Luc Jose A.

Déjà victime d’un bear market qui semble durablement s’installer, l’industrie crypto était au bord de la rupture. Le marché des USDC a failli plonger ce secteur dans ce qui aurait été l’une des crises les plus spectaculaires de l’écosystème. Ceci, alors que ce dernier se débat encore contre les conséquences du naufrage de certains mastodontes comme FTX. Pourtant, ce qui a provoqué la tourmente des détenteurs d’USDC était, de loin, une cause externe inattendue : le système bancaire. C’est, en effet, à la chute de la Silicon Valley Bank (SVB), que rattachent les déboires récents de l’USDC. Retour dans cet article en trois actes, sur le drame qu’aurait sans doute vécu Circle, sans l’intervention des régulateurs américains.

L’influenceur crypto James Edwards a publié des rapports datant de 2021 sur Twitter, le 20 mars. Il a utilisé ceux-ci pour porter des accusations contre Riccardo Spagni, le fondateur de Monero. Ce dernier a vite réagi pour réfuter les allégations. Voici ce qu’il en est.

La division "Office of Financial Research" du Trésor américain a effectué une étude sur les CBDC et les stablecoins. Pour réaliser l’enquête, les analystes se sont basés sur des mathématiques et des théories économiques avancées. L’étude met en exergue la façon dont les CBDC et les stablecoins pourraient affecter le système bancaire. Voici les conclusions de cette enquête publiée le 22 mars.

Le National Bureau of Economic Research (NBER) est un organisme privé américain. Il est connu pour fournir entre autres les dates de début et de fin des récessions. Dans le contexte actuel de crise bancaire, un document publié à la fin de l’année 2020 a refait surface. À l’époque, le NBER avait en effet étudié six des plus grandes banques américaines. Il s’agissait de Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Bank of America, Citigroup et Wells Fargo. Voici ce qui ressort du document de travail qui rend compte de cette étude.

En mai 2022, la compagnie crypto Terraform Labs s’était écroulée, emportant le stablecoin TerraClassicUSD dans sa chute. Dans la foulée de ce naufrage retentissant, 40 milliards de dollars s’étaient évaporés. Depuis, Do Kwon, en fuite, était activement recherché par Interpol.

Au trot depuis le début de l’année, les cours du bitcoin (BTC) sont au galop depuis quelques semaines. L’unité de la crypto phare s’échange actuellement autour de 28 000 dollars. Un cap qu’elle a franchi il y a moins d’une semaine, faisant penser au début d’une tendance haussière soutenue. La question qu’on peut légitimement se poser est de savoir ce qui a rendu une telle hausse possible, en un laps de temps aussi court. Surtout quand on sait que le BTC n’a pas réussi à décoller en 2022. La réponse à cette question tient en partie au rôle de la Réserve fédérale américaine (Fed). Les choix de cette institution ne sont pas sans conséquences sur le marché des cryptos. Des décisions qui, elles-mêmes, influencent les choix des investisseurs.

L'autorité bancaire européenne (ABE) jouera un grand rôle dans le cadre de la réglementation crypto de l'Union européenne. En effet, l’agence de l'UE, qui est basée à Paris, s'occupera de la régulation du marché des stablecoins. Elle veillera également à établir des règles liées à l'octroi de licences. Elle rédigera des projets de règles qui viendront compléter les clauses de MiCA laissées en suspens par les législateurs. L’ABE a décidé de prendre d’ores et déjà les mesures appropriées pour remplir ses futures fonctions.

Les deux plus grandes cryptos par capitalisation boursière suivent une tendance relativement haussière depuis le début de l’année. Plusieurs analystes ont dernièrement déclaré que cette tendance pourrait se poursuivre pour l’ether (ETH) en particulier. Santiment a d’ailleurs suggéré qu’Ethereum avait la possibilité de grimper à plus de 2 000 dollars, alors qu’il s’échange autour de 1 800 dollars actuellement. Mais, pour l'analyste Benjamin Cowen, il ne faut pas s’attendre de sitôt à une hausse significative du prix de l’ETH

La crypto OKB est le jeton utilitaire de l’exchange OKEx. Ceux qui en détiennent dans leur portefeuille d’actifs l’utilisent, entre autres, comme moyen de règlement des opérations sur la plateforme.

NYM est un projet qui vise à protéger la vie privée des utilisateurs en utilisant des technologies de mixnet. Dans cette interview, nous avons discuté avec le responsable de NYM, de la position du projet en matière de confidentialité et de vie privée, des liens entre le projet NYM et les travaux initiés par les cypherpunks et des missions de NYM. Il nous a également donné un aperçu de la manière dont NYM fonctionne pour protéger les utilisateurs contre les menaces à la vie privée. Cette interview est l’occasion pour nous de comprendre le fonctionnement et les objectifs de NYM dans l’effort pour la protection de la vie privée des utilisateurs.

La blockchain et ses applications sont à la base de la stratégie de croissance de Mastercard. L’entreprise financière travaille, depuis quelques semaines, à étendre ses services aux cryptos. Le but étant de conquérir de nouveaux marchés.

L’écroulement inattendu de la Silicon Valley Bank (SVB) a provoqué un séisme sur les marchés financiers et boursiers. Dans ce contexte, les régulateurs sont rapidement intervenus pour essayer de contenir la vague. Les choses se seraient peut-être passées différemment s’ils avaient été moins frileux.

Raoul Pal, le PDG de Real Vision, a été interviewé par Anthony Pompliano sur YouTube. C’était pour lui l’occasion de mettre à jour ses perspectives sur la crypto phare. Pal a alors prédit un rallye pour le bitcoin (BTC).