La plus grande banque de Russie franchit un cap historique en proposant des obligations structurées adossées au bitcoin. Cette initiative de Sberbank s'inscrit dans une stratégie plus large de Moscou pour contourner les sanctions occidentales.
La plus grande banque de Russie franchit un cap historique en proposant des obligations structurées adossées au bitcoin. Cette initiative de Sberbank s'inscrit dans une stratégie plus large de Moscou pour contourner les sanctions occidentales.
Tandis que les lignes du commerce mondial se déplacent sous la pression géopolitique, Moscou envisage de troquer les devises traditionnelles contre des cryptos pour ses exportations agricoles. Ce n’est pas une expérimentation marginale, mais un projet massif : le règlement de 49,5 millions de tonnes de céréales pourrait se faire en crypto. Une initiative qui, si elle se concrétise, redéfinirait les règles du commerce pour les États sous sanctions et imposer la blockchain comme alternative aux systèmes financiers dominants.
Tandis que le conflit en Ukraine s’enlise, l’Union européenne franchit un seuil stratégique. Le 20 mai, Bruxelles a adopté un 17ème train de sanctions qui vise des cibles jusqu’ici peu exposées : la flotte fantôme russe, pilier logistique du contournement pétrolier. Cette manœuvre, synchronisée avec Londres, marque un tournant dans la guerre économique menée contre Moscou. En durcissant sa ligne, l’UE entend affaiblir les circuits opaques finançant l’effort militaire russe et maintenir la pression sur ses soutiens étrangers.
Tandis que les grandes puissances émergentes multiplient les appels à réduire leur dépendance au dollar américain, un acteur clé vient de claquer la porte à toute velléité de rupture : l’Inde. Dans un contexte international tendu, où les sanctions occidentales poussent certains pays à explorer des alternatives au système monétaire dominé par le billet vert, New Delhi choisit de jouer la carte de la stabilité. En affirmant qu’elle n’a « absolument aucun intérêt » à s'engager dans une dynamique de dédollarisation, l’Inde envoie un signal fort à ses partenaires au sein des BRICS et du Sud global.
En pleine reconfiguration des équilibres économiques mondiaux, la Banque centrale de Russie crée la surprise. Dans son dernier rapport, elle classe le bitcoin en tête des actifs financiers pour 2025. Une reconnaissance inattendue de la part d’une institution jusqu’ici prudente face aux cryptos. Ce revirement souligne à la fois la performance remarquable de l’actif et son intégration croissante dans les stratégies d’investissement, même au sein d’un environnement financier aussi contrôlé que celui de la Russie.
Tandis que la guerre russo-ukrainienne s’enlise dans sa quatrième année, une possible rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine à Istanbul pourrait rebattre les cartes. Pour la première fois depuis des mois, Kiev accepte l’idée de pourparlers directs. Zelensky a annoncé ce dimanche 11 mai qu’il attendrait Poutine le jeudi 15 à Istanbul. Cependant, l’Ukraine pose une condition ferme : aucun échange ne se fera sans un cessez-le-feu total, exigé dès ce lundi. Il s’agit d’une exigence lourde de sens, dans un conflit où chaque geste diplomatique reste scruté.
Tandis que le conflit en Ukraine franchit un cap critique, Kiev et ses alliés occidentaux avancent une proposition de cessez-le-feu de 30 jours, intégral et sans conditions. Soutenue par Washington et les grandes capitales européennes, cette initiative vise à ouvrir une brèche vers des pourparlers. Cependant au-delà de l’appel à la trêve, une interrogation domine : Moscou y verra-t-elle une véritable main tendue ou une manœuvre tactique dissimulant un avantage stratégique pour l’Ukraine ? La réponse pourrait redessiner l’équilibre des forces sur le plan diplomatique.
Tandis que les cours du pétrole dégringolent et que la demande reste morose, l’OPEP+ surprend en annonçant une hausse massive de sa production dès juin. Huit membres du cartel rompent avec la prudence récente et ravivent l’incertitude sur un marché déjà sous tension. Derrière ce revirement se dessine un possible tournant géopolitique et économique, entre stratégie de reconquête et prise de risque calculée. Cette décision pourrait bien redessiner les équilibres énergétiques mondiaux.
