Pékin a du souci à se faire : les milliards en dollars menacent de s'évaporer si l’Oncle Sam change de ton.
Pékin a du souci à se faire : les milliards en dollars menacent de s'évaporer si l’Oncle Sam change de ton.
Les BRICS viennent d’achever leur sommet à Kazan, dans un contexte géopolitique explosif. Entre guerre en Ukraine, conflit au Moyen-Orient et élections américaines, les BRICS s’imposent de plus en plus comme une alternative à l’Amérique !
L’ampleur de l’amende infligée à Google par la Russie laisse le monde sans voix. Pour la première fois, une sanction à 36 zéros s’abat sur un géant de la tech, et défie toute mesure économique connue. Ce montant insensé, qui dépasse de loin le PIB mondial, constitue une étape inédite dans la guerre de la souveraineté numérique. La Russie, par cette pénalité sans précédent, dénonce la suppression de comptes et de chaînes de médias russes par Google sur sa plateforme YouTube, une action qu’elle considère comme une atteinte directe à sa souveraineté médiatique.
En Russie, on ne rigole plus : Poutine s’attaque au minage crypto avec des règles strictes. Fini la tranquillité.
Alors que le G7 envisage de puiser dans les actifs russes gelés pour soutenir un prêt massif à l'Ukraine, le Kremlin ne cache pas son inquiétude. À travers les avertissements de ses hauts responsables, la Russie met en garde contre des conséquences qui pourraient affaiblir la suprématie du dollar et redéfinir les équilibres monétaires internationaux.
Dans un contexte mondial déjà tendu, la Russie vient de frapper fort avec une annonce qui ne manquera pas de faire réagir. Ce vendredi, la Banque centrale russe a relevé son taux directeur à 21 %, un niveau historique qui n’avait plus été atteint depuis 2003. Derrière cette décision drastique se cache une tentative de contrer une inflation importante, alimentée par des dépenses militaires sans précédent et une économie en pleine mutation à cause des sanctions internationales. Pour Moscou, l'heure est à la lutte contre la spirale inflationniste, tandis que les entreprises et le marché russe redoutent les répercussions de cette politique monétaire.
La scène géopolitique mondiale est en pleine mutation, et les BRICS, ce groupe de puissances émergentes se trouve au cœur de cette réorganisation. Alors que les tensions économiques et politiques avec l'Occident s'intensifient, plus de trente nations ont exprimé leur volonté de rejoindre cette alliance lors du sommet annuel qui se tient actuellement à Kazan du 22 au 24 octobre 2024. Face à l’hégémonie occidentale, les BRICS cherchent à redessiner l'équilibre des forces et à se libérer de la domination du dollar dans les échanges internationaux.
La Russie, bien que résiliente face aux sanctions occidentales, semble s’engager sur une pente descendante. Soutenue par une économie de guerre florissante en 2024, le pays pourrait voir ses efforts s’effriter dès l’année suivante. Le Fonds Monétaire International (FMI) prévoit en effet un ralentissement sévère en 2025, alors que la…
Israël est aujourd'hui gouverné par des fanatiques millénaristes d'extrême-droite. Bref, des fascistes.
Cette affaire n’est qu’une pièce du vaste puzzle des sanctions économiques contre la Russie, mais elle illustre la difficulté de traquer et de saisir des biens acquis par des montages financiers sophistiqués. Alors que la justice française accentue ses efforts, la pression internationale pour une plus grande transparence financière s'intensifie. Les prochaines étapes de cette enquête, et celles à venir, pourraient bien redéfinir les outils de lutte contre la criminalité financière transnationale. Ainsi, les implications pour les oligarques russes et leurs réseaux en Europe sont immenses, et ce type d'actions pourrait inspirer d'autres juridictions à agir.
