Ils voulaient comprendre la crypto, ils l’ont testée dans des arcades métavers ! Bitget secoue les codes : immersion, staking, QR, NFT… Et si la révolution Web3 passait par là ?
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Alors qu’on l’enterrait déjà, le cash s’offre une seconde jeunesse ! Entre méfiance techno et nostalgie tactile, l’Europe balance entre euro numérique et billets bien palpables…
Alors que Donald Trump relance la guerre commerciale, la Suisse encaisse de plein fouet. Entre tensions diplomatiques et choc économique, l’équilibre européen vacille.
L'Union européenne franchit une nouvelle étape décisive dans l'encadrement de l'intelligence artificielle. Après avoir posé les bases en février, Bruxelles active aujourd'hui le deuxième volet de son AI Act, visant directement les modèles à usage général comme ChatGPT. Une offensive réglementaire qui divise les acteurs du secteur.
L’Union européenne et Donald Trump viennent de conclure un accord historique, mais controversé. Objectif affiché : redéfinir les échanges transatlantiques. Mais derrière l’annonce officielle, c’est toute l’économie européenne qui tremble. Tous les détails dans les paragraphes qui suivent !
L’euro est-il en train de capituler face au bitcoin ? Jadis marginale, l’idée s’impose avec fracas alors que la devise européenne enchaîne les plus bas historiques face à la première crypto. Max Keiser, figure du maximalisme Bitcoin, relance le débat avec une prédiction choc. Il s’agit d’un signal fort dans un contexte où la défiance monétaire gagne du terrain, et où les fondamentaux techniques semblent donner raison aux partisans d’un basculement monétaire mondial.
Tandis que les lignes du commerce mondial se redessinent sous la pression géopolitique, Donald Trump abat ses cartes. Avant une rencontre en Écosse avec Ursula von der Leyen, le président américain prévient : aucun tarif douanier inférieur à 15 % ne sera accordé à l’Union européenne. Cette posture ferme, aux répercussions directes sur les flux transatlantiques, pourrait aussi impacter les filières stratégiques comme le numérique et la blockchain. Derrière cette manœuvre se profile un bras de fer économique entre deux visions opposées de la souveraineté commerciale.
Face au relèvement des droits de douane décrété par Donald Trump, 30 % sur les importations européennes dès le 1er août, Bruxelles sort l’artillerie lourde. La Commission a validé une contre attaque tarifaire de 93 milliards d’euros, ciblant des secteurs stratégiques américains. Une escalade économique s’ouvre entre deux blocs majeurs, sur fond de tensions politiques et de fragilité des échanges mondiaux.
Bruxelles retient son souffle. À l’approche du 1ᵉʳ août, le différend commercial avec Washington glisse vers l’affrontement stratégique. Face à la menace d’une surtaxe de 30 % sur les importations européennes, Paris et Berlin exigent une riposte ferme. Leur objectif : pousser l’UE à activer, pour la première fois, l’instrument anti-coercition.
Quand l’Assemblée tricote du bitcoin pour recycler l’électricité de trop, les centrales sourient, les mineurs s’activent… et l’or numérique devient soudain plus français qu’une baguette sous le bras.
L’Europe ne lâche rien. Après MiCA, les entreprises crypto doivent affronter une nouvelle vague réglementaire pilotée par l’Autorité européenne de lutte contre le blanchiment d’argent (AMLA). Portefeuilles anonymes interdits, accès direct aux données, contrôles transfrontaliers… Bruxelles affiche clairement sa volonté d’aller plus loin. Le secteur est-il prêt à encaisser ce nouveau choc ?
Vienne, 10 juillet 2025 – La conférence de presse d’aujourd’hui marque la présentation officielle de Bybit EU aux médias autrichiens et européens. Avec son siège européen désormais opérationnel à Vienne et une licence MiCAR complète délivrée par l’Autorité autrichienne des marchés financiers (FMA), Bybit UE entre…
L’économie risque un séisme commercial : les droits de douane suspendus pourraient entrer en vigueur en août. Les détails ici !
Le débat sur la sortie de l'euro refait surface régulièrement en France. Alors que de nouvelles élections présidentielles auront lieu en 2027, la victoire du Rassemblement National, pourrait aboutir à une sortie de l’euro. Les français pourraient bien en ressortir ruinés !
Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
À l’heure où les tensions commerciales redessinent les rapports de force mondiaux, l’Europe fait face à une menace directe : Washington impose un ultimatum au 9 juillet pour conclure un accord bilatéral. Passé ce délai, des surtaxes pouvant grimper à 70 % s’abattraient sur les exportations européennes dès le 1er août. Dans ce climat sous haute tension, Bruxelles tente d’éviter un choc frontal avec une administration américaine résolue à imposer ses règles. Une négociation express s’engage pour éviter un basculement dans l’affrontement tarifaire.
