Pendant que le marché saigne, Bitget sort un rapport : les investisseurs crypto veulent encore charger la mule. 2025, année des hausses… ou des secousses ?
Pendant que le marché saigne, Bitget sort un rapport : les investisseurs crypto veulent encore charger la mule. 2025, année des hausses… ou des secousses ?
Le brut américain perd du terrain. Cette semaine, l’Indian Oil Corporation (IOC), premier raffineur public indien, a tourné le dos aux cargaisons venues des États-Unis pour se réorienter vers le Moyen-Orient et l’Afrique de l’Ouest. Ce rééquilibrage logistique, en apparence technique, traduit une bascule stratégique : montée des alliances énergétiques au sein des BRICS, recul du dollar dans les échanges pétroliers et affirmation d’un nouvel ordre économique.
Quand des flics jouent aux gangsters, même le bitcoin devient monnaie d’enlèvement. En Inde, l’affaire Bhatt révèle des policiers crypto-gourmands... condamnés à méditer en cellule.
En cherchant à isoler ses rivaux, Donald Trump pourrait bien obtenir l’effet inverse. Sous la pression de ses sanctions commerciales, les pays du bloc des BRICS, longtemps divisés, amorcent un rapprochement stratégique inédit. À mesure que les tensions montent, la Chine, l’Inde, la Russie et leurs partenaires semblent plus enclins que jamais à coopérer sur les plans économique et diplomatique.
Ambani, autrefois choyé par Trump, se retrouve grillé à l’huile russe. Quand l’économie indienne titille l’Oncle Sam, ça sent le pétrole chaud et la diplomatie à la friture.
Credefi annonce un partenariat avec Vayana, présenté comme la plus grande plateforme de TradFi en Inde, pour déployer des instruments de dette tokenisés dans un cadre pleinement conforme et les ouvrir aux investisseurs de la DeFi. Au-delà du signal marketing, l’accord balise un canal réglementé entre capitaux crypto et besoins de financement réels (PME, chaînes d’approvisionnement) dans l’une des économies à la croissance la plus rapide.
Le dollar peut-il perdre sa suprématie mondiale ? Ce qui relevait hier de la spéculation prend aujourd’hui une tournure diplomatique concrète. À l’approche du sommet des BRICS à Rio, les grandes économies émergentes placent les transactions en monnaies locales au cœur de leur stratégie. Ce virage s’insère dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et de revendications du Sud global pour un système financier plus équilibré. Derrière cette dynamique se dessine une redéfinition possible des règles du commerce mondial.
Quand un produit de grande consommation supplante le pétrole et les diamants dans les exportations d’un pays comme l’Inde, il ne s’agit plus d’un simple succès industriel, mais d’un basculement stratégique. L’ascension fulgurante des smartphones comme premier poste d’exportation traduit un redéploiement des priorités économiques du pays. Ce tournant marque l’émergence d’une Inde manufacturière connectée aux chaînes de valeur mondiales, avec des répercussions possibles sur l’équilibre du commerce international, les flux technologiques et, à terme, sur les usages numériques et les dynamiques de l’économie crypto.
Tandis que les grandes puissances émergentes multiplient les appels à réduire leur dépendance au dollar américain, un acteur clé vient de claquer la porte à toute velléité de rupture : l’Inde. Dans un contexte international tendu, où les sanctions occidentales poussent certains pays à explorer des alternatives au système monétaire dominé par le billet vert, New Delhi choisit de jouer la carte de la stabilité. En affirmant qu’elle n’a « absolument aucun intérêt » à s'engager dans une dynamique de dédollarisation, l’Inde envoie un signal fort à ses partenaires au sein des BRICS et du Sud global.
Entre Washington et les BRICS, l’Inde joue un numéro d’équilibriste. Officiellement attachée au dollar, elle laisse pourtant filtrer des signaux favorables à des alternatives monétaires. Dans un contexte de recomposition géopolitique où la devise américaine cristallise les tensions, la posture ambivalente de New Delhi intrigue autant qu’elle inquiète. Entre loyauté affichée et stratégies discrètes, l’Inde s’impose comme un acteur clé dans le bras de fer monétaire mondial.
Et si l’indépendance ne passait plus par les armes, mais par des blocs de code ? Les BRICS rêvent de souveraineté en cryptomonnaies, Siluanov en éclaireur numérique.
Lors de sa récente intervention, Subrahmanyam Jaishankar a tenu à dissiper toute ambiguïté sur la position de l’Inde face au dollar : « il n’y a aucune politique de notre part qui vise à remplacer le dollar. À la fin de la journée, le dollar en tant que monnaie de réserve est une source de stabilité économique internationale ».
Dans l’ombre des restrictions économiques imposées par l’Occident, Moscou trace une nouvelle voie pour son commerce énergétique. Face à l’exclusion du système financier international, la Russie a trouvé une solution alternative : l’utilisation de Bitcoin (BTC) et Tether (USDt) pour contourner les sanctions et assurer la continuité de ses exportations de pétrole.
L'Inde réévalue actuellement sa position concernant les cryptomonnaies . Ajay Seth, le secrétaire économique du ministère des finances, a déclaré que l'Inde surveille attentivement les développements internationaux liés aux cryptomonnaies. La montée en puissance de ces actifs numériques à l'échelle mondiale, incite le pays à réfléchir à sa réglementation et à sa politique en matière crypto.
