Que fera la Chine si les États-Unis se mettent véritablement à vendre de l’or pour embrasser le bitcoin ?
Que fera la Chine si les États-Unis se mettent véritablement à vendre de l’or pour embrasser le bitcoin ?
L'internationalisation de la monnaie chinoise n'est plus un fantasme. La croissance des paiements à l'international en yuan est fulgurante. Le bitcoin en embuscade.
Tandis que la guerre en Ukraine entre dans une phase critique, Donald Trump jette un pavé dans la mare diplomatique. Le président américain a affirmé qu’aucune nouvelle sanction contre Moscou ne serait prise tant que les pays de l’OTAN continueront d’acheter du pétrole russe. Cette déclaration met à nu les fractures persistantes au sein de l’Alliance et relance la question de sa cohérence stratégique face à la Russie.
De plus en plus d'entreprises accumulent des bitcoins, mais aussi de plus en plus de pays. Le dernier en date est le Kirghizstan, un petit pays d'Asie centrale.
Tandis que les tensions économiques s’intensifient entre grandes puissances, une voix dissonante remet en cause le récit dominant à Washington. Selon Boris Kopeikin, chef économiste à l’Institut Stolypine, le déficit commercial des États-Unis avec la Chine ne serait pas l’effet d’une stratégie des BRICS, mais d’un affaiblissement structurel de l’économie américaine. Cette lecture relance le débat sur les causes profondes des déséquilibres américains dans un monde en pleine reconfiguration.
Le brut américain perd du terrain. Cette semaine, l’Indian Oil Corporation (IOC), premier raffineur public indien, a tourné le dos aux cargaisons venues des États-Unis pour se réorienter vers le Moyen-Orient et l’Afrique de l’Ouest. Ce rééquilibrage logistique, en apparence technique, traduit une bascule stratégique : montée des alliances énergétiques au sein des BRICS, recul du dollar dans les échanges pétroliers et affirmation d’un nouvel ordre économique.
Les rapports du marché du travail américain ont provoqué des ondes de choc dans les marchés financiers, incitant des actifs à risque comme le Bitcoin à connaître de fortes variations de prix. Avec des données sur l'emploi pour août inférieures aux prévisions, des alarmes prévisibles ont éclaté concernant une récession imminente, ce qui pourrait susciter un nouvel appétit pour les actifs à risque.
Crypto, blockchain et IA au cœur d’un projet controversé pour Gaza. Découvrez tous les détails dans cet article.
Les États-Unis et le cercle présidentiel sont all-in sur le bitcoin pendant que l'Europe continue de creuser son retard.
Il n’y a pas que la France de Bayrou qui se porte mal. L'Europe traverse une crise systémique que la planche à billets de la BCE ne parvient plus à résoudre. Malgré des années d’injections massives, la zone euro s'enfonce dans un cercle vicieux de stagnation et d'endettement insoutenable. Il semblerait, que cette fois, contrairement à 2008, la BCE ne puisse plus sauver l’Europe du crash.
En cherchant à isoler ses rivaux, Donald Trump pourrait bien obtenir l’effet inverse. Sous la pression de ses sanctions commerciales, les pays du bloc des BRICS, longtemps divisés, amorcent un rapprochement stratégique inédit. À mesure que les tensions montent, la Chine, l’Inde, la Russie et leurs partenaires semblent plus enclins que jamais à coopérer sur les plans économique et diplomatique.
En pleine recomposition géopolitique, l’Union européenne et les États-Unis viennent d’entériner un compromis commercial présenté comme un rempart contre l’escalade. Soutenu par Ursula von der Leyen, mais vivement critiqué par Mario Draghi, le texte cristallise un dilemme européen : garantir la stabilité transatlantique ou défendre pleinement les intérêts industriels du continent. Entre équilibre diplomatique et concessions tarifaires, ce nouvel accord relance le débat sur la souveraineté économique de l’Europe.
Ambani, autrefois choyé par Trump, se retrouve grillé à l’huile russe. Quand l’économie indienne titille l’Oncle Sam, ça sent le pétrole chaud et la diplomatie à la friture.
Elon Musk, figure de proue de la tech et habitué des ruptures stratégiques, avait secoué la scène politique américaine en évoquant la création de son propre mouvement, l’« America Party ». L’annonce, spectaculaire, laissait présager une redéfinition du jeu électoral. Mais à la surprise générale, le projet est désormais suspendu.
Dans un climat mondial sous haute tension, un nom inattendu s'impose dans les paris liés au Prix Nobel de la Paix : Donald Trump. En effet, donné favori sur les plateformes Polymarket et Kalshi, le président américain devance plusieurs figures historiques. Cette percée, portée par les dynamiques géopolitiques et relayée dans les cercles crypto, déclenche autant de spéculations que d’interrogations. Simple reflet d’un engouement stratégique ou indice d’un repositionnement international ?
Les États-Unis prolongent de 90 jours la trêve tarifaire conclue avec la Chine. Le président américain a signé, le 11 août, un décret fixant la nouvelle échéance au 10 novembre. Les surtaxes en place sont maintenues. Cette mesure évite une hausse automatique des droits de douane et laisse un délai supplémentaire pour poursuivre les négociations.
