Bruxelles brandit MiCA, Binance s’exécute : neuf stablecoins passent à la guillotine réglementaire. Le marché crypto européen, sous perfusion, assiste à l’enterrement de l’USDT et consorts.
Bruxelles brandit MiCA, Binance s’exécute : neuf stablecoins passent à la guillotine réglementaire. Le marché crypto européen, sous perfusion, assiste à l’enterrement de l’USDT et consorts.
Bourse : rebond spectaculaire des marchés. L’Europe tire son épingle du jeu tandis que Wall Street plonge ! Les détails dans cet article.
L’économie mondiale évolue sous l’effet de tensions commerciales croissantes. Alors que les États-Unis imposent de nouveaux tarifs douaniers, l’Europe se retrouve face à un dilemme stratégique. Entre maintien de ses alliances traditionnelles et diversification de ses partenariats économiques, le continent regarde désormais du côté du BRICS. Cette organisation, autrefois perçue comme un contrepoids au G7, consolide aujourd’hui sa position en tissant des liens plus étroits avec l’Europe. Un glissement qui pourrait redéfinir les rapports de force économiques et politiques à l’échelle internationale.
Les tensions économiques entre les États-Unis et l’Union européenne atteignent un nouveau sommet. Donald Trump, fidèle à sa politique protectionniste, vient d’annoncer une hausse spectaculaire des taxes douanières sur les exportations européennes, portant leur niveau à 25 %. Une décision brutale qui dépasse largement les 10 % évoqués lors de sa campagne et qui place l’Europe dans une situation d’urgence diplomatique et économique. Les grandes puissances du Vieux Continent doivent désormais faire face à une menace qui pourrait redessiner les équilibres commerciaux mondiaux.
Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
Un conseiller de la Banque Centrale Européenne (BCE), Jürgen Schaaf, a récemment réaffirmé la position critique de l’institution à l’égard du bitcoin, déclarant qu’il n’y a « pas de véritable nécessité économique » pour cette cryptomonnaie. Selon Schaaf, contrairement aux réserves stratégiques de matières premières comme le pétrole ou le gaz, le BTC ne présente pas d’utilité économique réelle ni d’usage pertinent.
L’Europe, menacée par la tempête Trump, se trouve sur le fil du rasoir. Laurent Saint-Martin exhorte à l’unité pour contrer l’ombre d’une guerre commerciale destructrice qui se profile.
La Valette, le 18 février 2025 - OKX, entreprise technologique leader mondial de la blockchain, annonce aujourd’hui être parmi les premiers crypto exchanges mondiaux agréé MiCA à pouvoir proposer ses services dans toute l’Europe.
Les économies européennes font face à une réalité inquiétante : une dette publique qui ne cesse de grimper. Alors que la stabilité budgétaire est censée être une priorité pour les gouvernements, plusieurs pays de l’Union européenne affichent désormais des niveaux d’endettement qui dépassent largement les 100 % de leur PIB. Cette situation provoque des interrogations sur les risques macroéconomiques et les conséquences potentielles pour les marchés financiers.
La France traverse une période charnière. D'un côté, la dette publique atteint des sommets historiques, dépassant les 3000 milliards d'euros. De l'autre, une transformation profonde des institutions bouleverse l'équilibre traditionnel de la Ve République.
Bybit, l’un des géants de l’écosystème crypto, vient de marquer un point décisif : son retrait de la liste noire de l’AMF en France. Mais derrière cette victoire se cache un puzzle réglementaire complexe, entre ambitions européennes et défis asiatiques. Un coup de théâtre stratégique qui révèle les nouvelles priorités d’un acteur prêt à tout pour conquérir l’Europe.
Le programme crypto de Donald Trump pourrait avoir des répercussions significatives sur l'accélération du développement de l'Euro numérique, d'après Piero Cipollone, membre de la Banque Centrale Européenne (BCE). Ce dernier exprime l'espoir que le Parlement et le Conseil de l'Union européenne parviennent à finaliser les discussions sur la législation encadrant l'euro numérique d'ici l'été 2025.