Tandis que les sanctions économiques visaient à étouffer Moscou, la Russie enregistre une croissance de 4,1 % en 2023. Ce chiffre, confirmé par les autorités russes, bouscule les certitudes de Washington et de ses alliés. Dans un climat de guerre en Ukraine et de recomposition des alliances monétaires, le retour en force de l’économie russe révèle une stratégie de contournement efficace, portée par les BRICS. Cette donnée interroge sur l’efficacité des sanctions occidentales et rebat les cartes du jeu géoéconomique.
Alors que le monde des cryptos tangue entre régulation et anarchie, la Russie joue une partition inédite. Loin des clichés d’un État réfractaire, Moscou orchestre une manœuvre subtile : une bourse crypto étatique, réservée à une élite financière. Un paradoxe ? Plutôt une stratégie calculée, mêlant contrôle absolu et ouverture feutrée.
La Russie, un membre influent du bloc des BRICS, vient de franchir un cap monétaire historique : en février, plus de la moitié de ses importations ont été réglées en roubles. Cette avancée stratégique, confirmée par la Banque centrale, s’intègre dans une rupture nette avec le système dominé par le dollar. Tandis que les tensions avec l’Occident s’intensifient, Moscou réoriente ses échanges vers des partenaires jugés « amicaux », ce qui redéfinit ainsi les équilibres financiers globaux et accélère sa trajectoire vers une autonomie économique renforcée.
Le ministère des Finances russe explore la possibilité de développer son propre stablecoin. Ceci intervient après les récentes sanctions américaines et les actions de Tether, qui ont bloqué des portefeuilles liés à l’échange Garantex. Une initiative qui vise surtout à éviter les risques de dépendance liés aux stablecoins étrangers, comme l’USDT.
Tandis que les tensions géopolitiques redessinent les équilibres mondiaux, les BRICS accélèrent la mise en place de leur propre réseau de paiement. Pilotée par la Russie, cette infrastructure vise à s’émanciper de SWIFT et à ouvrir une voie financière hors du contrôle occidental. L’annonce de son accessibilité aux pays non membres marque une rupture stratégique. Au-delà d’un outil régional, BRICS Pay devient un levier d’influence globale et un signal fort en faveur d’un ordre monétaire multipolaire.
Tandis que les BRICS intensifient leur stratégie de dédollarisation, Pékin et Moscou franchissent une étape inédite : l’usage du bitcoin pour régler certaines transactions commerciales. Cette initiative, révélée par VanEck, marque un tournant symbolique dans l’internationalisation des cryptos. Elle traduit une volonté assumée de s’affranchir des circuits financiers dominés par l’Occident, en vue de conférer au bitcoin un rôle géopolitique inédit. Ce glissement pourrait préfigurer un nouvel ordre monétaire, dans lequel les cryptos redéfinissent les leviers de souveraineté économique.
Dans un contexte géopolitique en pleine recomposition, deux initiatives marquantes ébranlent l’hégémonie du dollar. Le Brésil et la Chine actent un virage stratégique en privilégiant leurs monnaies nationales pour les échanges bilatéraux. De leur côté, la Russie et l’Iran annoncent la mise en chantier d’une nouvelle devise commune pour contourner les sanctions occidentales. Ces mouvements distincts, mais convergents, illustrent une volonté partagée des membres influents des BRICS : bâtir un système financier moins dépendant du billet vert et affirmer une souveraineté monétaire face aux pressions extérieures.
Face à l’enlisement du conflit en Ukraine, Donald Trump change de ton et menace Moscou d’un coup de massue économique. Le président américain, jusqu’ici mesuré envers le Kremlin, brandit désormais la carte des sanctions tarifaires sur le pétrole russe. En effet, l’objectif affiché est de contraindre Vladimir Poutine à avancer vers un cessez-le-feu. Une déclaration choc qui fracture les équilibres diplomatiques et fait réagir jusque dans les capitales européennes, à l’heure où la moindre tension peut redéfinir l’échiquier géopolitique mondial.
