Le BTC affiche son meilleur début d’année depuis 2013. Il s’est apprécié de 39.5 % au mois de janvier.
Le BTC affiche son meilleur début d’année depuis 2013. Il s’est apprécié de 39.5 % au mois de janvier.
Depuis leur apparition en 2009 avec l’invention du célèbre anonyme Satoshi Nakamoto, les cryptomonnaies séduisent plus d’un. Leur présence dans le circuit financier mondial s’est imposée et plus personne ne peut les ignorer. Même les plus grands banquiers conservateurs qui ne jurent que par la monnaie traditionnelle n’y peuvent plus rien. Contre toute attente, ces nouveaux actifs numériques se sont frayé un chemin jusqu’en Afrique, un continent pourtant réputé moins avancé en matière technologique. Au cours de l'année 2022, un pays africain est allé jusqu'à adopter le bitcoin comme monnaie officielle. Un deuxième au monde. Au cours de la même année, il a été organisé sur le continent l’une des plus grandes rencontres des acteurs de l'écosystème crypto. Face à cette inarrêtable adoption de cryptos par les populations locales, les banques centrales africaines fléchiront-elles ?
Le Nigéria domine désormais les recherches Google pour « Acheter Bitcoin » après que la banque centrale du pays a limité les retraits d’argent à 44 $.
L’amélioration de la scalabilité est l’un des défis majeurs de l’écosystème Bitcoin. Jusqu’ici seule l’approche Lightning Network semble résoudre concrètement les problèmes de scalabilité. En Afrique où le développement de la blockchain Bitcoin et des cryptos est encore embryonnaire, le Lightning Network a encore du chemin à parcourir.
À partir du 1er mars, le Nigeria interdira les retraits en espèces des comptes publics. Le but : booster encore plus la CBDC au Nigeria.
Les experts et analystes de l’industrie des cryptos sont unanimes sur ce point. Il faut une réglementation du marché assurant la protection des investisseurs. Ceci, sans freiner le développement de la nouvelle industrie. Il semble que le Nigeria soit sur le point d’adopter une telle réglementation, pour un marché crypto transparent et équitable.
La CBDC fait un tel bide que la banque centrale du Nigeria veut la populariser par la force. L'un des objectifs affichés est de ralentir l'inflation…
Pour promouvoir l’eNaira, le Nigeria limite les retraits d’espèces à 225 $ auprès des distributeurs automatiques.
Le Nigéria est le premier pays africain à avoir lancé une monnaie numérique de banque centrale. 10 mois après le lancement de ce projet Crypto eNaira, le bilan est plus que satisfaisant. Le Nigéria est sur la bonne voie. Il s’agit effectivement d’un exploit pour la plateforme. Le volume et la valeur des transactions sont « remarquables » comme a su bien le dire Goldwin Emefiele, le gouverneur de la banque centrale du Nigéria.
Malgré l’important revers connu par le marché, l’industrie de la cryptomonnaie depuis le début du second trimestre, dans plusieurs régions du monde, l’enthousiasme pour les jetons cryptographiques est toujours élevé. C’est ce que montre CoinGecko dans une étude publiée il y a quelques jours.
Les cryptomonnaies ont trouvé un soutien majeur en la personne d'un candidat à la présidence nigériane, qui exprime sa confiance dans leur potentiel et rejette l'idée qu'elles pourraient déstabiliser une économie.
La Banque centrale du Nigeria (CBN) a imposé des amendes à quatre banques d’un montant de 800 millions de nairas (1,9 million de dollars) pour avoir supposément donné lieu à des transactions en cryptomonnaies en 2021. Quatre fortes amendes pour des erreurs Standard Bank Group Ltd a été condamné à une amende…