Tesla, naguère roi des routes électriques, voit son empire vaciller : l’Europe détourne le regard, Musk dérape, et la concurrence appuie sur l’accélérateur. Le futur est-il sans lui ?
Les relations sino-américaines continuent de se dégrader, poussant la Chine à renforcer ses liens avec l’Union européenne. Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré que Pékin considère l’Europe comme un « partenaire stratégique global et un pilier important et indépendant dans un monde multipolaire ».
La finance traditionnelle et le bitcoin poursuivent leur rapprochement. Après le succès retentissant de son ETF Bitcoin IBIT aux États-Unis, BlackRock, premier gestionnaire d’actifs mondial, s’apprête à franchir une nouvelle étape : le lancement d’un produit négocié en bourse (ETP) Bitcoin en Europe. Ce fonds, qui sera domicilié en Suisse, traduit la volonté croissante des institutions financières de s’implanter durablement sur le marché des cryptos. Alors que les États-Unis ont vu les ETF Bitcoin capturer plus de 57 milliards de dollars d’actifs en quelques mois, ce nouveau produit pourrait modifier le paysage européen. Pourquoi la Suisse plutôt qu’un autre pays ? Quels seront les effets sur les investisseurs et l’adoption institutionnelle du bitcoin en Europe ? Autant de questions qui émergent alors que BlackRock accélère son offensive internationale.
Le déficit enfle, les impôts aussi, mais Bayrou s’obstine. Accroché à son 49.3 comme un naufragé à sa bouée, il défie la tempête politique qui s’annonce.
Les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs principaux partenaires refont surface, et ravivent le spectre d’une nouvelle guerre économique. Washington a annoncé une hausse des droits de douane qui visent le Canada, le Mexique et la Chine, une décision qui marque le retour du protectionnisme cher à Donald Trump. Cette offensive tarifaire a aussitôt déclenché des réactions partout, notamment en Europe, où la Commission européenne surveille la situation avec attention. Si l’Union européenne n’est pas encore directement touchée, Bruxelles redoute un élargissement des mesures américaines et prévient qu’elle ne restera pas passive. La Commission a d’ores et déjà exprimé son ferme désaccord avec cette politique et se dit prête à adopter des mesures de rétorsion pour protéger les intérêts économiques du continent. Face à cette nouvelle offensive commerciale des États-Unis, le risque d’une escalade entre les deux blocs ne peut être écarté.
L’UE, toujours prompte à dégainer la paperasse avant l’innovation, fait entrer son AI Act en vigueur ce dimanche : interdictions spectaculaires, transparence imposée, sanctions massives… l’IA n’a qu’à bien se tenir.
L’Europe durcit son cadre réglementaire sur les stablecoins, et Kraken est contraint de s’adapter. En effet, l’exchange a annoncé le retrait de l’USDT et d’autres stablecoins pour les utilisateurs de l’Espace économique européen (EEE) avant le 31 mars, en réponse aux exigences du règlement MiCA. Ce texte impose des critères stricts aux émetteurs de stablecoins et limite leur circulation en Europe. Une telle décision illustre un virage majeur pour le marché crypto européen. Alors que Kraken rejoint la liste des plateformes qui se conforment à cette régulation, les investisseurs doivent désormais choisir entre s’adapter aux nouvelles contraintes ou explorer d’autres solutions. Cette transition pourrait réduire l’accessibilité des stablecoins les plus populaires, mais aussi redistribuer les cartes entre les acteurs du marché.
L’or, l’euro, les actions… et Bitcoin dans le coffre-fort tchèque ? La finance vacille entre audace et prudence, et Prague danse sur un fil tendu entre volatilité et ambition.
L'émetteur du stablecoin USDT fait part de ses préoccupations concernant le retrait de sa crypto des plateformes européennes. Cette décision, motivée par la nouvelle réglementation MiCA, pourrait créer selon Tether un marché "désordonné" et présenter des risques pour les consommateurs européens.
