Luc Jose A.

Avec une ambition mondiale débridée et une énergie sans égale, Shanghai est décidée à remporter la course mondiale, technologique et économique d'ici 2025. Dans son plan récemment publié par le ministère chinois de l’Industrie et de la technologie de l’information et le Bureau des affaires centrales du cyberespace, la ville peint avec éloquence et élégance son intention de s’imposer comme le leader mondial de la blockchain. Sur le plan géopolitique, c’est une comète. Le dragon chinois semble déterminé à renverser la structure monopolistique qui caractérise le secteur de la blockchain et à prendre de l’avance sur les États-Unis. Précisions.

Pour réussir sur les marchés financiers, les investisseurs doivent faire de bonnes analyses, rester informé des mouvements de prix ou encore suivre leurs portefeuilles. Pour y arriver, ils peuvent recourir à des applications, mais celles-ci ne sont pas toujours fiables et peuvent ne pas être adaptées aux besoins spécifiques de chaque investisseur. L’une des meilleures solutions est de créer son propre outil de suivi de wallet, et Microsoft Excel permet de réaliser facilement cette tâche.

En Corée du Sud, il est désormais possible de se procurer des lingots d’or aussi facilement qu’on pourrait s’acheter des boissons énergétiques. Depuis le mois de septembre 2022, des distributeurs automatiques d’or ont été installés dans les centres commerciaux par l’entreprise GS Retail. Ils sont accessibles en libre-service et sont d’ailleurs très utilisés par les citoyens ! Chose intéressante, la plupart des acheteurs sont des personnes dans la vingtaine et la trentaine. Ce constat remet sur la table le débat de l’accès aux métaux précieux physiques.

Durant le premier semestre de l’année 2023, la Securities and Exchange Commission (SEC) a entamé une série de poursuites judiciaires contre les acteurs de l’industrie crypto. Ainsi, après Coinbase et Binance, c’est au tour des entités Hex, PulseChain et Pulse X d’être dans le collimateur du gendarme financier américain. Richard Heart, fondateur de Hex, PulseChain et Pulse X se retrouve au cœur d'une série d'accusations. En effet, la SEC lui reproche de s’être illicitement enrichi via ces entités en procédant à des offres non enregistrées de titres de cryptoactifs. Au total, il aurait détourné au moins 12 millions de dollars du produit de ces offres !

En Suisse, il existe désormais une ville où vous pouvez vivre et mener vos activités quotidiennes en utilisant uniquement des bitcoins. Son nom ? Lugano, l’un des fleurons de l’économie et des finances du pays. À travers son initiative « Plan ₿ », cette ville compte désormais faciliter la vie aux détenteurs de cryptomonnaies en général, et de bitcoin en particulier. Plusieurs entreprises locales, dont le géant McDonald, acceptent désormais les paiements en bitcoins. Et devinez quoi, la commune de Lugano ne compte pas s’en arrêter là…

Elon Musk a récemment surpris la toile en rebaptisant son réseau social Twitter en X. Les réactions n’ont pas tardé après ce changement plutôt inattendu. Chaque internaute y est allé de son commentaire. Le changement de nom opéré par l’entrepreneur américain a également eu des répercussions sur le secteur des cryptos. L’occasion fait le larron dit-on, et certains ont visiblement profité de l’aubaine pour lancer des cryptos portant le nouveau nom du réseau social.

La SEC n’en finit pas avec ses mesures hostiles vis-à-vis des compagnies cryptos. En témoigne la récente déclaration polémique d'un de ses cadres.

Bitcoin (BTC) : l’allusion positive de Margot Robbie, l’actrice du film Barbie

Bitfinex, une plateforme crypto populaire, s’était fait pirater en 2016. Un hacking à la suite duquel 72 millions $ de bitcoins se sont volatilisés, mettant la société dans la tourmente. Cette dernière a réussi à rembourser ses investisseurs. Mais l’auteur de cette attaque était jusqu’ici un mystère.

Les protocoles de staking liquide représentent une innovation majeure dans le domaine de cryptos. Ils autorisent les investisseurs à engager leurs actifs dans le staking, tout en conservant la liquidité nécessaire pour effectuer des transactions ou d'autres opérations financières. Par rapport au staking traditionnel, cette approche apporte une flexibilité accrue, ouvrant de nouvelles opportunités et avantages pour les participants au marché

Comment comprendre l’approche actuelle du Japon vis-à-vis du secteur évolutif des cryptos ? L’essentiel de la réponse à cette question se trouve dans l’histoire technologique, mais aussi culturelle du pays. En effet, quand on pense à l’écosystème crypto japonais, on pense à Satoshi Nakatomo présumé fondateur du Bitcoin. On se rappelle que le pays est incontestablement l’un des premiers à avoir très tôt adopté l’industrie crypto. D’abord, les activités de mining crypto. Ensuite, en devenant un hub pour les opérations cryptos à travers le globe. Une hégémonie notamment portée par des plateformes comme Mt. Gox qui s’effondra en 2014. Depuis, la donne a changé pour l’industrie crypto japonaise, les autorités ayant fait de la réglementation leur priorité.

Avec plus de 40 % de la population mondiale et près de 26 % de l’économie mondiale, les BRICS s’affirment de plus en plus comme une puissance émergente au point de concurrencer les grands groupes comme le G7. Ce regroupement de pays émergents a le vent en poupe et enregistre de nombreuses demandes d’adhésion. Ces demandes risquent de ne pas être acceptées de sitôt, car le Brésil serait contre l’expansion du groupe, selon certaines sources.

La compagnie aérienne Etihad Airways, comme plusieurs autres axées sur la technologie, dédie des fonds importants au marché Web 3.0. Il y a un peu plus d’un an, l’entreprise émiratie avait notamment lancé EY-ZERO1, sa toute première collection de NFT.