L’argent migre, silencieux et méthodique. Wall Street, naguère indétrônable, voit son trône vaciller sous les pas précipités des investisseurs, séduits par une Europe qui brille de mille milliards.
L’argent migre, silencieux et méthodique. Wall Street, naguère indétrônable, voit son trône vaciller sous les pas précipités des investisseurs, séduits par une Europe qui brille de mille milliards.
Les tensions entre Washington et Bruxelles prennent un tournant inquiétant. Tandis que le commerce transatlantique représente un marché colossal de 9 500 milliards de dollars, les nouvelles taxes imposées par Donald Trump risquent de bouleverser un équilibre déjà fragile. Une guerre commerciale entre les deux puissances économiques pourrait entraîner une inflation des coûts de production, une baisse drastique des échanges et une instabilité croissante pour les entreprises.
Tesla, jadis star des routes, roule désormais vers l’abîme : en France, patrons outrés et flottes vidées signent l’acte de décès commercial du roi Musk.
Le sommet USA-Ukraine s'est tenu récemment à Riyad et a débouché sur des propositions de trêve plus ambitieuses que prévu. « La balle est désormais dans le camp de la Russie » est devenue l'élément de langage américain sur cette question. Pendant ce temps, l'Europe semble accélérer sa reprise en main militaire dans un contexte géopolitique de plus en plus tendu.
Dans le bras de fer commercial entre les États-Unis et l’Union européenne, un nouvel épisode vient raviver les tensions. En effet, Donald Trump, fidèle à son approche protectionniste, brandit à nouveau la menace des droits de douane massifs, cette fois sur les vins et champagnes européens. L’annonce d’une taxe à 200 % sur ces produits fait suite à la décision de Bruxelles d’augmenter les tarifs douaniers sur le whisky américain à 50 %.
L’UE défend son économie face aux nouvelles sanctions américaines. On vous livre tous les détails dans cet article.
Accusé, scruté, traqué, OKX nie en bloc. Bybit crie au loup, les régulateurs hésitent. La crypto tremble sous l’ombre d’une régulation qui s’affûte.
Les législateurs européens gardent un silence intrigant face à l’ordre exécutif de Donald Trump visant à créer une réserve stratégique de bitcoin aux États-Unis. Alors que cette décision marque un tournant majeur dans la politique monétaire mondiale, l’absence de réaction en Europe soulève des questions : simple indifférence ou riposte en préparation ?
Une bourse européenne en pleine euphorie, des investisseurs aux anges, et Wall Street qui se demande où est passée sa couronne… L’histoire boursière s’écrit-elle désormais à l’européenne ?
Entre Livret A réquisitionné, riches effleurés et budget militaire affamé, Manu jongle : trouver des milliards sans fâcher personne, voilà un art digne du cirque budgétaire français.
Le chiffre a fait tiquer les marchés : l’inflation en zone euro s’est établie à 2,4 % en février, selon Eurostat. Une baisse légère, certes, mais suffisante pour relancer le débat sur les prochains mouvements de la Banque centrale européenne (BCE). Entre optimisme prudent et nuages géopolitiques, l’Euro tangue sur une corde raide. Derrière ces pourcentages se cachent des réalités contrastées : énergie en berne, services tenaces, et une Allemagne qui résiste. Décryptage d’un paysage économique en demi-teinte.
Bruxelles brandit MiCA, Binance s’exécute : neuf stablecoins passent à la guillotine réglementaire. Le marché crypto européen, sous perfusion, assiste à l’enterrement de l’USDT et consorts.
Bourse : rebond spectaculaire des marchés. L’Europe tire son épingle du jeu tandis que Wall Street plonge ! Les détails dans cet article.
L’économie mondiale évolue sous l’effet de tensions commerciales croissantes. Alors que les États-Unis imposent de nouveaux tarifs douaniers, l’Europe se retrouve face à un dilemme stratégique. Entre maintien de ses alliances traditionnelles et diversification de ses partenariats économiques, le continent regarde désormais du côté du BRICS. Cette organisation, autrefois perçue comme un contrepoids au G7, consolide aujourd’hui sa position en tissant des liens plus étroits avec l’Europe. Un glissement qui pourrait redéfinir les rapports de force économiques et politiques à l’échelle internationale.
Les tensions économiques entre les États-Unis et l’Union européenne atteignent un nouveau sommet. Donald Trump, fidèle à sa politique protectionniste, vient d’annoncer une hausse spectaculaire des taxes douanières sur les exportations européennes, portant leur niveau à 25 %. Une décision brutale qui dépasse largement les 10 % évoqués lors de sa campagne et qui place l’Europe dans une situation d’urgence diplomatique et économique. Les grandes puissances du Vieux Continent doivent désormais faire face à une menace qui pourrait redessiner les équilibres commerciaux mondiaux.
Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
Un conseiller de la Banque Centrale Européenne (BCE), Jürgen Schaaf, a récemment réaffirmé la position critique de l’institution à l’égard du bitcoin, déclarant qu’il n’y a « pas de véritable nécessité économique » pour cette cryptomonnaie. Selon Schaaf, contrairement aux réserves stratégiques de matières premières comme le pétrole ou le gaz, le BTC ne présente pas d’utilité économique réelle ni d’usage pertinent.
