Jerome Powell vient de frapper un grand coup : la Fed baisse ses taux de 0,25 % (25 bps), une décision qui pourrait tout changer pour le marché crypto. Les experts prévoient un rallye historique, mais attention aux pièges. Décryptage complet.
Jerome Powell vient de frapper un grand coup : la Fed baisse ses taux de 0,25 % (25 bps), une décision qui pourrait tout changer pour le marché crypto. Les experts prévoient un rallye historique, mais attention aux pièges. Décryptage complet.
Les minutes de la Fed publiées ce 8 octobre confirment un virage monétaire attendu, mais délicat. Si la baisse des taux est désormais enclenchée, l’ampleur du mouvement d’ici la fin de l’année divise encore le comité. Dans un contexte de ralentissement de l’emploi, d’inflation contenue et de paralysie gouvernementale, cette inflexion pèse lourd sur les anticipations de marché. Pour les investisseurs crypto, sensibles aux signaux de politique monétaire, chaque hésitation de la Fed devient un facteur de volatilité.
Les marchés parient presque à l’unanimité sur une baisse des taux le 29 octobre. Pourtant, un scénario bien plus discret commence à inquiéter : celui d’un statu quo de la Fed. Dans un contexte de données économiques incomplètes et d’incertitudes persistantes sur la croissance, l’hypothèse d’un immobilisme stratégique gagne du terrain. Et si ce scénario, encore largement sous-estimé, déclenchait la plus violente réaction des marchés ?
La piste d’une hausse de la flat tax refait surface dans les discussions budgétaires. En amont du projet de loi de finances 2026, Bercy envisagerait un relèvement du prélèvement forfaitaire unique, fixé depuis 2018 à 30 %. Aucun arbitrage n’a encore été effectué, mais le retour de cette mesure, longtemps considérée comme un marqueur fiscal du macronisme, déclenche déjà des tensions. Dans un contexte de déficit structurel et de pressions sur les recettes, la stabilité du cadre fiscal de l’épargne pourrait être remise en question.
Les chiffres de l’inflation PCE pour le mois d’août, publiés ce vendredi 27 septembre, confirment une stabilité apparente, avec une progression conforme aux attentes. Indicateur clé pour la Réserve fédérale, le PCE reste au-dessus de la cible, tandis que la consommation américaine continue de surprendre par sa vigueur. Dans un contexte de tension monétaire, ces données entretiennent le flou sur la trajectoire à venir des taux d’intérêt.
La Réserve fédérale a tranché, mais sans certitudes. Selon Jerome Powell, aucun ajustement des taux ne sera sans conséquence. Alors que plusieurs banques centrales ont entamé un cycle de baisse, le président de la Fed alerte sur une impasse stratégique. Dans un contexte où l’inflation résiste et l’emploi vacille, toute décision devient risquée. Un signal fort envoyé aux marchés qui scrutent chaque mot de la Fed à l’approche d’un tournant monétaire décisif.
Ce mercredi 17 septembre, la banque centrale américaine devrait abaisser son taux directeur de 25 points de base. Une décision déjà intégrée par les marchés, mais loin d’être anodine, car l’inflation reste au-dessus de la cible et l’emploi ralentit. Derrière cette inflexion monétaire, les investisseurs guettent un signal. Secousse éphémère ou catalyseur d’un nouveau cycle ? Du bitcoin à l’or, en passant par Wall Street, tous les actifs scrutent le verdict de Jerome Powell.
Le bras de fer entre Donald Trump et la Réserve fédérale américaine franchit un seuil inédit. Le 9 septembre, la justice fédérale a suspendu le limogeage de Lisa Cook, gouverneure de la Fed, décidé par le président américain. Une décision rare, qui souligne l’enjeu majeur de ce conflit : l’indépendance de la banque centrale face aux pressions politiques. À l’approche d’une réunion stratégique sur les taux, ce coup d’arrêt judiciaire relance le débat sur les limites du pouvoir exécutif dans la conduite de la politique monétaire.
La hiérarchie des dettes souveraines européennes vient de basculer. Ce mardi 9 septembre, la France emprunte à un taux plus élevé que l’Italie sur les obligations à dix ans. Moins de 24 heures après la chute du gouvernement Bayrou, les marchés ont tranché : la signature française n’est plus un refuge. Ce renversement, inédit depuis plus d’une décennie, acte une perte de confiance qui touche la crédibilité budgétaire de l’État.
