Voici l’essentiel des dernières 24h – Édition n°205 Le Top 5 des Cryptos aujourd’hui : 📌Bitcoin (BTC) | 20 127 $ 🔽 📌Ethereum (ETH) | 1 512 $ 🔽 📌Binance Coin (BNB) | 318$ 🔽📌XRP (XRP) | 0.45 $ 🔽📌Dogecoin (DOGE) | 0.12 $ 🔽 📉Direction le prochain support. Sur ces dernières 24 heures, après une dernière…
Le fondateur d’Ethereum n’adhère pas du tout aux réglementations crypto qui empiètent sur le fonctionnement de la technologie blockchain.
Une grande majorité de Banques centrales dans le monde travaille à élaborer leur propre monnaie numérique de Banque centrale (CBDC). Les objectifs poursuivis ne sont pas les mêmes dans chaque cas. Si certains gouvernements souhaitent prendre une part active dans le développement de ce marché, il en existe dont le but est de créer une CBDC pour combattre la croissance des cryptos. C’est le cas de l’Inde. Le pays a, depuis le début, affiché son opposition au marché des actifs numériques. Récemment, Rabi Sankar, vice-gouverneur de la Banque centrale, a déclaré qu’il croit fermement que les CBDC peuvent « tuer » les cryptos. D’après lui, ces dernières portent en elles, le germe de la « déstabilisation de la stabilité monétaire et fiscale ».
Coinflex, BlockFi, Celsius et Hodlnaut font partie des prêteurs de cryptomonnaies obligés de déposer leur bilan à l’issue de l’effondrement de Terra. Dure à avaler, cette pilule représente l’équivalent de 40 milliards de dollars de pertes. Concernant Hodlnaut, la descente aux enfers a commencé par une suspension des dépôts et des retraits de cryptos au mois d’août. Quelques mois plus tard, la start-up singapourienne a demandé à la Haute Cour de Singapour une protection contre ses créanciers. Aux dernières nouvelles, Hodlnaut affiche des pertes astronomiques occasionnées par une erreur d’estimation des risques liés à TerraUSD.
En juillet 2021, le département américain de la justice a annoncé qu’il cherchait à savoir si les dirigeants de Tether ont commis une fraude bancaire. En effet, les autorités accusent l’émetteur de l’USDT d’avoir caché aux banques des transactions en rapport aux cryptos, au début de ses activités. Depuis lors, l’enquête a beaucoup piétiné. Pour beaucoup d’observateurs, cela serait dû au fait que les autorités judiciaires n’ont pas récolté suffisamment de preuves. Désormais, les autorités espèrent y aller plus vite.
En février dernier, le distributeur de jeux vidéo, Gamestop a décidé de se lancer dans les NFT. Une opération prévue dans le vaste plan de relance des activités de l’entreprise, qui croulait sous le poids des effets de la pandémie. Les NFT devraient jouer un rôle de premier plan dans le redressement des finances de l’entreprise. La société a lancé la version beta de la place de marché en juillet dernier. Un lancement jusqu’ici, couronné de succès, au vu de l’engouement qu’il a suscité auprès de la communauté.
Le battage médiatique autour du procès qui oppose Ripple (XRP) à la SEC se poursuit. Après de nombreux mois de querelles et de procès, le dénouement pourrait bientôt avoir lieu. Si jusqu’ici le régulateur américain semblait avoir l’avantage, les choses sont en train de changer et le pouvoir de la SEC sur les marchés cryptos pourrait en pâtir.
Si le metaverse est considéré comme la technologie du futur par beaucoup, certains restent encore sous leur faim et attendent un peu plus avant de s’enflammer. C’est le cas de Phill Spencer, le responsable des jeux chez Microsoft et patron de la Xbox. Il s’est montré assez critique contre le métaverse, qu’il considère comme un « jeu vidéo mal construit ». Ajoutant aussi que l’industrie était récente et qu’elle a encore une bonne marge de progression. Des propos assez durs, qui montrent que le métaverse est encore loin de faire l’unanimité malgré les nombreux progrès réalisés.
Aujourd’hui, l'exchange crypto Coinbase a demandé la permission de déposer un mémoire d’amicus curiae dans l’affaire SEC vs XRP.
La Securities and Exchange Commission (SEC) semble s’acharner contre les entreprises de cryptos. Les acteurs de l’industrie trouvent que le régulateur met en place des mesures inappropriées et exagérées en matière de réglementation. Ils accusent la SEC de ne pas apporter des réponses claires à leurs préoccupations majeures. Récemment, un membre de la SEC s’est, lui aussi, indigné contre la façon dont l’agence fédérale réglemente le secteur crypto.