Le prochain sommet des BRICS, qui se tiendra à Kazan en Russie du 22 au 24 octobre, apparaît comme une étape clé dans la recomposition internationale en cours. En accueillant à la même table plusieurs puissances en plein essor et des partenaires stratégiques, ce sommet ambitionne de renforcer l'influence du bloc sur les questions économiques, politiques et diplomatiques globales. La présence d’Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, au cœur de ces discussions est un signe fort de reconnaissance de l’importance grandissante des BRICS. Plus qu’un simple déplacement diplomatique, sa participation traduit une volonté d’ouverture et d’intégration de ce groupe dans la gouvernance mondiale.
Cointribune a interviewé Anti Danilevski. Il est le CEO de Kicked, une plateforme d'échange opérant en Russie. Nous avons discuté des sanctions occidentales contre la Russie, des BRICS et de ce que l'avenir réserve au bitcoin.
L’économie russe se tourne de plus en plus vers la Chine, notamment par l’adoption massive du yuan pour ses échanges commerciaux internationaux. Cette dépendance importante à la monnaie chinoise, une conséquence directe de l'exclusion de la Russie du système financier mondial, intrigue davantage du côté de Pékin qui cherche à renforcer son influence globale, et éviter des représailles occidentales.
Le monde est en pleine recomposition géopolitique. Tandis que les tensions entre grandes puissances façonnent les relations internationales, les alliances économiques évoluent à une vitesse inédite. Au cœur de ce nouvel ordre mondial, le BRICS, bloc des grandes économies émergentes, s'affirme comme un acteur clé capable de remodeler les équilibres globaux. Ce groupe, autrefois réservé à cinq membres, s’est récemment ouvert à de nouveaux candidats, ajoutant à ses rangs des géants comme l’Iran ou l’Arabie saoudite. C’est dans ce contexte que la Turquie, sous l'impulsion de son président Recep Tayyip Erdoğan, cherche à rejoindre cette alliance influente. Une décision stratégique qui intervient alors que les perspectives d'adhésion à l'Union européenne s'éloignent, poussant Ankara à diversifier ses partenariats économiques et géopolitiques. Pourtant, cette candidature ne fait pas l'unanimité : le BRICS, encore en phase de consolidation après son dernier élargissement, pourrait temporiser avant de prendre de nouvelles décisions. Et ce, malgré l'intérêt grandissant d'une vingtaine de nations pour rejoindre le groupe.
Tandis que le Moyen-Orient s’embrase, le Bitcoin trébuche. L’or, lui, étincelle comme un Napoléon retrouvé sous un matelas.
En pleine période de volatilité économique mondiale, l'Arabie Saoudite a pris une décision qui pourrait bien redéfinir les équilibres énergétiques et géopolitiques. Alors que le prix du baril de pétrole atteignait les 100 dollars, Riyad a choisi d'augmenter considérablement sa production de pétrole, une manœuvre qui vise à faire baisser les prix du brut sur les marchés internationaux.
Dans un monde de plus en plus polarisé, les alliances géopolitiques jouent un rôle capital dans la redéfinition des équilibres de pouvoir. La Corée du Nord, traditionnellement isolée sur la scène internationale, semble intensifier ses efforts pour s'aligner avec des blocs économiques comme les BRICS, dans un contexte de liens croissants avec la Russie. Cette stratégie pourrait avoir des implications majeures, non seulement pour la diplomatie de Pyongyang, mais également pour la géopolitique mondiale. L'absence remarquée de la Corée du Nord à l'Assemblée générale des Nations Unies au profit d'un événement BRICS à Saint-Pétersbourg en est un signe avant-coureur.
Malgré des sanctions économiques croissantes, la Russie continue de trouver des moyens créatifs pour contourner les interdictions occidentales. D’après le rapport de CERA, la Fédération russe a vendu près de 2 milliards de dollars de pétrole à des pays occidentaux via des intermédiaires. Ce chiffre montre l’ingéniosité avec laquelle le Kremlin maintient son économie à flot malgré les restrictions.
Les achats massifs d'or par la Russie boostent les performances de ce métal précieux, surpassant le CAC 40 de la bourse de Paris !