Et si l’indépendance ne passait plus par les armes, mais par des blocs de code ? Les BRICS rêvent de souveraineté en cryptomonnaies, Siluanov en éclaireur numérique.
La Russie se trouve à un tournant économique majeur, accablée par des dépenses militaires en forte hausse et une crise énergétique croissante. Tandis que les ressources financières se raréfient, le coût du conflit en Ukraine devient insoutenable. En 2025, l’augmentation des dépenses militaires et la chute des revenus énergétiques mettent le pays face à un défi économique sans précédent.
Comme un fantôme du passé, Mt. Gox refait surface en déplaçant des milliards en Bitcoin, réveillant craintes, spéculations et sueurs froides chez les investisseurs crypto.
Crypto : un fonds d’État pour les actifs saisis ? Découvrez la proposition choc des autorités en Russie et les enjeux cachés du projet.
La présidente de la banque centrale russe s’est ridiculisée en tentant de serrer la bride au bitcoin.
Moscou ouvre la cage dorée : des milliards d’actifs russes enfin libérés, mais sous conditions. Un coup de maître avant un appel où Trump jouera l’illusionniste géopolitique.
Le sommet USA-Ukraine s'est tenu récemment à Riyad et a débouché sur des propositions de trêve plus ambitieuses que prévu. « La balle est désormais dans le camp de la Russie » est devenue l'élément de langage américain sur cette question. Pendant ce temps, l'Europe semble accélérer sa reprise en main militaire dans un contexte géopolitique de plus en plus tendu.
Moscou accélère le pas maintenant que Washington a embrassé le bitcoin. Bientôt une réserve stratégique russe ?
Dans l’ombre des restrictions économiques imposées par l’Occident, Moscou trace une nouvelle voie pour son commerce énergétique. Face à l’exclusion du système financier international, la Russie a trouvé une solution alternative : l’utilisation de Bitcoin (BTC) et Tether (USDt) pour contourner les sanctions et assurer la continuité de ses exportations de pétrole.
Alors que les cryptos bousculent les systèmes financiers traditionnels, la Russie opte pour une voie paradoxale. La Banque centrale propose d’ouvrir les échanges aux investisseurs qualifiés, tout en maintenant une distance prudente. Une manœuvre qui ressemble à un équilibre entre contrôle et innovation, mais cacherait-elle une stratégie plus restrictive ?
L’équilibre fragile du conflit en Ukraine vient de connaître un nouveau rebondissement. Donald Trump, le président américain, a évoqué la possibilité d’imposer des sanctions bancaires massives et des droits de douane élevés contre la Russie. Cette déclaration intervient alors que Moscou intensifie ses frappes sur les infrastructures ukrainiennes, et que la position de Washington oscille entre soutien conditionnel à Kiev et recherche d’une issue diplomatique. Mais cette posture de fermeté s’accompagne de décisions contradictoires, ce qui déclenche des interrogations sur les véritables intentions de Trump en matière de politique étrangère.
Alors que les cryptos divisent les géopolitiques mondiales, la Russie dessine une voie singulière. Vladimir Poutine, tout en reconnaissant l’intangibilité du bitcoin, oppose un refus catégorique à son intégration dans les réserves nationales. Une position qui contraste avec celle de Donald Trump, fervent défenseur d’une Amérique crypto-souveraine. Entre fascination technologique et prudence stratégique, Moscou joue un équilibre subtil sur l’échiquier numérique.
Entre Livret A réquisitionné, riches effleurés et budget militaire affamé, Manu jongle : trouver des milliards sans fâcher personne, voilà un art digne du cirque budgétaire français.
La politique étrangère des États-Unis pourrait connaître un virage majeur. Alors que les tensions diplomatiques entre Washington et Moscou n'ont cessé de s’intensifier ces dernières années, Donald Trump semble prêt à réécrire les règles du jeu. Le président américain, favori dans la course à la Maison-Blanche, envisage un rapprochement économique avec la Russie de Vladimir Poutine, en vue de rompre ainsi avec la stratégie de sanctions imposée sous Joe Biden. S'agit-il d'une manœuvre qui vise à fragiliser l’alliance des BRICS ?