Diplômé de Sciences Po Toulouse et titulaire d'une certification consultant blockchain délivrée par Alyra, j'ai rejoint l'aventure Cointribune en 2019. Convaincu du potentiel de la blockchain pour transformer de nombreux secteurs de l'économie, j'ai pris l'engagement de sensibiliser et d'informer le grand public sur cet écosystème en constante évolution. Mon objectif est de permettre à chacun de mieux comprendre la blockchain et de saisir les opportunités qu'elle offre. Je m'efforce chaque jour de fournir une analyse objective de l'actualité, de décrypter les tendances du marché, de relayer les dernières innovations technologiques et de mettre en perspective les enjeux économiques et sociétaux de cette révolution en marche.
L’intelligence artificielle (IA) connaît un développement fulgurant depuis quelques mois. Bien que perçu par plusieurs comme une menace, le potentiel de cette dernière reste considérable pour presque tous les secteurs. La blockchain et les cryptos n’y échappent pas.
Investir dans les cryptos est un risque : celui de perdre ses actifs en raison de la volatilité de leurs prix. Pour autant, une récente étude démontre que nombre d’utilisateurs tendent à prendre ce risque. Particulièrement lorsque des leviers psychologiques comme la peur de louper une opportunité (FOMO), et l’influence déterminent leur décision.
Le Bhoutan, pays enclavé de l’Himalaya, à cheval entre la Chine et l’Inde, fait encore parler de lui. Selon des informations qui ont fuité récemment, l’État aurait investi près de 3 milliards de dollars dans les cryptos. Malgré une certaine opacité, on en sait un peu plus sur les activités cryptos du pays.
Le bitcoin est la crypto phare de l’écosystème crypto, ce n’est pas un secret. La notoriété de l’actif tient non seulement à sa valorisation, mais également à son ancienneté. Dans un contexte financier de plus en plus favorable à son développement, le BTC pourrait gagner davantage de galons.
Billy Markus, connu sur Twitter sous le nom de Shibetoshi Nakamoto, a créé Dogecoin (DOGE) il y a 10 ans. Mais, aujourd’hui, il ne souhaite plus être associé à cet actif numérique avec lequel il dit ne plus rien à voir. De plus, dans un récent fil de discussion, il s’est montré intraitable avec le secteur crypto. Découvrez les déclarations de Billy Markus.
Il avait été révélé que SBF aurait corrompu les législateurs américains en faisant des dons pour leurs campagnes. L’ancien PDG de FTX a nié de telles accusations, mais les faits portent à croire qu’elles sont vraies. Cela dit, le représentant démocrate Brad Sherman a récemment évoqué l’affaire de corruption. C’était lors d’une audition qui a eu lieu jeudi après-midi au Rayburn House Office Building sur la réglementation des cryptos. L’audition a été organisée par une sous-commission de la Chambre des représentants. À cette occasion, Sherman a insinué que SBF exerce toujours une certaine influence sur le Congrès.
Apparemment, même les détenteurs de bitcoin (BTC) peuvent se faire avoir, tant les fraudes sont omniprésentes sur le marché crypto. Plusieurs des acteurs qui orchestrent ces arnaques massives naviguent paisiblement dans ce secteur… Jusqu’à ce qu’ils se fassent prendre. Cornelius Steynberg, le patron d’une firme sud-africaine, peut désormais en témoigner.
La récente crise bancaire a emporté trois des banques les plus favorables aux cryptos aux États-Unis. Il s’agit de Silvergate, Signature et Silicon Valley Bank. Dans la même période, First Republic Bank, une banque classique, était aussi en crise. Mais contrairement aux trois autres, elle n’a pas sombré. Pour le patron de Gemeni, c’est tout sauf un hasard.
Ces derniers mois, la situation de l’industrie crypto américaine s’est complexifiée. Il y a d’abord, le marché baissier qui imposait son diktat. Par la suite, la récente crise bancaire et l’absence de réglementation en ont rajouté une couche. Le cocktail est parfait pour pousser les investisseurs vers la sortie. À moins que le tir ne soit rectifié.
L’Argentine connaît des circonstances économiques et monétaires difficiles. Dans ce contexte, les actifs cryptos s’étaient proposés en alternatives. Ceci, avant une politique financière ouvertement hostile à l’utilisation des cryptos. Malgré tout, ces dernières restent très prisées dans le pays.
Révolution technologique majeure du 21e siècle, la technologie blockchain devient un enjeu majeur pour le progrès. Plusieurs études ont démontré l'utilité de la blockchain pour résoudre des problèmes jusqu’ici endémiques. Ceci, dans presque tous les secteurs économiques et sociaux, dont l’éducation. Parallèlement, une panoplie de rapports pointe du doigt des tares qui nécessitent que le système éducatif se réinvente. Comment la technologie blockchain peut-elle aider à cela ? Entre limitation de cas de fraudes et optimisation de l’administration académique, entre autres, les possibilités ne manquent pas. Voyons-en quelques-unes à travers ces lignes.
Dans l’écosystème crypto, les attaques sont légion. Les hackers rivalisent d’ingéniosité pour en créer de nouvelles avec pour seul but de spolier les utilisateurs de leurs avoirs. Connaître leur modus operandi permet d’éviter de se faire avoir.
Lens est un protocole permettant aux utilisateurs de former un ensemble numérique de connexions entre eux. Les connexions établies sur une application Lens peuvent être transférées vers toute autre application basée sur le protocole. Le protocole, qui est basé sur le réseau Polygon, solution de couche 2 d’Ethereum, gère 17 applications de médias sociaux. Cela dit, Lens a dernièrement décidé de lancer une solution de couche 3 en vue de devenir un protocole plus évolutif. Découvrez la nouvelle plateforme Optimistic L3 de Lens.
Le dollar américain est menacé de perdre sa domination dans le commerce international. La question agite l’opinion publique américaine depuis quelques semaines. Certains sont plus conscients du risque que d’autres. S’il devait se concrétiser, c’est tout le système économique mondial qui s’effondrerait.
L’Internal Revenue Service (IRS) a précédemment lancé une enquête visant à identifier les utilisateurs de Kraken sous-déclarant leurs obligations fiscales. Pour ce faire, l’agence a déposé en février une demande pour exécuter une assignation auprès de l’exchange. Elle souhaitait obtenir des données sur les comptes Kraken ayant effectué au moins 20 000 dollars de transactions en cryptos. Il s’agit des opérations ayant eu lieu au cours d’une seule année entre 2016 et 2020. Cela dit, Kraken voit d’un mauvais œil l’action de l’IRS. Voici pourquoi.