L’Europe, menacée par la tempête Trump, se trouve sur le fil du rasoir. Laurent Saint-Martin exhorte à l’unité pour contrer l’ombre d’une guerre commerciale destructrice qui se profile.
La Valette, le 18 février 2025 - OKX, entreprise technologique leader mondial de la blockchain, annonce aujourd’hui être parmi les premiers crypto exchanges mondiaux agréé MiCA à pouvoir proposer ses services dans toute l’Europe.
Les économies européennes font face à une réalité inquiétante : une dette publique qui ne cesse de grimper. Alors que la stabilité budgétaire est censée être une priorité pour les gouvernements, plusieurs pays de l’Union européenne affichent désormais des niveaux d’endettement qui dépassent largement les 100 % de leur PIB. Cette situation provoque des interrogations sur les risques macroéconomiques et les conséquences potentielles pour les marchés financiers.
La France traverse une période charnière. D'un côté, la dette publique atteint des sommets historiques, dépassant les 3000 milliards d'euros. De l'autre, une transformation profonde des institutions bouleverse l'équilibre traditionnel de la Ve République.
Bybit, l’un des géants de l’écosystème crypto, vient de marquer un point décisif : son retrait de la liste noire de l’AMF en France. Mais derrière cette victoire se cache un puzzle réglementaire complexe, entre ambitions européennes et défis asiatiques. Un coup de théâtre stratégique qui révèle les nouvelles priorités d’un acteur prêt à tout pour conquérir l’Europe.
Le programme crypto de Donald Trump pourrait avoir des répercussions significatives sur l'accélération du développement de l'Euro numérique, d'après Piero Cipollone, membre de la Banque Centrale Européenne (BCE). Ce dernier exprime l'espoir que le Parlement et le Conseil de l'Union européenne parviennent à finaliser les discussions sur la législation encadrant l'euro numérique d'ici l'été 2025.
Tesla, naguère roi des routes électriques, voit son empire vaciller : l’Europe détourne le regard, Musk dérape, et la concurrence appuie sur l’accélérateur. Le futur est-il sans lui ?
Les relations sino-américaines continuent de se dégrader, poussant la Chine à renforcer ses liens avec l’Union européenne. Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré que Pékin considère l’Europe comme un « partenaire stratégique global et un pilier important et indépendant dans un monde multipolaire ».
La finance traditionnelle et le bitcoin poursuivent leur rapprochement. Après le succès retentissant de son ETF Bitcoin IBIT aux États-Unis, BlackRock, premier gestionnaire d’actifs mondial, s’apprête à franchir une nouvelle étape : le lancement d’un produit négocié en bourse (ETP) Bitcoin en Europe. Ce fonds, qui sera domicilié en Suisse, traduit la volonté croissante des institutions financières de s’implanter durablement sur le marché des cryptos. Alors que les États-Unis ont vu les ETF Bitcoin capturer plus de 57 milliards de dollars d’actifs en quelques mois, ce nouveau produit pourrait modifier le paysage européen. Pourquoi la Suisse plutôt qu’un autre pays ? Quels seront les effets sur les investisseurs et l’adoption institutionnelle du bitcoin en Europe ? Autant de questions qui émergent alors que BlackRock accélère son offensive internationale.
Le déficit enfle, les impôts aussi, mais Bayrou s’obstine. Accroché à son 49.3 comme un naufragé à sa bouée, il défie la tempête politique qui s’annonce.
Les tensions commerciales entre les États-Unis et leurs principaux partenaires refont surface, et ravivent le spectre d’une nouvelle guerre économique. Washington a annoncé une hausse des droits de douane qui visent le Canada, le Mexique et la Chine, une décision qui marque le retour du protectionnisme cher à Donald Trump. Cette offensive tarifaire a aussitôt déclenché des réactions partout, notamment en Europe, où la Commission européenne surveille la situation avec attention. Si l’Union européenne n’est pas encore directement touchée, Bruxelles redoute un élargissement des mesures américaines et prévient qu’elle ne restera pas passive. La Commission a d’ores et déjà exprimé son ferme désaccord avec cette politique et se dit prête à adopter des mesures de rétorsion pour protéger les intérêts économiques du continent. Face à cette nouvelle offensive commerciale des États-Unis, le risque d’une escalade entre les deux blocs ne peut être écarté.
L’UE, toujours prompte à dégainer la paperasse avant l’innovation, fait entrer son AI Act en vigueur ce dimanche : interdictions spectaculaires, transparence imposée, sanctions massives… l’IA n’a qu’à bien se tenir.
L’Europe durcit son cadre réglementaire sur les stablecoins, et Kraken est contraint de s’adapter. En effet, l’exchange a annoncé le retrait de l’USDT et d’autres stablecoins pour les utilisateurs de l’Espace économique européen (EEE) avant le 31 mars, en réponse aux exigences du règlement MiCA. Ce texte impose des critères stricts aux émetteurs de stablecoins et limite leur circulation en Europe. Une telle décision illustre un virage majeur pour le marché crypto européen. Alors que Kraken rejoint la liste des plateformes qui se conforment à cette régulation, les investisseurs doivent désormais choisir entre s’adapter aux nouvelles contraintes ou explorer d’autres solutions. Cette transition pourrait réduire l’accessibilité des stablecoins les plus populaires, mais aussi redistribuer les cartes entre les acteurs du marché.