À l’ombre des tyrannies, des mains tendues reçoivent des satoshis. La HRF sème la lumière crypto dans les poches invisibles de résistances silencieuses, là où le fiat ne passe plus.
À l’ombre des tyrannies, des mains tendues reçoivent des satoshis. La HRF sème la lumière crypto dans les poches invisibles de résistances silencieuses, là où le fiat ne passe plus.
Le FMI, tel un instituteur perplexe, conseille au Kenya d’abandonner ses vieilles recettes pour une crypto-régulation plus fraîche et digeste, sans oublier d’éliminer les escrocs du menu.
Venom Foundation s'associe au gouvernement kenyan pour établir un hub de blockchain en Afrique pour le développement du Web3 et de blockchain.
Comparée aux autres continents, l’Afrique constitue l’un des marchés les plus prometteurs pour le développement de la blockchain. La technologie semble y gagner un peu plus de terrain chaque année, portée par un pays comme le Nigéria. Mais ce n’est désormais plus le seul État d’Afrique à miser sur son potentiel.
Depuis leur apparition en 2009 avec l’invention du célèbre anonyme Satoshi Nakamoto, les cryptomonnaies séduisent plus d’un. Leur présence dans le circuit financier mondial s’est imposée et plus personne ne peut les ignorer. Même les plus grands banquiers conservateurs qui ne jurent que par la monnaie traditionnelle n’y peuvent plus rien. Contre toute attente, ces nouveaux actifs numériques se sont frayé un chemin jusqu’en Afrique, un continent pourtant réputé moins avancé en matière technologique. Au cours de l'année 2022, un pays africain est allé jusqu'à adopter le bitcoin comme monnaie officielle. Un deuxième au monde. Au cours de la même année, il a été organisé sur le continent l’une des plus grandes rencontres des acteurs de l'écosystème crypto. Face à cette inarrêtable adoption de cryptos par les populations locales, les banques centrales africaines fléchiront-elles ?
Certes, le Kenya n’a pas encore légalisé le bitcoin, mais, en matière d’adoption, il passe en tête de liste sur l’ensemble du continent africain. Car les Kenyans ont choisi de faire la sourde oreille en dépit des avertissements de la banque centrale locale. À l’échelle internationale, le Kenya affiche des statistiques surprenants pour ce qui est de l’adoption des cryptomonnaies : il se trouve à la 5e position. En cas de succès des missions des acteurs locaux comme M-PESA et Bitnob, il lui sera facile d’intégrer le Top 3 de cette liste.
Le niveau de vie est relativement bas dans certaines parties du monde. En Afrique, la famine et le manque de moyens financiers conduisent la population dans des situations sans pareil. Face à la faiblesse de certains gouvernements, les particuliers se lancent à la quête de nouveaux moyens pour sortir la tête de l’eau. La recherche d’une vie meilleure pousse les gens à adopter les nouvelles technologies telles que les cryptos et la DeFi.