Alors que la crypto-sphère est en pleine effervescence à l’issue de l’effondrement de FTX, deux sénateurs américains ont introduit un projet de loi bipartisane dénommé « Digital Asset Anti-Money Laundering Act » (DAAMLA).
Pour 2023, l'Australie prévoit une réglementation crypto plus stricte. La cible principale : les fournisseurs de services crypto.
Ces dernières années, plusieurs entités crypto prometteuses basées au Japon ont dû quitter le pays pour s’installer ailleurs. Elles ont pris cette décision notamment à cause de la taxe de 30 % imposée aux sociétés de cryptos locales. En effet, toute entreprise japonaise émettant des cryptos doit actuellement payer cette taxe, qu’elle ait réalisé des bénéfices ou pas. Mais, le Japon a décidé de revoir sa position, dans sa volonté de promouvoir et de développer la crypto localement.
Dans l’univers Web3, les écosystèmes Ethereum, Solana, Polkadot ou encore Cosmos sont très attractifs pour le développement d’applications Web3. C’est le constat fait par la start-up Bitcoin Bolt Fun, qui s’est donnée pour mission de changer la donne. Pour y arriver, elle encourage les développeurs à regarder du côté du Bitcoin. D’après ses responsables, la première blockchain offre la seule infrastructure décentralisée qui vaille la peine d'être construite.
L'IA est un logiciel informatique capable de réaliser des tâches normalement réservées à l'intelligence humaine. Il existe de nombreuses façons dont l'IA peut créer de l'art imitant le comportement humain.Toutefois, les réactions hostiles sont nombreuses, en particulier du côté des artistes traditionnels et d’une grande partie des professionnels du monde de l’art qui se montrent réticents et condamnent la confusion entre l’art (véritable) et les images issues de l'IA.
Après que le régulateur de Hong Kong a autorisé la cotation des ETF crypto en octobre dernier, CSOP Asset Management est le premier à se lancer. Le gestionnaire d'actifs hongkongais a donc levé 73,6 millions de dollars d'investissements pour une cotation à la Bourse de Hong Kong le 16 décembre.
La crise de confiance provoquée par la faillite de FTX déteint sur Binance. Et pour ne rien arranger, l'exchange de Changpeng Zhao (CZ) vient de se faire lâcher par son cabinet d'audit Mazars.
Ceux qui ont investi dans le stablecoin Gemini Dollars sont dans le trouble après un email révisant les résolutions des litiges de Gemini.
La légitimité des cryptos continue de faire débat et s’il y a des partisans, il y a d’autant plus de critiques. Alors que les grands acteurs du secteur les défendent bec et ongles, d’autres comme Ben Mckenzie ne cachent pas leur scepticisme. Connu comme un fervent critique des actifs numériques, l’acteur donne une fois de plus son opinion sur l’écosystème.
Revolut est une application lancée en 2015 par Nik Storonsky. Au départ, il ne servait qu’au change, mais aujourd’hui, il a une panoplie de fonctions. Revolut permet par exemple d’effectuer des transferts d’argent transfrontaliers ainsi que des réservations de vacances. La fintech s’est lancée dans le secteur crypto en 2017, et depuis, elle souhaite être totalement axée sur cette technologie.