L’UE tente d’éviter une guerre commerciale qui plomberait son économie. Dans cet article, on vous explique comment.
L’UE tente d’éviter une guerre commerciale qui plomberait son économie. Dans cet article, on vous explique comment.
Tether jette un pavé dans la mare réglementaire européenne : son PDG refuse catégoriquement de soumettre l’USDT au cadre MiCA. Une décision qui pourrait bouleverser le marché des stablecoins en Europe, fragiliser les échanges crypto, et mettre en lumière une opposition frontale entre régulation et innovation financière globale.
L’Europe, jadis frileuse sur le bitcoin, veut son MicroStrategy : TBG prévoit 260 000 BTC d’ici 2033. Un plan musclé qui chatouille la BCE et secoue les marchés.
CZ, en apôtre de la liberté version crypto, a misé 500 millions sur X pour libérer les tweets… tout en priant qu’Elon Musk fasse la chasse aux bots qui pullulent.
Lors de la conférence Token2049 à Dubaï le 30 avril, Changpeng « CZ » Zhao, ex-PDG de Binance, n’a pas mâché ses mots : l’Europe serait quasiment absente du débat sur l’adoption crypto. Pour Zhao, alors que des pays comme les Émirats arabes unis ou le Bhoutan accumulent du bitcoin et de l’ethereum comme réserves stratégiques, les pays européens avancent « nulle part ».
Bunq, la néobanque européenne bien connue des nomades numériques, élargit son offre : place aux cryptos ! L’appli permet désormais de gérer épargne et crypto dans un même panier, grâce à Kraken.
L’affaire Ekaterina Djanova ressemble à un thriller financier où crypto, crime organisé et failles judiciaires s’entremêlent. Alors que cette Française de 38 ans, surnommée ‘la banquière de l’ombre’, croupit en prison depuis deux ans, un rebondissement juridique pourrait la libérer. Derrière cette possible évasion légale se cachent des questions brûlantes : comment le système crypto facilite-t-il le blanchiment à grande échelle ? Et jusqu’où s’étend l’impunité numérique ?
Pendant que le dollar fait des claquettes sur un fil de tweets présidentiels, l’euro, lui, trottine vers le trône monétaire, galvanisé par les bévues de son rival étoilé.
À l’intersection tumultueuse entre spiritualité et spéculation, une crypto-monnaie nommée LUCE défie les conventions. Alors que le Vatican pleure la disparition du pape François, ce jeton-mème, inspiré de la mascotte de l’Année Sainte 2025, s’impose comme un paradoxe moderne. Entre prières et algorithmes, la communauté crypto s’agite, transformant un événement sacré en un terrain de jeu financier. Comment un simple dessin animé a-t-il pu déclencher une frénésie aussi profane ?
L’euro numérique, future monnaie digitale émise par la Banque centrale européenne, s’apprête à transformer profondément le paysage monétaire européen. Selon la BCE, cette CBDC pourrait remplacer jusqu’à 50 % des billets en circulation et impacter significativement les dépôts bancaires ! Marquant ainsi un tournant stratégique pour l’Europe face aux actifs numériques.
Dans un monde où l’information se mêle souvent à la désinformation, Telegram, l’application de messagerie cryptée, s’est retrouvée au centre d’une polémique inédite. Alors que la France affirme avoir contraint la plateforme à respecter les règles européennes après l’arrestation de son fondateur, Pavel Durov retourne l’accusation : selon lui, ce sont les autorités françaises qui ont tardé à appliquer les procédures prévues par l’UE. Un duel rhétorique qui révèle des tensions plus profondes sur le contrôle des géants tech.
La France se débat dans un déficit abyssal, Bayrou appelle à plus de travail, mais entre coupes sociales et tensions politiques, la réforme risque de provoquer une crise de gouvernance.
Le ministre italien de l’économie et des finances, Giancarlo Giorgetti, a exprimé ses inquiétudes quant à la menace posée par les stablecoins américains, soulignant qu’ils pourraient représenter un danger plus grand que les tarifs douaniers de Donald Trump. Selon lui, ces cryptos adossées au dollar risquent de perturber la stabilité financière de l’Europe.
La crypto en France sort de sa phase d’euphorie pour amorcer une structuration plus mature. Cette étude 2025 de l’Adan (Association pour le développement des actifs numériques), menée avec Deloitte et Ipsos, dresse un état des lieux lucide : adoption stabilisée, ambitions industrielles affirmées, mais défis persistants. Entre l'essor du Web3, l'ouverture institutionnelle et les barrières réglementaires, l’écosystème français trace sa route vers une intégration durable. Cette enquête renseigne sur les ressorts d’une dynamique en pleine redéfinition, où se joue l’avenir stratégique des cryptos en Europe.
En pleine bataille commerciale, l’Union européenne accepte de négocier la suppression des tarifs douaniers sur les véhicules électriques chinois. Portés par des subventions massives, ces modèles à bas coût bousculent l’équilibre du marché européen. Ce revirement marque un tournant, car l’Europe, tiraillée entre protectionnisme industriel et transition écologique, s’ouvre à un compromis risqué. Dans un secteur clé, ce rapprochement pourrait rebattre les cartes entre deux puissances rivales, liées par la compétition autant que par l’interdépendance.