Tandis que la guerre commerciale s’intensifie, Pékin et Moscou affichent leur détermination. En juillet, leurs échanges ont bondi à 19,14 milliards de dollars, un record annuel qui contraste avec la morosité du premier semestre. Ce rebond intervient alors que Donald Trump menace la Chine de nouveaux droits de douane, après avoir sanctionné l’Inde pour ses achats de pétrole russe.
Alors que Donald Trump relance la guerre commerciale, la Suisse encaisse de plein fouet. Entre tensions diplomatiques et choc économique, l’équilibre européen vacille.
Emmanuel Macron scrute les réseaux sociaux avec une inquiétude grandissante. Les annonces budgétaires de François Bayrou attisent une colère populaire qui rappelle étrangement l'automne 2018. L'Élysée redoute un retour du mouvement des Gilets Jaunes qui avait ébranlé son premier mandat et menacé le régime.
L’Union européenne et Donald Trump viennent de conclure un accord historique, mais controversé. Objectif affiché : redéfinir les échanges transatlantiques. Mais derrière l’annonce officielle, c’est toute l’économie européenne qui tremble. Tous les détails dans les paragraphes qui suivent !
Face à la fragilisation du système monétaire mondial et à la domination contestée du dollar, les BRICS avancent discrètement, mais sûrement vers une alternative stratégique : une monnaie commune adossée à des infrastructures numériques souveraines. Portée par un bloc désormais élargi et économiquement influent, cette initiative vise à redessiner l’équilibre monétaire global. Tandis que l’instabilité des devises fiduciaires s’aggrave, l’émergence d’un tel projet interpelle marchés, institutions et observateurs : s’agit-il d’un signal fort vers un nouvel ordre économique multipolaire ?
La Chine reste insensible aux menaces et se débarrasse de la dette américaine. Le bitcoin en embuscade.
L'administration Trump a dévoilé son plan pour faire des États-Unis la « capitale mondiale » de l'IA. Cette stratégie supprime les contraintes environnementales et les politiques de diversité qui encadraient le secteur. Mais cette course vers la suprématie technologique ne cache-t-elle pas des enjeux géopolitiques plus profonds ?
Le chaos mondial actuel n'est pas le fruit du hasard. Selon une théorie développée par les historiens Neil Howe et William Strauss, nous entrons dans un cycle destructeur qui redessine les sociétés tous les 80 à 100 ans. Cette transformation majeure pourrait bouleverser l'économie mondiale, les marchés financiers et redéfinir l'ordre géopolitique tel que nous le connaissons.
Tandis que les puissances émergentes renforcent leur coopération économique, Donald Trump relance les tensions en ciblant frontalement le bloc des BRICS. Ses menaces tarifaires et ses propos offensifs visent bien plus qu’une alliance : c’est l’hégémonie du dollar, l’avenir des politiques multilatérales et les ambitions autour des monnaies numériques qui sont visés. Cette prise de position, à la fois politique et économique, pourrait rebattre les cartes du commerce international et peser sur les équilibres déjà fragiles entre sphère occidentale et stratégies alternatives des marchés émergents.
Alors qu’il multiplie les signaux de fermeté sur la scène internationale, Donald Trump a imposé un ultimatum de 50 jours à la Russie pour qu’elle mette fin à la guerre en Ukraine. Cette sortie musclée, très commentée dans les cercles diplomatiques et militaires, a aussi provoqué un séisme inattendu sur les marchés financiers. Le bitcoin, particulièrement réactif aux tensions géopolitiques, a entamé une chute rapide dès l’annonce, atteignant ce matin les 116 000 dollars. Le climat d’incertitude créé par cet avertissement présidentiel nourrit à la fois les spéculations politiques et les turbulences économiques.
Pendant que Moscou électrifie ses fermes et que Pékin mine sans bruit, Washington glisse doucement : mais qui tirera vraiment les ficelles du bitcoin dans ce drôle de jeu énergétique ?
Tandis que les équilibres mondiaux se redessinent, le sommet des BRICS à Rio a esquissé les contours d’une influence multipolaire plus affirmée. Derrière l’absence remarquée de Xi Jinping et Vladimir Poutine, les discussions ont débouché sur des propositions concrètes : réforme des institutions internationales, coopération climatique renforcée, encadrement de l’intelligence artificielle. Moins spectaculaire, mais plus stratégique, cette édition renseigne sur les ambitions du Sud global, tout en révélant les tensions latentes qui fragilisent la cohérence d’un bloc en quête de crédibilité.
Trump claque la porte du G7 et ressort ses armes tarifaires. Le Canada trinque, l’économie tangue, et le cuivre flambe. Que mijote vraiment le chef étoilé du protectionnisme ?
L’annonce par Donald Trump de droits de douane de 10 % sur les pays des BRICS relance un débat stratégique : les États-Unis risquent-ils, en voulant défendre leur leadership, d’accélérer la dédollarisation ? Derrière cette offensive commerciale se dessine une fracture plus profonde, où des puissances émergentes cherchent à rompre avec la domination du billet vert. Alors que les tensions géoéconomiques s’intensifient, la question s’impose : Washington ne serait-il pas en train de précipiter la remise en cause de l’ordre monétaire qu’il s’efforce de préserver ?