En cette rentrée, les grandes banques revoient leur copie. Face à un net ralentissement de l’économie américaine, l’idée de deux à trois baisses de taux dès cette année s’impose peu à peu. Les investisseurs, suspendus aux moindres signaux de la Fed, voient dans ce changement de cap un tournant potentiel.
À deux semaines d’une réunion capitale de la Réserve fédérale, le gouverneur, pressenti pour succéder à Jerome Powell en 2026, s’est démarqué avec une déclaration sans ambiguïté. Il veut une baisse des taux dès septembre. Dans un entretien accordé à CNBC, il a affirmé que l’économie américaine exigeait un ajustement immédiat, rompant ainsi avec la prudence affichée par d’autres responsables monétaires.
En pleine recomposition géopolitique, l’Union européenne et les États-Unis viennent d’entériner un compromis commercial présenté comme un rempart contre l’escalade. Soutenu par Ursula von der Leyen, mais vivement critiqué par Mario Draghi, le texte cristallise un dilemme européen : garantir la stabilité transatlantique ou défendre pleinement les intérêts industriels du continent. Entre équilibre diplomatique et concessions tarifaires, ce nouvel accord relance le débat sur la souveraineté économique de l’Europe.
Une nouvelle proposition à l'Assemblée de l'État de New York vise à imposer une petite taxe sur les ventes et les transferts de cryptomonnaies. Le député Phil Steck a introduit une législation visant une taxe d'accise de 0,2 % sur les transactions d'actifs numériques, y compris les cryptomonnaies et les jetons non fongibles (NFT). Le projet de loi, s'il est adopté, pourrait remodeler la manière dont l'État aborde la finance numérique tout en canalisant les recettes vers des programmes scolaires de prévention de l'abus de substances.
Tandis que la majorité anticipait une baisse des taux de la Fed en septembre, un indicateur clé vient semer le doute. La publication du dernier indice des prix à la production (PPI) ravive les craintes inflationnistes et refroidit les espoirs d’un assouplissement monétaire. Ce revirement subtil, mais lourd de sens rebat les cartes dans un contexte où la politique de la Fed dicte le tempo des actifs risqués, et plus que jamais, celui du marché crypto.
La Réserve fédérale américaine pourrait amorcer une inflexion majeure dès septembre avec une première baisse de ses taux directeurs. Un scénario désormais envisagé par plusieurs grandes banques, dont Goldman Sachs, et qui redessine les perspectives des marchés financiers. Pour les investisseurs crypto, confrontés depuis des mois à un contexte monétaire restrictif, ce pivot attendu pourrait raviver l'appétit pour le risque et servir de catalyseur à un nouveau cycle haussier.
L’équilibre déjà fragile de l’économie mondiale vient d’encaisser un nouveau coup. Le 1er août, Donald Trump a signé un décret imposant de lourds droits de douane à soixante-dix pays, avec une entrée en vigueur prévue le 7 août. Cette annonce a immédiatement ébranlé les marchés financiers, amplifiant les tensions sur fond d’instabilité globale. Derrière cette offensive commerciale se dessine une stratégie protectionniste affirmée, aux conséquences potentiellement massives pour le commerce international, les relations diplomatiques et la trajectoire économique des mois à venir.
Le bras de fer entre Donald Trump et la Réserve fédérale s’intensifie. Le président accuse l’institution de saboter la reprise économique en refusant d’abaisser les taux rapidement. À l’approche d’une réunion décisive et sur fond de tensions commerciales croissantes, la Fed est sous le feu des critiques. Dans un climat de plus en plus politisé, l’indépendance de la banque centrale est mise à l’épreuve, alors que les marchés scrutent ses moindres signaux à l’heure où la trajectoire économique des États-Unis reste incertaine.
Tandis que les lignes du commerce mondial se redessinent sous la pression géopolitique, Donald Trump abat ses cartes. Avant une rencontre en Écosse avec Ursula von der Leyen, le président américain prévient : aucun tarif douanier inférieur à 15 % ne sera accordé à l’Union européenne. Cette posture ferme, aux répercussions directes sur les flux transatlantiques, pourrait aussi impacter les filières stratégiques comme le numérique et la blockchain. Derrière cette manœuvre se profile un bras de fer économique entre deux visions opposées de la souveraineté commerciale.
Face au relèvement des droits de douane décrété par Donald Trump, 30 % sur les importations européennes dès le 1er août, Bruxelles sort l’artillerie lourde. La Commission a validé une contre attaque tarifaire de 93 milliards d’euros, ciblant des secteurs stratégiques américains. Une escalade économique s’ouvre entre deux blocs majeurs, sur fond de tensions politiques et de fragilité des échanges mondiaux.
