactions crypto à travers le monde, pourrait se voir interdit ou restreint en Europe si les autorités jugeaient qu’il ne satisfait pas aux exigences de MiCA. Pourtant, alors que la date butoir du 30 décembre 2024 approche, aucune directive claire n’a été communiquée. Cette situation a conduit à des réponses variées parmi les grandes plateformes d’échange. Par exemple, Coinbase a pris les devants par le retrait de l’USDT de ses services européens, et opte pour une approche conservatrice face aux incertitudes réglementaires. À l’inverse, des acteurs majeurs comme Binance et Crypto.com maintiennent le stablecoin accessible, car ils parient sur des clarifications futures. Ce climat d’ambiguïté reflète l’ampleur des défis que pose la mise en œuvre de MiCA, et éclaire sur la nécessité d’un cadre harmonisé pour éviter de perturber un secteur en pleine expansion.
Le commerce mondial traverse une période marquée par des tensions croissantes, où diplomatie et économie s’entremêlent dans des rivalités stratégiques. En effet, l’ouverture par la Chine d’une enquête antidumping sur les importations de cognac européen renseigne sur un nouveau front dans le conflit commercial avec l’Union européenne. Cette démarche, perçue comme une réponse directe aux accusations européennes contre les subventions chinoises aux véhicules électriques, reflète une escalade des représailles économiques entre deux puissances majeures. Un tel dossier va au-delà d’un simple différend commercial. Il pose des questions fondamentales sur l’équilibre des échanges internationaux et le rôle des institutions comme l’Organisation mondiale du commerce pour arbitrer ces différends dans un contexte de rivalités de plus en plus complexes.
Les tensions entre les États-Unis et l’Union européenne connaissent une nouvelle escalade. Donald Trump, connu pour sa politique commerciale agressive, a pris pour cible l’excédent commercial européen, qu’il qualifie d’« énorme ». Le président américain élu menace d’imposer de lourdes taxes douanières si les pays européens ne réduisent pas ce déséquilibre par l’augmentation significative de leurs achats de pétrole et de gaz américains. Cette stratégie s’intègre dans la continuité de son discours protectionniste qui vise à renforcer la compétitivité des États-Unis sur la scène mondiale.
L’Union européenne s’apprête à franchir une étape majeure dans la régulation des cryptos avec l’entrée en vigueur imminente des règles MiCA (Markets in Crypto-Assets). Cette initiative, saluée par certains comme un pas vers une meilleure transparence et une lutte accrue contre les abus financiers, déclenche cependant de vives inquiétudes parmi les acteurs de l’industrie. En effet, la réglementation impose le retrait de l’USDT, le stablecoin le plus utilisé au monde, des plateformes régulées au sein de l’UE. Une telle décision pourrait bouleverser l’équilibre des marchés européens et remettre en question leur attractivité sur la scène mondiale.
En 2024, Bitvavo a franchi une étape majeure en enregistrant un volume de trading de près de 100 milliards d'euros, consolidant ainsi sa position de leader sur le marché européen des cryptos. Cette performance exceptionnelle est le fruit d'une combinaison de plusieurs facteurs favorables, qui ont propulsé la plateforme vers de nouveaux sommets.
L’Europe, toujours à la remorque de Washington, ne devrait plus tarder à s’aligner en levant l’anathème sur le bitcoin.