Infiltration dans l’écosystème crypto : CZ dénonce 60 faux développeurs liés à la Corée du Nord. Tous les détails dans cet article !
La guerre numérique ne connaît pas de frontières. À quelques semaines du sommet du G7, les cyberattaques orchestrées par la Corée du Nord via des plateformes crypto s’imposent comme une priorité sécuritaire mondiale. Une réponse coordonnée se dessine, face à une menace qui mêle technologie, finance et stratégie politique.
Quand certains creusent, d'autres pillent : pendant que le Bhoutan mine du Bitcoin, Lazarus le vole. Un Bybit dévalisé, un trésor gonflé, et Pyongyang qui devient l’un des rois du crypto-butin.
La crypto vient de vivre son casse du siècle. Le 21 février, Bybit, l’un des géants des exchanges centralisés, s’est fait siphonner 1,4 milliard de dollars. Mais le véritable choc réside ailleurs : en une semaine, les hackers ont déjà blanchi 605 millions de dollars d’Ether. Du jamais-vu. Derrière cette prouesse, un acteur redouté : le groupe Lazarus, bras armé de la Corée du Nord. Un outil inattendu au cœur du scandale : THORChain, le protocole interchaînes pourtant adoré des degens.
Le marché des cryptos connaît une croissance spectaculaire, ce qui attire autant les investisseurs légitimes que des acteurs malintentionnés désireux d’exploiter ses failles. En 2024, les cyberattaques menées par des hackers affiliés à la Corée du Nord ont pris une proportion importante. Selon le rapport annuel de Chainalysis, ces groupes ont réussi à dérober plus de 1,3 milliard de dollars à travers 47 incidents majeurs, un chiffre qui représente plus de la moitié des vols crypto signalés au niveau mondial cette année. Cette somme colossale illustre la montée en puissance de ces acteurs dans l’écosystème, mais aussi les défis croissants liés à la sécurité des infrastructures blockchain. Grâce au ciblage aussi bien des plateformes DeFi que des services centralisés, ces hackers affinent leurs tactiques et exploitent des failles qui remettent en question la résilience de l’ensemble du secteur.
Dans un monde de plus en plus polarisé, les alliances géopolitiques jouent un rôle capital dans la redéfinition des équilibres de pouvoir. La Corée du Nord, traditionnellement isolée sur la scène internationale, semble intensifier ses efforts pour s'aligner avec des blocs économiques comme les BRICS, dans un contexte de liens croissants avec la Russie. Cette stratégie pourrait avoir des implications majeures, non seulement pour la diplomatie de Pyongyang, mais également pour la géopolitique mondiale. L'absence remarquée de la Corée du Nord à l'Assemblée générale des Nations Unies au profit d'un événement BRICS à Saint-Pétersbourg en est un signe avant-coureur.
Les hackers nord-coréens n'aiment pas les petits joueurs. Leur nouvelle cible ? Les ETF Bitcoin, avec l'aval du FBI !
La Corée du Nord a exprimé son désir de rejoindre le bloc des BRICS, un geste qui pourrait bien redéfinir son isolement géopolitique persistant. Cette annonce intervient dans un contexte où les BRICS envisagent sérieusement de remodeler l’architecture financière mondiale, notamment par la création d’une monnaie alternative au dollar américain.
Le secrétaire adjoint au Trésor américain Wally Adeyemo dévoile une stratégie pour contrer l'utilisation des cryptomonnaies par la Russie.
Un rapport choc de l'ONU révèle que jusqu'à 50% des revenus de la Corée du Nord proviennent d'activités criminelles liées à la crypto
Et pourtant, CoinsPaid a toujours cru que son système est mieux protégé.
Un groupe de hackers soutenu par le gouvernement nord-coréen est parvenu à entrer dans le système de JumpCloud, une société américaine de gestion informatique. Il s’est servi de cette dernière pour cibler des sociétés de cryptomonnaies dans le but de voler des actifs numériques. Ce nouveau cas de piratage, qui rejoint la longue liste des méfaits orchestrés par les hackers nord-coréens, a un mode opératoire assez différent. Faut-il s’en inquiéter ? La réponse dans cet article.