Le paysage monétaire mondial est en pleine mutation. Tandis que l’influence du dollar américain vacille sous le poids des tensions géopolitiques et des politiques économiques agressives, les BRICS s’apprêtent à redéfinir les règles du jeu. Ils travaillent à lancer une nouvelle monnaie de réserve, un projet audacieux qui pourrait ébranler la suprématie du billet vert et redistribuer les cartes de la finance internationale. Face à l'impact des sanctions économiques, des guerres commerciales et d’une dépendance jugée excessive au dollar, ces puissances émergentes se regroupent pour affirmer leur souveraineté économique. Mais cette nouvelle monnaie, envisagée comme une alternative directe au système financier dominé par les États-Unis, soulève autant d’espoirs que de doutes.
La Russie fait face à une menace croissante de stagflation, alors que son économie ralentit sous le poids des dépenses militaires massives et d'une inflation galopante. Avec un taux d'inflation de 9 % en août 2024 et une économie marquée des dépenses militaires importantes depuis l'invasion de l'Ukraine, les experts s'inquiètent des répercussions à long terme.
Les nouvelles sanctions occidentales contre la Russie ne cessent d'étendre leur influence. Cette fois, c’est l’axe Moscou-Ankara qui en subit les conséquences. Avec des milliards de dollars de règlements commerciaux en jeu, les répercussions sur les échanges entre la Russie et la Turquie pourraient être profondes et durables. Dans un contexte où les banques turques sont désormais soumises à une surveillance accrue de la part des États-Unis, l’avenir des transactions entre ces deux géants économiques est incertain.
Alors que la Chine révèle de plus en plus son visage totalitaire, Donald Trump et Kamala Harris suscitent de sérieuses inquiétudes quant à leur capacité à défendre les intérêts occidentaux face à Pékin. Seraient-ils sur le point de capituler face à Xi Jinping, et à abandonner Taïwan ?
Le Bitcoin a pris une dimension stratégique inédite pour la Russie. Face aux sanctions économiques imposées par l’Occident, le pays a trouvé dans le minage de cryptomonnaies un levier inattendu pour maintenir son économie à flot. Avec plus de 3 milliards de dollars extraits en Bitcoin l’année dernière, la Russie…
Face aux sanctions occidentales, la Russie accélère son adoption crypto avec des initiatives audacieuses. Deux nouvelles plateformes d'échange devraient bientôt voir le jour à Moscou et Saint-Pétersbourg, dans le but de soutenir l'activité économique étrangère du pays et renforcer sa résilience financière.
Face aux restrictions croissantes imposées par l'Occident, la Russie et la Chine explorent désormais des voies alternatives pour maintenir leurs échanges. Alors que les banques chinoises, autrefois ouvertes aux transactions en yuan, commencent à fermer leurs portes aux paiements russes par crainte de représailles, de nouvelles méthodes émergent.
Dans un contexte géopolitique tendu, l'économie russe démontre une dépendance persistante au dollar. Malgré les interdictions d'exportation de devises, 2,3 milliards de dollars en billets verts ont pénétré le territoire russe.
La guerre des prix du pétrole est rarement un simple affrontement commercial, elle cache souvent des enjeux géopolitiques d’une portée bien plus vaste. Aujourd'hui, un nouvel épisode de cette lutte se joue sur la scène internationale et oppose deux mastodontes énergétiques : la Russie et l'Arabie Saoudite. Alors que le monde se remet encore difficilement des répercussions économiques de la pandémie et que le conflit en Ukraine continue de redessiner les cartes de l'influence mondiale, ces deux acteurs majeurs des BRICS se disputent âprement la domination du marché asiatique. Leurs manœuvres pourraient bien bousculer l'ordre établi, tant au sein de l'OPEP qu'au cœur des alliances stratégiques globales.
Poutine vient de signer un projet de loi historique pour le minage de crypto en Russie. On vous dit tout dans cet article.
Alors que Maduro semble avoir mis en place une fraude massive aux élections pour rester au pouvoir, le Venezuela marche tragiquement vers un effondrement total et imminent.