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Il y a quinze ans, Bitcoin a introduit le Proof-of-Work (PoW) : les mineurs brûlaient de l’électricité en résolvant des puzzles mathématiques ; le plus rapide gagnait de nouvelles pièces et, par extension, sécurisait le registre. C’était brillant, mais le monde a changé. Les prix de l’énergie augmentent, les régulateurs…

Alors que beaucoup de projets courent après une attention éphémère via des concours rapides, des partenariats d’influenceurs copiés-collés ou des campagnes basées sur le battage médiatique, rares sont ceux qui prennent le temps de bâtir de vraies fondations communautaires durables. C’est là que Qubic casse les codes. Plutôt que de s’appuyer sur des tactiques superficielles, Qubic a conçu un programme ambassadeur structuré, à long terme, un véritable moteur de croissance, de collaboration et d’impact. Il ne s’agit pas seulement d’accumuler des abonnés, mais de donner les moyens aux bâtisseurs, créateurs et leaders de façonner l’avenir de l’IA décentralisée.

Un guide d’introduction simple à lire pour toute personne curieuse de Qubic, de son Useful Proof of Work, et de son Academy on-chain qui transforme les nouveaux venus en contributeurs aguerris.

Les laboratoires de deep learning affichent des modèles à mille milliards de paramètres et des montagnes de GPU, mais chaque nouvelle percée exige toujours plus d’électricité et d’argent. Le projet Aigarth de Qubic pose une question provocante : et si la route vers l’intelligence artificielle générale (AGI) ne passait pas par des data centers toujours plus grands, mais par des millions de CPU ordinaires travaillant ensemble et évoluant par eux-mêmes ?

Tandis que Brasilia veut se la jouer crypto-puissance, la Banque centrale crie au casse-pipe : du bitcoin dans les coffres ou des baffes dans les urnes ?

Tandis qu’Ether (ETH) franchit de nouveaux sommets avec une envolée de plus de 25 % en août, les investisseurs s’interrogent : assiste-t-on à une consolidation durable ou à un simple sursaut avant une correction ? Porté par l’afflux dans les ETF et un climat macroéconomique favorable, l’ETH séduit à nouveau les investisseurs institutionnels. Toutefois, l’histoire tempère l’optimisme. Depuis 2016, chaque rallye d’août a laissé place à un mois de septembre baissier. L’euphorie actuelle marquera-t-elle une rupture ou réactivera-t-elle la mécanique saisonnière du marché ?

La volatilité est de retour sur le bitcoin. Mais malgré quelques hésitations, la tendance de fond haussière reste inébranlable.

Prêts crypto au zénith, volumes traficotés, utilisateurs envolés : entre bulles d'incitation et dette invisible, la DeFi serait-elle devenue une grande banque... sans guichets, ni clients ?

Discrètement, mais sûrement, le bitcoin s’impose dans l’architecture monétaire mondiale. L’actif phare des cryptos vient de franchir un seuil symbolique : sa capitalisation équivaut désormais à près de 1,7 % de la masse monétaire planétaire. Un poids encore limité face aux devises étatiques et aux métaux précieux, mais révélateur d’une tendance profonde : l’ascension d’un actif décentralisé au sein d’un système dominé depuis des décennies par la monnaie fiduciaire et les réserves traditionnelles.

Tandis que l’actif vient de battre son record historique, Arthur Hayes, le fondateur de BitMEX, relance le débat en avançant une prédiction choc : Ethereum pourrait atteindre entre 10 000 et 20 000 dollars d’ici la fin du cycle haussier. Une déclaration qui, dans un climat de forte incertitude monétaire, résonne comme un signal fort pour l’écosystème crypto, entre conviction personnelle, lecture macroéconomique et dynamique de marché bien réelle.

À 37 000 milliards de dollars, l’endettement américain atteint un niveau inédit, nourrissant les doutes sur la solidité du dollar. Tandis que les marchés s’interrogent, le bitcoin grimpe au-delà des 124 000 dollars, entraînant l’ensemble du secteur crypto vers des sommets. Entre inquiétude budgétaire et ruée vers les actifs alternatifs, un basculement semble s’opérer.

Inconnue du grand public mais omniprésente dans les coulisses du pouvoir, Palantir travaille avec gouvernements et multinationales en exploitant la donnée. Valorisée à plus de 400 milliards de dollars après une hausse de 2000 % depuis 2023, elle représente soit l'opportunité d'investissement d'une génération, soit la prochaine bulle speculative prête à éclater.

SharpLink Gaming (SBET), coté au Nasdaq, a adopté une approche unique pour maximiser la valeur pour ses actionnaires grâce à un nouveau programme de rachat d'actions approuvé. Dans un communiqué de vendredi, l'entreprise basée à Minneapolis a présenté des plans qui lui permettraient de racheter jusqu'à 1,5 milliard de dollars d'actions ordinaires afin de renforcer ses avoirs en Ethereum.

Un nouvel outil permettant de vérifier si ses bitcoins sont vulnérables à l'ordinateur quantique vient d'être mis en ligne. Vos BTC sont-ils en sécurité ?