Tandis que la planète entière retient son souffle face à l’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, l’Union européenne, elle, avance d’un pas décidé. Là où d’autres tergiversent, elle légifère. Face aux géants technologiques et aux gouvernements frileux, Bruxelles n’attend ni consensus mou, ni validation extérieure. Sa stratégie ? Réguler d’abord, innover ensuite. Un pari risqué, peut-être. Mais un pari assumé. Et surtout, un message clair : l’IA ne sera pas la jungle en Europe.
Tandis que les stablecoins gagnent en légitimité, une loi américaine ravive les fractures entre souveraineté monétaire et suprématie du dollar. Avec la GENIUS Act, adoptée par le Sénat, Washington encadre les cryptos adossées au billet vert. Toutefois en Europe, la riposte s’organise. Amundi redoute une déstabilisation mondiale. Derrière ce cadre juridique, se dessine une offensive monétaire aux effets systémiques.
Le responsable des affaires publiques de Bitpanda alerte sur les disparités persistantes dans l’application de la réglementation MiCA à travers l’Europe. Malgré ses promesses d’harmonisation, l’Union européenne peine à instaurer un véritable marché unique des cryptos. MiCA est en marche, certes, mais chaque État membre interprète et applique la loi à sa manière.
Bybit, la deuxième plus grande plateforme d’échange de cryptomonnaies au monde par volume, annonce aujourd’hui le lancement officiel de Bybit.eu, une plateforme dédiée exclusivement aux utilisateurs de l’Espace économique européen (EEE). Exploitée par Bybit EU GmbH, prestataire de services sur crypto-actifs agréé au titre du règlement MiCAR, cette initiative marque une étape majeure dans la mission de Bybit : offrir une plateforme d’échange d’actifs numériques sûre, transparente et pleinement conforme en Europe.
Les cartes crypto rivalisent désormais avec les banques traditionnelles pour les achats quotidiens en Europe. Avec près de la moitié des transactions inférieures à 12 dollars, ces nouveaux outils de paiement transforment les habitudes de consommation. Une révolution silencieuse qui redéfinit l'avenir des paiements européens.
Pendant que Trump fonce tête baissée pour sauver ses stablecoins, l’Europe déroule MiCA et rafle la mise crypto. Et si, pour une fois, la bureaucratie gagnait la course ?
La Cour de justice de l’Union européenne pourrait rejeter l’appel de Google contre une amende de 4,7 milliards de dollars. Ce revers judiciaire n’est pas qu’une affaire d’antitrust : il incarne les tensions croissantes entre les géants technologiques américains et la souveraineté numérique européenne.
Christine Lagarde appelle l'Europe à renforcer son rôle mondial en consolidant le commerce, l'économie et la gouvernance - des mesures qui pourraient également ouvrir de nouvelles portes à la croissance des cryptomonnaies dans toute la région.
L’Europe, jadis pionnière dans la régulation des cryptos, pourrait bientôt n’être qu’un simple couloir traversé par l’innovation sans jamais la retenir. Tandis que les États-Unis et l’Asie multiplient les avancées concrètes, le Vieux Continent s’enlise dans la prudence. Catriona Kellas, responsable juridique chez Franklin Templeton, ne mâche pas ses mots : l’UE risque d’être reléguée au rang de spectatrice, incapable de rivaliser face à la dynamique des grandes puissances concurrentes.
Missiles au Moyen-Orient, marchés en déroute : pendant que l’économie s’enrhume, certains font fortune sur les barils… et d’autres préfèrent fuir en or massif. Devinez qui tire les ficelles ?
Depuis le début de l’année, le dollar s’effondre face à l’euro et aux autres devises majeures. Une dynamique qui semble loin d’être terminée. Les marchés s’ajustent à un contexte géopolitique incertain, alimenté par les décisions économiques de l’administration Trump. Jusqu’où ira la dégringolade du billet vert ?
Pendant que l’Europe tergiverse sur la crypto, SG-FORGE dégaine un stablecoin en dollar : deux blockchains, zéro buzz, mais une offensive qui pourrait bien renverser la table des devises numériques.
MiCA même pas digéré, voilà Bruxelles déjà en train d’aiguiser sa hache contre la DeFi : une crypto-législation de plus pour museler les codes rebelles avant 2026 ?
Les marchés européens vacillent, les investisseurs fuient, et même les entreprises paniquent. Que se cache-t-il derrière ce chaos économique ? Une question brûlante refait surface : L’Europe a-t-elle détruit notre économie ? Découvrez ce que personne n’ose dire.