James Murphy poursuit le gouvernement américain dans le cadre d'une plainte FOIA, espérant obtenir des documents concernant l’identité de Satoshi Nakamoto, après des révélations d'un agent du DHS sur une rencontre en 2019.
Un documentaire fouille sous le masque de Nakamoto : Satoshi démasqué ou simple coup de pub ? Le mystère continue.
Tout est bien qui finit bien. La justice britannique a jugé que Craig Wright n’est pas Satoshi Nakamoto, l’inventeur du bitcoin.
Dans le cadre du procès qu’il fait à la COPA, le prétendu père du bitcoin s’était décrédibilisé en modifiant volontairement le contenu du livre blanc sur le bitcoin. Alors que ce procès très suivi par la communauté crypto tire à sa fin, Craig Wright pourrait voir rouge alors que la COPA compte contre-attaquer.
L’univers du Bitcoin n’a jamais été avare en rebondissements. Cette fois-ci, c’est le procès très médiatisé de Craig Wright qui fait la une. Wright, qui se proclame l’inventeur du Bitcoin, vient de remporter une victoire juridique majeure. Un verdict qui met fin à un feuilleton judiciaire L’annonce a retenti comme…
Gavin Andresen change d’avis comme il change de costume : un jour il fustige Craig Wright et un autre il le soutient.
Wright, l'homme qui a longtemps revendiqué la paternité de Bitcoin, vient de perdre une bataille judiciaire cruciale. Ce jugement a illuminé les zones d'ombre de sa prétendue invention. Élevé au rang de mythe, Wright a essuyé une défaite contre Peter McCormack. En 2019, McCormack avait mis en cause sa légitimité d'inventeur de Bitcoin dans une série de tweets incendiaires.
L’identité de créateur du Bitcoin est l’un des sujets les plus controversés de l’industrie crypto. C’est l'un des mystères les plus savamment entretenus depuis le lancement de la blockchain en 2008. On sait que ce dernier était l’œuvre d’un certain Satoshi Nakamoto. Mais personne ne connaît celui qui se cache sous ce nom. Sauf un certain Craig Steven Wright qui s’en revendique.
En août 2022, Craig Wright a posté des messages sur un canal Slack. Ces derniers évoquaient son procès contre le journaliste Peter McCormack. Il s’agissait du contenu du jugement qui avait été envoyé aux avocats de Wright quelques heures plus tôt. La publication du créateur autoproclamé de Bitcoin a été interprétée comme une intention de divulguer le contenu d’un jugement. Pourtant, au Royaume-Uni, un tel acte est considéré comme un outrage au tribunal. Aussi, il peut entrainer une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans. Cela dit, après plusieurs mois d’enquête, le tribunal a rendu son verdict ce mercredi lors d’une audience.
Dans l’industrie crypto, les points de vue sur les tokens sont divers et variés. Pendant que certains adulent l’efficacité de certains projets comme celui de Cardano (qui vient de faire l’objet d’une mise à jour importante), d’autres estiment qu’ils ne méritent aucune reconnaissance. C’est le cas de Leigh Drogen, associé général et directeur de l'information chez Starkiller Capital, un gestionnaire d'actifs dans le domaine des actifs numériques. L’analyste n’a pas non plus été clément avec le XRP de Ripple. Décryptage.
Depuis qu’il s’autoproclame Satoshi Nakamoto, Craig Wright a intenté des procès contre beaucoup de personnes. Il a notamment porté plainte contre ceux qui ont publiquement affirmé qu’il n’est pas le créateur de Bitcoin. Le dernier procès en date sur l’affaire Wright a eu lieu au Royaume-Uni. Il porte sur le droit d’auteur qu’aurait potentiellement Wright sur Bitcoin. Découvrez la décision du tribunal britannique rendue ce mardi.
Craig Wright est un informaticien qui s’est fait davantage connaitre par la communauté crypto en affirmant être Satoshi Nakamoto. Jusqu’ici, il n’a pas hésité à intenter un procès à ceux qui ont publiquement contesté son affirmation. L’année passée, il a porté plainte contre 16 développeurs de Bitcoin. À présent, il apparait que le procès aura bientôt lieu.
Dans un article partagé sur Substack le 13 décembre, Martin Shkreli a démontré que Satoshi Nakamoto n’est autre que Paul Le Roux.
Escroc, misérable épi de maïs… Autant de mots forts relevés dans une énième accusation de fraude contre le prétendu créateur de Bitcoin !
Le juge norvégien Helen a rendu son verdict dans le procès opposant Hodlonaut (le plaintif) à l’usurpateur Craig Wright, aka « faketoshi ». #FAKETOSHI Hodlonaut soutient que le milliardaire Craig Wright se faisant passer pour Satoshi Nakamoto est un imposteur. Nous n’avons pas lu le verdict long de 26 pages…
La cryptommonnaie Bitcoin Satoshi Vision (BSV) a été créée par Craig Wright qui voulait améliorer l’évolutivité du bitcoin (BTC) et du Bitcoin Cash (BCH). En tant qu’informaticien, Wright, qui a toujours affirmé être Satoshi Nakamoto, considère que le BSV est la version authentique de Bitcoin. Il souhaite que sa crypto devienne une monnaie utilisée partout dans le monde pour les transactions quotidiennes. Récemment, on a découvert une anormalité sur le réseau Bitcoin Satoshi Vision. Voici de quoi il s’agit.
Shift Crypto, société créatrice des hardware wallets Bitbox 01 et 02, est basée en Suisse. Moins connue du grand public que Ledger ou Trezor, nous avons voulu tester les fonctionnalités de ce wallet numérique assez stylé. Comme vous le savez, vos bitcoins (BTC) ne sont pas vraiment les vôtres si…
Craig Wright n’est pas Satoshi, estiment les bitcoiners et quelques grandes personnalités comme CZ de Binance, Peter McCormack ou encore l’influenceur Twitter Hodlonaut. Ne voulant pas perdre la face aussi facilement, Wright a intenté plusieurs procès contre ses détracteurs. Depuis hier, un marathon judiciaire a été lancé à Olso (Norvège), à l'issue duquel la juge Helen Engebrigtsen devra trancher sur l’affaire opposant Hodlonaut au faux Satoshi. Un évènement que suit de près la communauté crypto.
Craig Wright est un personnage très atypique dans le milieu des cryptomonnaies. De son nom complet Craig Steven Wright, cet individu a clamé à plusieurs reprises qu’il était Satoshi Nakamoto, le fondateur de Bitcoin (BTC), sans jamais avoir réussi à prouver ses dires de façon convaincante. En outre,…