Des pirates nord-coréens ont volé plus de 100 millions de dollars aux utilisateurs d'Atomic Wallet, compromettant environ 5 500 portefeuilles crypto.
Fréquemment employés par les startups crypto, les airdrops se sont révélés comme étant une puissante stratégie de marketing servant à susciter ou à booster l’adhésion et l’intérêt vis-à-vis d’un projet crypto ou blockchain. S’ils sont souvent gratuits, leur réception est généralement soumise à des conditions d’éligibilité. Malheureusement, ces conditions sont parfois des passerelles par lesquelles des cybercriminels vident les portefeuilles des utilisateurs ou s’emparent de leurs données personnelles. Dans ce mini-dossier, nous vous emmenons dans le monde des airdrops et des risques qui y sont associés pour vous aider à reconnaître les arnaques.
La compagnie crypto Binance traverse un moment difficile, fait de polémiques et de controverses diverses. Cela ne l’empêche pas de contribuer à l'assainissement de l’industrie crypto, polluée d’actes illicites.
La Corée du Nord financerait près de la moitié de ses programmes de missiles grâce aux crypto-monnaies. C’est un responsable de la Maison-Blanche qui l'a déclaré. En effet, le régime de Kim Jong Un se servirait des cryptomonnaies volées pour faire progresser son programme d’armement. Selon Chainalysis, ses avoirs en cryptos proviennent essentiellement de piratages et cyberattaques.
Une nouvelle enquête menée par Mandiant, une entreprise de cybersécurité, révèle que la Corée du Nord utilise désormais le minage de cryptomonnaies pour blanchir l'argent volé. Selon Mandiant, des dizaines de milliers de dollars en cryptos ont été transférés aux services de hachage en Corée du Nord, alimentant ainsi un marché clandestin florissant.
C’est une scène digne d’un incident diplomatique qui implique quatre pays qui ne sont trop amis. Il s’agit de Christorpher Douglas Emms, un ressortissant britannique recherché avec une notice rouge d'Interpol pour avoir conseillé la Corée du Nord sur les cryptomonnaies. Il a été arrêté à Moscou sur demande du gouvernement des États-Unis.
Le jeu Axie Infinity s’est fait pirater au début de l’année 2022, précisément en mars. Le montant du préjudice est de 600 millions de dollars. En septembre, l’équipe derrière le projet a réussi à récupérer près de 30 millions de dollars, grâce aux autorités américaines. Récemment, Axie Infinity a récupéré une autre partie non-négligeable des fonds piratés, cette fois-ci, grâce aux autorités norvégiennes.
La Corée du Nord a récemment fait les gros titres pour ses cyberactivités illégales. Le vol de cryptos génère des milliards de dollars de revenus qui serviraient à financer les programmes d'armes de destruction massive du pays. Alors que le régime de Kim Jong-un échappe aux sanctions internationales, les experts insistent sur la menace que représentent les vols de cryptos.
Depuis quelques années, les hackers nord-coréens multiplient les attaques cryptographiques. Le vol d'actifs numériques est en effet devenu l'une des principales sources de revenus du régime. NIS, la principale agence de renseignement de la Corée du Sud, dénonce cette pratique.
Le hacking de Ronin au mois de mars dernier occasionnant la disparition de 625 millions de dollars serait l’œuvre des pirates nord-coréens Lazarus. C’est ce qu’affirmaient des responsables américains dernièrement. Prudents, les hackers ont commencé le processus de blanchiment d’argent : il reste 433 millions de dollars à écouler en ce…
Le département du Trésor américain a soutenu que le groupe de pirates nord-coréen Lazarus est lié au vol de plus de 600 millions de dollars de cryptomonnaies de Ronin Bridge, lié à Axie Infinity. Les États-Unis à la poursuite des pirates nord-coréens Le département du Trésor américain a d’abord noté que…