L’économie risque un séisme commercial : les droits de douane suspendus pourraient entrer en vigueur en août. Les détails ici !
L’économie risque un séisme commercial : les droits de douane suspendus pourraient entrer en vigueur en août. Les détails ici !
Le débat sur la sortie de l'euro refait surface régulièrement en France. Alors que de nouvelles élections présidentielles auront lieu en 2027, la victoire du Rassemblement National, pourrait aboutir à une sortie de l’euro. Les français pourraient bien en ressortir ruinés !
Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
À l’heure où les tensions commerciales redessinent les rapports de force mondiaux, l’Europe fait face à une menace directe : Washington impose un ultimatum au 9 juillet pour conclure un accord bilatéral. Passé ce délai, des surtaxes pouvant grimper à 70 % s’abattraient sur les exportations européennes dès le 1er août. Dans ce climat sous haute tension, Bruxelles tente d’éviter un choc frontal avec une administration américaine résolue à imposer ses règles. Une négociation express s’engage pour éviter un basculement dans l’affrontement tarifaire.
Tandis que la planète entière retient son souffle face à l’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, l’Union européenne, elle, avance d’un pas décidé. Là où d’autres tergiversent, elle légifère. Face aux géants technologiques et aux gouvernements frileux, Bruxelles n’attend ni consensus mou, ni validation extérieure. Sa stratégie ? Réguler d’abord, innover ensuite. Un pari risqué, peut-être. Mais un pari assumé. Et surtout, un message clair : l’IA ne sera pas la jungle en Europe.
Tandis que les stablecoins gagnent en légitimité, une loi américaine ravive les fractures entre souveraineté monétaire et suprématie du dollar. Avec la GENIUS Act, adoptée par le Sénat, Washington encadre les cryptos adossées au billet vert. Toutefois en Europe, la riposte s’organise. Amundi redoute une déstabilisation mondiale. Derrière ce cadre juridique, se dessine une offensive monétaire aux effets systémiques.
Le responsable des affaires publiques de Bitpanda alerte sur les disparités persistantes dans l’application de la réglementation MiCA à travers l’Europe. Malgré ses promesses d’harmonisation, l’Union européenne peine à instaurer un véritable marché unique des cryptos. MiCA est en marche, certes, mais chaque État membre interprète et applique la loi à sa manière.
Bybit, la deuxième plus grande plateforme d’échange de cryptomonnaies au monde par volume, annonce aujourd’hui le lancement officiel de Bybit.eu, une plateforme dédiée exclusivement aux utilisateurs de l’Espace économique européen (EEE). Exploitée par Bybit EU GmbH, prestataire de services sur crypto-actifs agréé au titre du règlement MiCAR, cette initiative marque une étape majeure dans la mission de Bybit : offrir une plateforme d’échange d’actifs numériques sûre, transparente et pleinement conforme en Europe.
Les cartes crypto rivalisent désormais avec les banques traditionnelles pour les achats quotidiens en Europe. Avec près de la moitié des transactions inférieures à 12 dollars, ces nouveaux outils de paiement transforment les habitudes de consommation. Une révolution silencieuse qui redéfinit l'avenir des paiements européens.
Pendant que Trump fonce tête baissée pour sauver ses stablecoins, l’Europe déroule MiCA et rafle la mise crypto. Et si, pour une fois, la bureaucratie gagnait la course ?
La Cour de justice de l’Union européenne pourrait rejeter l’appel de Google contre une amende de 4,7 milliards de dollars. Ce revers judiciaire n’est pas qu’une affaire d’antitrust : il incarne les tensions croissantes entre les géants technologiques américains et la souveraineté numérique européenne.
Christine Lagarde appelle l'Europe à renforcer son rôle mondial en consolidant le commerce, l'économie et la gouvernance - des mesures qui pourraient également ouvrir de nouvelles portes à la croissance des cryptomonnaies dans toute la région.
L’Europe, jadis pionnière dans la régulation des cryptos, pourrait bientôt n’être qu’un simple couloir traversé par l’innovation sans jamais la retenir. Tandis que les États-Unis et l’Asie multiplient les avancées concrètes, le Vieux Continent s’enlise dans la prudence. Catriona Kellas, responsable juridique chez Franklin Templeton, ne mâche pas ses mots : l’UE risque d’être reléguée au rang de spectatrice, incapable de rivaliser face à la dynamique des grandes puissances concurrentes.
Missiles au Moyen-Orient, marchés en déroute : pendant que l’économie s’enrhume, certains font fortune sur les barils… et d’autres préfèrent fuir en or massif. Devinez qui tire les ficelles ?
Depuis le début de l’année, le dollar s’effondre face à l’euro et aux autres devises majeures. Une dynamique qui semble loin d’être terminée. Les marchés s’ajustent à un contexte géopolitique incertain, alimenté par les décisions économiques de l’administration Trump. Jusqu’où ira la dégringolade du billet vert ?