L’intelligence artificielle est devenue un enjeu stratégique majeur. Des États-Unis à la Chine, en passant par l’Europe, les puissances économiques s’affrontent pour dominer ce secteur clé. Loin de rester en retrait, l’Inde vient d’annoncer le développement de son propre modèle d’IA générative, prévu pour 2025. Avec une acquisition massive de processeurs graphiques et un plan d’investissement de 20 milliards de dollars dans les infrastructures, le pays affiche une ambition claire : renforcer sa souveraineté numérique et affirmer son autonomie technologique. Cette initiative intervient alors que les tensions technologiques entre Washington et Pékin se durcissent et que les restrictions américaines sur les puces Nvidia compliquent l’accès aux technologies de pointe. Dans le même temps, l’émergence de modèles open-source comme DeepSeek R1 bouleverse les règles du jeu, ce qui prouve qu’il est possible de développer une IA performante sans disposer des mêmes ressources que les géants du secteur.
Solana brille, Ethereum vacille : 7 625 nouveaux talents pour le premier, l’Asie au sommet et l’Inde rayonne dans un monde crypto sans frontières.
Shaktikanta Das, gouverneur sortant de la Banque de réserve de l'Inde (RBI), a exprimé son optimisme quant à l'avenir des CBDC dans l'économie indienne, affirmant que la roupie numérique pourrait remplacer définitivement l'économie basée sur le papier.
Les traders de crypto en Inde évoluent dans un climat d’incertitude constant. Tantôt, le gouvernement promet une régulation ouvrant la voie à un cadre légal stable, tantôt, il fait planer la menace d’une répression sur le bitcoin et les autres crypto-actifs. Cette instabilité tient les utilisateurs crypto en haleine. Pourtant, malgré des taxes jugées décourageantes, l’Inde affiche une adoption crypto impressionnante, poussée par sa jeunesse et ses avancées technologiques.
Bernstein recommande le Bitcoin comme actif clé pour l’Inde. Dans cet article, découvrez ses arguments chocs !
Dans une prise de position marquante, les principaux régulateurs et institutions indiennes consultés par le gouvernement préconisent l'interdiction des cryptos privées comme Bitcoin et Ether, privilégiant la monnaie numérique de la Banque centrale (CBDC).
Quand 134 pays jouent aux apprentis sorciers avec les CBDC, c’est 98 % de l’économie mondiale qui entre en zone de turbulences numériques.
Le paysage monétaire mondial est en pleine mutation. Tandis que l’influence du dollar américain vacille sous le poids des tensions géopolitiques et des politiques économiques agressives, les BRICS s’apprêtent à redéfinir les règles du jeu. Ils travaillent à lancer une nouvelle monnaie de réserve, un projet audacieux qui pourrait ébranler la suprématie du billet vert et redistribuer les cartes de la finance internationale. Face à l'impact des sanctions économiques, des guerres commerciales et d’une dépendance jugée excessive au dollar, ces puissances émergentes se regroupent pour affirmer leur souveraineté économique. Mais cette nouvelle monnaie, envisagée comme une alternative directe au système financier dominé par les États-Unis, soulève autant d’espoirs que de doutes.
L'Inde, géant économique en pleine expansion, fait preuve d'une résilience remarquable dans l'adoption des cryptos, malgré des obstacles réglementaires de taille. Alors que de nombreux pays peinent encore à comprendre et à réguler cet écosystème émergent, l'Inde conserve sa position de leader mondial pour la deuxième année consécutive. Cette domination ne résulte pas d'un hasard, mais d'une convergence de facteurs qui va d'une population jeune et technophile à un marché en constante évolution, renforcé par l'innovation numérique. À l'heure où les cryptos suscitent autant d'engouement que de crainte, l'Inde apparaît comme un cas d'école et défie les prédictions les plus pessimistes.
Le FIU-India, c’est un peu le gendarme inflexible de la crypto. Après avoir donné son aval à Binance et KuCoin, il envisage d’accueillir deux autres plateformes... mais pas sans une petite amende en cadeau !
L'Inde et les Émirats auraient réglé une transaction pétrolière en XRP au lieu du dollar. Un signal inquiétant pour l'hégémonie du dollar ?
Google et Amazon manifestent un intérêt marqué pour le projet de CBDC de l'une des nations phare des BRICS. En s'engageant aux côtés de la Banque de réserve de l'Inde, ces géants technologiques cherchent à intégrer l'e-rupee, une version numérique de la monnaie indienne, dans leurs plateformes de paiement. Cette initiative, au-delà d'une simple expansion technologique, représente une avancée significative pour les ambitions des BRICS de réduire la dépendance au dollar américain et de renforcer leur influence économique globale.
L'Inde s'apprête à franchir une étape décisive dans la régulation crypto. En effet, le gouvernement prévoit de publier d'ici septembre un document de discussion détaillant sa position sur les actifs numériques. Cette initiative marque un pas important vers l'établissement d'un cadre réglementaire dans un pays où l'incertitude a longtemps régné.
Le système monétaire international est en ébullition. Les BRICS multiplient les pistes avec plus ou moins de succès.
Le sommet de l'Organisation de Coopération de Shanghai (SCO) 2024 a été le théâtre de tensions géopolitiques majeures. Dans un geste qui pourrait redéfinir les dynamiques du commerce international, l'Inde a officiellement rejeté la proposition de la Chine visant à remplacer le dollar américain par le yuan pour les échanges commerciaux. Cette décision marque un tournant significatif dans les relations entre les membres des BRICS. L'attitude ferme de l'Inde reflète non seulement ses préoccupations économiques, mais aussi une méfiance croissante à l'égard des ambitions de la Chine sur la scène mondiale.
L’Inde et les Émirats arabes unis sont déterminés à remplacer le dollar par leurs monnaies nationales.