Quand Trump joue au banquier central en lançant sa propre crypto, Warren sonne l’alarme : réguler, oui. Offrir un coffre-fort aux milliardaires, non. À suivre sous les dorures...
Quand Trump joue au banquier central en lançant sa propre crypto, Warren sonne l’alarme : réguler, oui. Offrir un coffre-fort aux milliardaires, non. À suivre sous les dorures...
Une semaine seulement après que les États-Unis ont adopté sa première législation crypto complète, le marché des stablecoins a ajouté plus de 4 milliards de dollars de nouvelles fournitures entrant en circulation. La nouvelle loi GENIUS signée est déjà en train de changer le secteur. En fournissant un cadre fédéral pour les stablecoins adossés à des fiat, elle offre aux banques, gestionnaires d'actifs et startups fintech un feu vert réglementaire. Elle permet de nouveaux capitaux, de nouveaux acteurs et un chemin clair pour l'avenir des dollars tokenisés.
JPMorgan Chase explore apparemment un nouveau produit de prêt permettant aux clients d'emprunter en utilisant leurs avoirs en cryptomonnaies comme garantie. Selon des sources citées par le Financial Times, le géant bancaire américain mène des discussions internes pour lancer des prêts garantis par des cryptos, potentiellement dès l’année prochaine. Le projet permettrait aux clients d’utiliser des cryptomonnaies telles que Bitcoin, Ethereum ou même des ETF axés sur les cryptos comme garantie en échange d’argent liquide ou de crédit. Bien qu’encore en phase exploratoire, ce produit constituerait le signe le plus clair à ce jour que JPMorgan prend les cryptos au sérieux.
La SEC semble enfin prête à faire un pas décisif. Plusieurs émetteurs d’ETF Bitcoin et Ethereum viennent de déposer des modifications en vue d’ajouter les rachats en nature. Une étape clé pour ces produits, qui pourraient ainsi gagner en attractivité et en efficacité fiscale. Cette percée réglementaire tant attendue transformerait radicalement l'attractivité de ces produits financiers.
Dans un secteur bancaire en pleine mutation, Fortuneo s’apprête à franchir un cap décisif. En explorant l’intégration des cryptos dans son offre, la néobanque française suit une dynamique déjà amorcée par ses concurrents européens. Une stratégie attendue, à l’heure où l’investissement numérique devient une nouvelle norme plutôt qu’une tendance passagère.
L'Amérique Latine face au défi crypto : une échelle brisée représente les barrières réglementaires qui freinent l'adoption des cryptomonnaies dans la région.
Un jalon historique vient d’être posé dans la régulation des cryptos. En clôture d’une Crypto Week stratégique, le Congrès américain a adopté le GENIUS Act, aussitôt signé par Donald Trump. Cette législation fédérale encadre pour la première fois les stablecoins sans les assimiler à des titres financiers. Pour un secteur longtemps freiné par l’incertitude juridique, ce texte marque un basculement clair vers l’institutionnalisation des actifs numériques.
Tether, autrefois allergique à la régulation, fait aujourd’hui la révérence à Washington. Opportunisme ? Réveil tardif ? La crypto s’ouvre un boulevard… mais attention au péage !
Quand Trump régule les cryptos et légalise ses propres stablecoins, ça sent la stratégie électorale à plein nez. Mais qui surveillera le génie du GENIUS Act ? Pas les enfants, visiblement.
Après des années de flou et de tiraillements entre innovation et régulation crypto, les États-Unis semblent enfin prêts à définir leur cap sur la question brûlante de la crypto. Le 17 juillet, la Securities and Exchange Commission (SEC) a salué un tournant législatif historique : le passage du GENIUS Act à la Chambre des représentants. Ce texte ambitieux, désormais en route vers le bureau de Donald Trump pour promulgation, entend poser les bases d’une régulation claire, proactive et résolument tournée vers l’avenir. Derrière les acronymes et les discours bien rodés, un message se dessine : la crypto n’est plus une anomalie réglementaire, mais un levier stratégique pour l’économie américaine.
À Washington, la crypto se structure : des lois tombent, Trump jubile, et la Fed doit ranger ses rêves numériques. La régulation devient un feuilleton aux rebondissements bien américains.
Le Pakistan et le Salvador unissent leurs forces en matière de crypto. Bilal Bin Saqib, PDG du Pakistan Crypto Council, a rencontré le président salvadorien Nayib Bukele à San Salvador. L'objectif était d'établir une coopération plus étroite sur les actifs numériques, alors que les deux nations renforcent leur adoption du Bitcoin.