Kraken et Mastercard s’allient pour lancer une carte de débit crypto en Europe et au Royaume-Uni. Cette annonce illustre la volonté des géants du secteur de faire des cryptos un outil de paiement concret, au-delà de la spéculation. Dans un marché sous pression réglementaire, cette initiative incarne une nouvelle phase : celle de l’usage, et de l’intégration réelle des cryptos dans le quotidien. Il s’agit d’un signal fort à l’heure où l’industrie cherche des cas d’usage tangibles et conformes.
L’Europe croyait avoir cadenassé les cryptos avec MiCA. L’ESMA la détrompe : trop de passerelles, trop de risques. Quand les jetons toussent, la finance pourrait s’enrhumer.
Un nouvel affrontement commercial s’amorce entre les deux rives de l’Atlantique. À travers l’annonce d’une surtaxe de 20 % sur l’ensemble des produits européens, Washington cible frontalement les exportations du Vieux Continent. La France, en première ligne, voit planer la menace d’un choc économique majeur. Entre vulnérabilité des secteurs stratégiques et urgences diplomatiques, Paris doit vite réagir. Derrière cette décision américaine se joue bien plus qu’une bataille tarifaire : c’est toute l’architecture des relations commerciales transatlantiques qui vacille.
Après une semaine noire, le CAC 40 chute de 8 %, secoué par la guerre commerciale, la volatilité des marchés et les perspectives économiques sombres, avec un rebond toujours incertain.
L’administration Trump vient de déclencher un véritable séisme commercial. À travers l’imposition d’une taxe douanière universelle de 10 %, bientôt portée à 34 % pour certains pays, Washington relance une stratégie protectionniste agressive. Cette décision, à contre-courant des règles multilatérales, menace de reconfigurer les échanges mondiaux et fait déjà réagir plus de 50 États. Dans un contexte international sous tension, ce virage majeur pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère de confrontation économique.
En une seule séance, l’euro s’est envolé de 2,15 % face au dollar, et a atteint 1,109 dollar, sa plus forte hausse depuis 2015. Ce sursaut brutal dépasse la mécanique des taux de change. Il signale une perte de confiance soudaine dans la devise américaine. À travers cette bascule, les marchés semblent réévaluer le rapport de force entre grandes monnaies, dans un contexte où les signaux macroéconomiques et les choix des banques centrales redessinent les lignes de fracture monétaire.
Ultra, la destination tout-en-un pour les joueurs, les éditeurs et les développeurs, a terminé un tour de financement de 12 millions de dollars dirigé par le bureau multi-familial basé au Luxembourg NOIA Capital via son fonds NOIA Digital Assets.
Depuis Bruxelles, le signal est sans ambiguïté : les géants du numérique devront rendre des comptes. La plateforme X, anciennement Twitter, est visée par une enquête de l’Union européenne pour de possibles violations majeures du Digital Services Act. En ligne de mire : la diffusion de contenus illicites et le manque de coopération avec les autorités. L’amende envisagée dépasserait le milliard de dollars, un record qui pourrait marquer un tournant dans l’application du nouveau règlement européen. Elon Musk, son propriétaire, se retrouve au cœur d’une confrontation réglementaire inédite.
Donald Trump a déclenché un nouveau séisme commercial dans la nuit du 2 au 3 avril 2025. En annonçant une hausse des droits de douane jusqu’à 20 % sur les produits en provenance de l’Union Européenne, l’actuel patron de la Maison Blanche ravive les tensions transatlantiques. Mais la France et l’Europe ne comptent pas se laisser faire et passent à l’offensive !
Bonne nouvelle pour les clients européens de FTX : Backpack, qui a racheté la filiale européenne de l'exchange en faillite, démarre enfin le processus permettant aux utilisateurs de récupérer leurs fonds. Les utilisateurs peuvent désormais entamer la première phase du processus de réclamation.
Tandis que les marchés européens enregistrent une hausse technique, les regards se tournent vers Washington. Soutenus par des indicateurs économiques encourageants, les principaux indices boursiers du Vieux Continent ont clôturé dans le vert ce mardi. Toutefois, cette embellie reste fragile. Les investisseurs retiennent leur souffle à la veille d’annonces potentiellement décisives de Donald Trump, qui pourrait relancer l’offensive commerciale des États-Unis. L’éventualité de nouvelles barrières douanières ravive les tensions et menace de rebattre les cartes de l’équilibre économique mondial.
Binance arrête le trading de l’USDT en Europe, une décision historique dictée par la réglementation MiCA. Ce tournant majeur impacte directement les utilisateurs crypto de l’EEE et redéfinit l’avenir des stablecoins sur le vieux continent. Est-ce la fin de l’USDT en Europe ? Quelles solutions pour les investisseurs crypto ?
Choc réglementaire sur la crypto : les assureurs sommés de couvrir intégralement leurs risques. On vous livre les détails dans cet article.
BlackRock déploie son iShares Bitcoin ETP, pari audacieux sur un marché européen frileux. Le BTC s’imposera-t-il enfin face aux actifs traditionnels ?
L’Union européenne vit une révolution discrète, mais tenace. Un rapport récent d’Oobit, plateforme spécialisée dans les paiements cryptos, révèle que 70 % des transactions en crypto sur son réseau sont absorbés par le commerce de détail, l’alimentation et les boissons. Un chiffre qui pulvérise les clichés sur l’usage marginal des cryptomonnaies. Mais comment expliquer cette infiltration silencieuse dans le quotidien des Européens ? Entre adoption réglementaire et pragmatisme économique, le paysage se redessine.