Pendant que l’Europe tergiverse sur la crypto, SG-FORGE dégaine un stablecoin en dollar : deux blockchains, zéro buzz, mais une offensive qui pourrait bien renverser la table des devises numériques.
MiCA même pas digéré, voilà Bruxelles déjà en train d’aiguiser sa hache contre la DeFi : une crypto-législation de plus pour museler les codes rebelles avant 2026 ?
Les marchés européens vacillent, les investisseurs fuient, et même les entreprises paniquent. Que se cache-t-il derrière ce chaos économique ? Une question brûlante refait surface : L’Europe a-t-elle détruit notre économie ? Découvrez ce que personne n’ose dire.
Panetta estime que seule une monnaie numérique centrale peut enrayer les risques des plateformes étrangères. Les détails ici !
Christine Lagarde rêve d’un euro numérique supplantant le dollar dans les réserves de change mondiales. Les États-Unis misent eux sur le bitcoin.
Musk quitte le gouvernement avant la transparence obligatoire. Tesla en chute libre, X en panne, il se réfugie dans ses usines. L’économie de l’empire est-elle déjà en sursis ?
Et si l’euro s’imposait enfin comme référence mondiale ? À Berlin, Christine Lagarde a surpris son auditoire en affirmant que la monnaie unique européenne pourrait remplacer le dollar comme principal pilier des réserves internationales. Derrière cette déclaration audacieuse, la présidente de la BCE esquisse une stratégie claire : doter l’Union européenne des leviers nécessaires pour peser financièrement et géopolitiquement. Ainsi, dans un monde en recomposition, cette ambition redéfinit les rapports de force monétaires et place l’euro au cœur d’un nouvel équilibre global en gestation.
Trump fait durer le suspense, Bruxelles respire, la bourse danse. Mais derrière le rideau, les menaces pèsent toujours. Qui sortira vainqueur de cette valse douanière ?
Un coup de fil, une trêve ? Trump range les missiles douaniers. L’économie européenne souffle, mais jusqu’à quand ? Ursula murmure, Donald recule. Suspense sous haute tension jusqu’à juillet.
Le retour de Donald Trump sur le terrain économique mondial a suffi à secouer les marchés. Vendredi, une déclaration lapidaire sur Truth Social a mis le feu aux poudres : 50 % de droits de douane sur les importations européennes dès le 1er juin. La réaction ne s’est pas fait attendre. Wall Street a vacillé dès l’ouverture, les traders ont ajusté leurs positions dans l’urgence, et le marché des cryptos a encaissé le choc : le bitcoin a chuté de 4 %, ce qui a conduit à des liquidations de positions de plus de 300 millions de dollars.
Tandis que le conflit en Ukraine s’enlise, l’Union européenne franchit un seuil stratégique. Le 20 mai, Bruxelles a adopté un 17ème train de sanctions qui vise des cibles jusqu’ici peu exposées : la flotte fantôme russe, pilier logistique du contournement pétrolier. Cette manœuvre, synchronisée avec Londres, marque un tournant dans la guerre économique menée contre Moscou. En durcissant sa ligne, l’UE entend affaiblir les circuits opaques finançant l’effort militaire russe et maintenir la pression sur ses soutiens étrangers.
Revolut s’installe à Paris, dépense un milliard, recrute 200 personnes… Mais derrière la néobanque, la crypto jouera-t-elle son va-tout pour dominer l’économie européenne ? Mystère à suivre.
À l’insu du grand public, une bascule monétaire s’opère en Europe. Le dollar américain y perd du terrain. Depuis le début de l’année, des entreprises et fonds étrangers exigent des règlements en devises locales, révélant une fracture stratégique au cœur de la finance continentale. Ce mouvement, loin d’être anecdotique, s’aligne sur les ambitions des BRICS, bien décidés à éroder l’hégémonie du billet vert. Discrètement, c’est l’architecture même des échanges internationaux qui vacille, sous l’impulsion d’une alliance émergente en quête de souveraineté économique.
Trump lève (un peu) le pied sur les surtaxes douanières : l’économie respire, les analystes toussent, et Pékin ricane. 90 jours de trêve, ou 90 jours avant l’orage ?
Tandis que le conflit en Ukraine franchit un cap critique, Kiev et ses alliés occidentaux avancent une proposition de cessez-le-feu de 30 jours, intégral et sans conditions. Soutenue par Washington et les grandes capitales européennes, cette initiative vise à ouvrir une brèche vers des pourparlers. Cependant au-delà de l’appel à la trêve, une interrogation domine : Moscou y verra-t-elle une véritable main tendue ou une manœuvre tactique dissimulant un avantage stratégique pour l’Ukraine ? La réponse pourrait redessiner l’équilibre des forces sur le plan diplomatique.