Le géant bancaire américain Citigroup franchit un pas décisif dans l'univers crypto. Après des années d'observation prudente, la banque new-yorkaise s'apprête à proposer des services de garde d'actifs numériques dès 2026. Une annonce qui intervient dans un contexte réglementaire enfin clarifié aux États-Unis.
Les regards sont tournés vers le marché alors que de nombreuses entreprises financières se préparent à entrer en bourse à Wall Street cette semaine. Parmi ces potentiels débutants, la bourse crypto américaine Gemini a augmenté son cours avant son introduction en bourse (IPO) prévue vendredi.
La banque Citigroup, jadis frileuse, veut aujourd’hui garder vos crypto comme on garde des lingots : stablecoins en coffre, ETF dans la poche, et tout ça sous l’œil bienveillant de Washington.
La Réserve fédérale américaine pourrait amorcer une inflexion majeure dès septembre avec une première baisse de ses taux directeurs. Un scénario désormais envisagé par plusieurs grandes banques, dont Goldman Sachs, et qui redessine les perspectives des marchés financiers. Pour les investisseurs crypto, confrontés depuis des mois à un contexte monétaire restrictif, ce pivot attendu pourrait raviver l'appétit pour le risque et servir de catalyseur à un nouveau cycle haussier.
Alors que les États-Unis viennent de franchir un cap décisif en votant à la Chambre plusieurs lois inédites encadrant les stablecoins, les grandes banques américaines affûtent déjà leur stratégie. Bank of America, Citigroup ou encore JPMorgan préparent, en toute discrétion, le lancement de leurs propres stablecoins.
JPMorgan et Citigroup entrent dans l'espace des stablecoins alors que la concurrence finteche s'intensifie et que les législateurs américains avancent avec de nouvelles réglementations cryptographiques sous la loi GENIUS, signalant un changement plus large dans le secteur bancaire traditionnel.
JPMorgan, BoA, Wells Fargo et Citi prévoient des baisses de taux Fed. Découvrez l'impact potentiel sur l'économie américaine.
Les grandes banques US opposées à des exigences de fonds propres plus strictes, craignant un impact négatif sur l'économie.
La blockchain et les cryptos qu’elle implique ont la cote auprès des investisseurs institutionnels. Conséquences : de plus en plus de groupes financiers s’offrent les moyens de les rendre disponibles pour leurs utilisateurs. Citigroup n’est pas en reste de cette dynamique.
Tandis que certains experts évoquent la fin du bear Market, d’autres analystes suggèrent une détérioration potentielle de la situation sur le marché des cryptos. L’heure pourrait ne plus être à la spéculation, mais à la prudence. Bloomberg lance l’avertissement et prévoit une dépréciation du cours du bitcoin (BTC), de l’ether…
Selon l’économiste chinois Huang Yi-ping, la Chine devrait reconsidérer son interdiction des crypto. Il a averti que l’interdiction des activités crypto pourrait conduire la Chine à rater des opportunités dans le développement des technologies numériques. Il exhorte alors le gouvernement à modifier ses réglementations sur la crypto.
La CBDC était bien entendu à l’agenda du Forum économique mondial de Davos. Le gouverneur de la Banque de France est tombé sur un os en la personne de Jane Fraser, CEO de Citi.