L’Union européenne intensifie son contrôle sur les stablecoins non conformes à sa nouvelle réglementation. Crypto.com vient d’annoncer la suppression de Tether (USDT) et de neuf autres cryptos en Europe, une décision qui constitue un virage pour le secteur. Une telle initiative répond directement aux exigences du règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), qui impose un encadrement strict des stablecoins et des services associés. Après Coinbase, qui a retiré l’USDT en octobre 2024, Crypto.com suit le mouvement et impose un calendrier précis à ses utilisateurs. Dès le 31 janvier 2025, l’achat et le dépôt de ces actifs seront interdits sur sa plateforme européenne. À partir du 31 mars, les fonds restants seront automatiquement convertis en stablecoins conformes à MiCA. Ce retrait dépasse la simple mise en conformité. Il redessine le paysage des stablecoins en Europe, où les plateformes d’échange doivent désormais s’adapter aux nouvelles règles ou risquer des sanctions. Dans un marché en pleine mutation, cette annonce souligne la volonté des régulateurs d’imposer un cadre strict, et laisse planer des incertitudes sur l’avenir des stablecoins décentralisés dans l’UE.
OKX et Crypto.com décrochent leurs licences MiCA. Ils accèdent à 400M de clients dans 30 marchés crypto européens. Les détails ici !
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier 2025 marque une rupture historique dans la politique américaine. En moins d'une semaine, le président a signé 78 décrets touchant des domaines aussi variés que la politique intérieure ou l'aide internationale.
La Valette, le 23 janvier 2024 - OKX, leader mondial des technologies blockchain, annonce aujourd’hui être le premier exchange d'Actifs Financiers Virtuels (Virtual Financial Asset ou VFA) à recevoir sa pré-autorisation MiCA. Avec cette étape, OKX devrait bientôt obtenir la licence MiCA, lui permettant de proposer ses services crypto réglementés et adaptés à plus de 400 millions d’Européens depuis son siège Maltais.
« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
L'Union européenne renforce son rôle de pionnière en matière de régulation financière et s’attaque à un enjeu capital : l’encadrement des cryptos. Avec l’arrivée du cadre réglementaire MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), l'ESMA, l’autorité des marchés financiers, appelle à une action rapide contre les stablecoins qui ne respectent pas les nouvelles normes. Ce virage réglementaire, qui vise à protéger les investisseurs et assurer la transparence, annonce une refonte majeure de l’écosystème crypto européen et pose des défis importants aux émetteurs comme aux plateformes d’échange.
Bayrou, prophète inquiet, dépeint une Europe spectatrice d’un dollar conquérant et d’un Trump martial, broyant nos rêves d’indépendance. L’heure n’est plus au déni : place au sursaut.
Les relations transatlantiques traversent une période de vives tensions, marquée par le retour de Donald Trump à la présidence américaine. Dans ce contexte, Isabel Schnabel, membre éminente du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a tiré la sonnette d’alarme. Elle affirme qu’une guerre commerciale entre l’Union européenne et les États-Unis est « très probable », en raison des politiques protectionnistes déjà annoncées par l’administration américaine. Si ces mesures, dont des droits de douane élevés sur les importations européennes, venaient à se concrétiser, elles pourraient déstabiliser l’économie mondiale. Cette menace, qui cible particulièrement les secteurs clés en zone euro, pose des enjeux capitaux pour l’avenir des relations économiques internationales.
Les semi-conducteurs sont devenus un pilier essentiel de l’économie mondiale et de la sécurité technologique. Dans ce contexte, la Chine a annoncé un investissement inédit de 37 milliards d’euros pour accélérer son autonomie technologique, jusque-là entravée par la domination de l’Europe et des États-Unis. Ce secteur stratégique, incarné par des acteurs comme ASML, leader mondial des équipements de photolithographie, se retrouve désormais au cœur d’une compétition féroce. Pékin ne cherche pas seulement à combler son retard, mais à redéfinir l’équilibre des forces en vue de viser une indépendance complète. Cette initiative pourrait redessiner les contours de l’innovation mondiale et intensifier les tensions sur un marché déjà sous haute pression.