Bruxelles retient son souffle. À l’approche du 1ᵉʳ août, le différend commercial avec Washington glisse vers l’affrontement stratégique. Face à la menace d’une surtaxe de 30 % sur les importations européennes, Paris et Berlin exigent une riposte ferme. Leur objectif : pousser l’UE à activer, pour la première fois, l’instrument anti-coercition.
L’épargne préférée des Français s’apprête à subir un sérieux revers. Le taux du Livret A, détenu par plus de 55 millions de personnes, tombera à 1,7 % au 1er août 2025, contre 2,4 % aujourd’hui. Une baisse marquante, la plus forte depuis 2009, validée par la Banque de France et conforme à la formule réglementaire. Dans un climat économique encore fragile, cette décision relance le débat sur la rentabilité de l’épargne réglementée et interroge sur les choix futurs des épargnants en quête de solutions alternatives.
Depuis le début du mois de juillet, les investisseurs prêtent à l’Italie à un taux inférieur à celui exigé pour la France. En effet, la courbe s’est inversée pour la première fois depuis 2005, fragilisant la place de Paris dans la hiérarchie du risque souverain en zone euro. Et pourtant, la France conserve une meilleure notation. Ce paradoxe renvoie à une réalité perceptible : les marchés doutent. Et dans cette hésitation, les actifs alternatifs gagnent du terrain.
Alors que les marchés s’attendaient à un virage monétaire clair en 2025, Jerome Powell, président de la Réserve fédérale, a douché les espoirs en désignant un responsable inattendu : Trump. Oui, Donald Trump, de retour à la Maison Blanche depuis janvier, impose sa marque sur l’économie américaine, au point de forcer la Fed à jouer la montre. Dans un contexte où chaque mot compte, Powell a lâché une bombe diplomatique, en accusant les politiques de Trump de bloquer la baisse des taux.
Dans un climat économique marqué par les tensions géopolitiques et l’attentisme face aux décisions de la Fed, Morgan Stanley vient bouleverser le consensus. La banque d’investissement anticipe sept baisses de taux en 2026, dès mars, avec un taux terminal entre 2,5 % et 2,75 %. Une projection tranchée, publiée ce 25 juin, qui contraste avec la prudence ambiante et relance les débats sur le calendrier monétaire américain.
Quand Trump insulte, Waller anticipe, Powell temporise et l’économie patine : qui gagnera ce drôle de bal des taux orchestré entre inflation, chômage et guerre de nerfs monétaire ?
En reconduisant pour la quatrième fois consécutive ses taux directeurs, la Fed n’a pas simplement prolongé une politique monétaire. Elle a pris position dans un paysage économique et politique sous tension. Inflation tenace, croissance fragilisée, pression politique à peine voilée... Le statu quo décidé ce 18 juin s’apparente à une déclaration d’intention. Derrière le silence des chiffres, c’est une stratégie de résistance qui se dessine, alors que la banque centrale se retrouve au cœur d’un jeu d’équilibres de plus en plus instable.
Dans le tumulte des recompositions commerciales mondiales, Pékin avance ses pions. La Chine annonce la suppression totale des droits de douane sur les exportations venues de 53 pays africains, élargissant un accès préférentiel à son marché. Derrière le geste, une offensive diplomatique ciblée alors que Washington, sous l’égide de Donald Trump, réactive les leviers protectionnistes face au continent. L’Afrique, longtemps périphérique dans les arbitrages géoéconomiques, devient l’épicentre d’un affrontement d’influences où se croisent ambitions industrielles, alliances stratégiques et récits de souveraineté.
La Fed va-t-elle vraiment laisser ses taux inchangés en juin ? Entre inflation tenace et marché du travail surprenant, découvrez pourquoi cette décision pourrait bouleverser l’économie et les marchés, y compris le bitcoin !
Donald Trump vient de perdre une bataille clé sur ses droits de douane : un tribunal américain le freine net. Découvrez comment cette décision secoue la Chine, les marchés et remet en cause les pouvoirs présidentiels.
Réunion de la Fed juin 2025 : inflation, chômage, tensions commerciales… Découvrez comment ces enjeux cruciaux pourraient bouleverser les taux d’intérêt et pourquoi certains parient déjà sur le bitcoin. Ne ratez pas ça !