L’Europe ne lâche rien. Après MiCA, les entreprises crypto doivent affronter une nouvelle vague réglementaire pilotée par l’Autorité européenne de lutte contre le blanchiment d’argent (AMLA). Portefeuilles anonymes interdits, accès direct aux données, contrôles transfrontaliers… Bruxelles affiche clairement sa volonté d’aller plus loin. Le secteur est-il prêt à encaisser ce nouveau choc ?
Tether frappe fort avec 160 milliards d’USDT, mais sous le vernis stablecoin, les audits brillent par leur absence… et les sénateurs américains affûtent leurs lames législatives.
Donald Trump vient d’éviter un revers politique majeur en ralliant les dissidents de son propre camp. Grâce à une intervention directe au Bureau ovale, il remet sur les rails l’adoption des lois phares de la Crypto Week. Mais les tensions internes sur les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) laissent entrevoir une bataille loin d’être terminée.
Standard Chartered a franchi une étape majeure dans la crypto-monnaie en lançant un service de trading au comptant entièrement réglementé pour le Bitcoin et l'Ethereum, visant spécifiquement les clients institutionnels. Ce mouvement en fait la première banque d'importance systémique mondiale à offrir un accès direct au trading au comptant de crypto-monnaies jumelées au dollar, ouvrant la porte aux entreprises, investisseurs et gestionnaires d'actifs pour obtenir une exposition aux actifs numériques sous l'égide d'une institution bancaire de confiance.
Mardi, dans une tournure aussi inattendue que symbolique, la Chambre des représentants des États-Unis a annulé les votes cruciaux sur deux projets de loi majeurs relatifs aux cryptomonnaies. Ce recul, survenu en pleine "Crypto Week", fait suite à un échec procédural qui expose les profondes divisions politiques autour de la régulation des actifs numériques. Alors que les regards étaient tournés vers l'adoption imminente des textes "Clarity" et "GENIUS", les discussions sont désormais gelées, laissant planer l’incertitude sur l’avenir du cadre crypto américain.
Du geek à l’élu, Bitcoin fait sa révolution. Wall Street l’encense, Washington le stocke… Et si l’or avait trouvé plus clinquant que lui, mais sans les lingots ?
Tether décroche ses affiches de blockchains désertées pour mieux coller sur les stars crypto : pendant que certains pleurent Omni, d’autres trinquent déjà sur Ethereum et Tron.
Pendant que Wall Street compte ses points, le bitcoin rafle la mise, ridiculise le S&P 500, et file à toute allure dans les coffres d’un BlackRock médusé. Qui l’eût cru ?
La crypto est à la croisée des chemins. Sous les néons froids du Capitole, le sort d’un monde numérique se joue à coup d’encre et de calculs. À partir du 14 juillet, Washington entame sa « Crypto Week » : une séquence parlementaire décisive où trois projets de loi majeurs seront débattus. Trois textes, trois directions possibles pour l’avenir des actifs numériques aux États-Unis.
Quand les ETF s’emplissent comme des poches percées et que le bitcoin crève le plafond, les marchés traditionnels s'interrogent : les cryptos seraient-elles devenues fréquentables chez les costards-cravates ?
Tandis que le dollar joue les funambules et que Trump brandit ses tarifs, Washington sort une crypto-béquille : les stablecoins, remède techno ou mirage numérique d’un empire vacillant ?
Vienne, 10 juillet 2025 – La conférence de presse d’aujourd’hui marque la présentation officielle de Bybit EU aux médias autrichiens et européens. Avec son siège européen désormais opérationnel à Vienne et une licence MiCAR complète délivrée par l’Autorité autrichienne des marchés financiers (FMA), Bybit UE entre…
Quand Dubaï marie la finance tradi aux tokens, ce n’est pas un mirage du désert, mais un fonds très réel… et parfaitement régulé, s’il vous plaît !
Le déploiement par Robinhood d'actions tokenisées "liées" à OpenAI a suscité un large débat la semaine dernière. Une discussion plus large dans les marchés de la crypto concernant l'avenir du capital-investissement tokenisé, et si les investisseurs de détail le souhaitent réellement.
La SEC a retardé sa décision concernant le ETF Solana proposé par Fidelity, demandant des documents mis à jour face à un intérêt croissant des investisseurs et à un examen réglementaire.
Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
Sous prétexte de stablecoins à Hong Kong, Pékin lance ses pions. Crypto au menu, contrôle en dessert ? JD et Ant déroulent le tapis numérique, mais gare aux ficelles invisibles.
Tandis que les stablecoins gagnent en légitimité, une loi américaine ravive les fractures entre souveraineté monétaire et suprématie du dollar. Avec la GENIUS Act, adoptée par le Sénat, Washington encadre les cryptos adossées au billet vert. Toutefois en Europe, la riposte s’organise. Amundi redoute une déstabilisation mondiale. Derrière ce cadre juridique, se dessine une offensive monétaire aux effets systémiques.