Alors que Jerome Powell surprend tout le monde à Jackson Hole par un ton plus accommodant, le bitcoin et l’Ether retrouvent des sommets symboliques. Les investisseurs, dopés par la perspective d'une baisse des taux dès septembre, se ruent de nouveau sur les actifs risqués. Mais cette euphorie peut-elle durer ?

Ambani, autrefois choyé par Trump, se retrouve grillé à l’huile russe. Quand l’économie indienne titille l’Oncle Sam, ça sent le pétrole chaud et la diplomatie à la friture.

Ce vendredi, sept poids lourds de la gestion d’actifs, dont Grayscale, Bitwise et 21Shares, ont modifié en parallèle leurs dépôts auprès de la SEC dans le cadre de la proposition d’un ETF spot basé sur le XRP. Une telle offensive coordonnée, inédite pour cet actif longtemps en marge du champ institutionnel, reflète une stratégie d’adaptation aux exigences du régulateur américain. Dans un climat réglementaire encore flou, ces démarches marquent un possible tournant pour l’intégration du XRP dans les portefeuilles institutionnels.

Tandis que les marchés traditionnels cherchent un nouveau souffle, Ethereum confirme son rôle central dans l’écosystème financier numérique. Ce vendredi, l’ETH a franchi un seuil historique à 4 880 dollars, dépassant son record de 2021. Ce pic symbolique s’insère dans un rallye global du marché crypto, porté par un ton plus accommodant de la Fed et un regain d’intérêt des investisseurs institutionnels. L’événement marque un tournant stratégique pour Ethereum, désormais perçu non plus comme un simple actif spéculatif, mais comme un pilier des infrastructures financières à venir.

Un haut responsable du ministère de la Justice des États-Unis (DOJ) a suscité de nouveaux débats réglementaires sur la cryptomonnaie après avoir déclaré que le département ne poursuivra pas les développeurs de logiciels blockchain qui n'ont pas d'intentions criminelles. Comme prévu, cette déclaration a déclenché des réactions mitigées dans différents coins de la cryptosphère.

Le projet DeFi soutenu par Trump, World Liberty, a lancé son stablecoin USD1 sur Coinbase, élargissant l'accès au trading et l'adoption sur le marché.

Aave fait sa valise, déménage chez Aptos, réécrit tout son code, vise les gros sous… et promet une DeFi toujours "décentralisée". Les stablecoins n’ont qu’à bien se tenir.

Ce vendredi, le président de la Réserve fédérale pourrait prononcer son dernier grand discours, dans un contexte économique tendu et sous une pression politique sans précédent. Wall Street, la Maison Blanche et l’ensemble des marchés attendent des signaux clairs. Orientation des taux, posture face à l’inflation, indépendance de la Fed : chaque mot comptera, et pourrait peser lourd.

Tandis que le bitcoin capte l’attention médiatique avec ses ETF, Ethereum avance plus discrètement, mais signe une performance supérieure. Selon JPMorgan, cette progression ne doit rien au hasard : afflux record dans les ETF, appétit croissant des entreprises, signaux réglementaires favorables… Autant de leviers concrets qui repositionnent Ethereum non plus comme un suiveur, mais comme un acteur central de la dynamique institutionnelle crypto.

Ce 29 août, 13,8 milliards de dollars d’options Bitcoin arriveront à expiration, une échéance qui pourrait dicter la trajectoire du marché. Le BTC vient de toucher son plus bas en six semaines, attisant les tensions entre acheteurs fragilisés et des vendeurs déterminés à défendre leurs positions. Plus qu’un simple rendez-vous technique, cet affrontement sur les dérivés cristallise l’incertitude entourant l’avenir immédiat du Bitcoin.

Pendant que Bitcoin souffle, OKB crame 93 % de sa réserve, grimpe au ciel, frôle la crise de foie… et construit en douce son royaume sur X Layer.

La cybersécurité mondiale fait face à un défi inédit : les organisations doivent simultanément se conformer à NIS2, préparer la migration post-quantique (échéances NIST 2030-2035) et implémenter un zéro-trust réellement opérationnel. Cette convergence de contraintes crée une fenêtre d'opportunité unique pour les solutions qui résolvent plusieurs problèmes à la fois.

Le marché des cryptomonnaies montre des signes de changement alors que les altcoins leaders enregistrent des gains plus forts que le bitcoin. Le bitcoin a bien progressé jusqu'à présent cette année, atteignant même 124 000$ à la mi-août. Cependant, ces derniers jours, il a commencé à baisser tandis que plusieurs grandes monnaies alternatives ont continué à monter. Cela soulève des questions quant à l'éventuelle arrivée de la très attendue "saison des altcoins".

Le gouverneur de la Réserve fédérale Christopher Waller a encouragé les personnalités clés du secteur financier américain à aborder la DeFi et les stablecoins sans crainte. Waller estime que le secteur de la crypto est là pour durer et continuera de stimuler les avancées dans le système de paiements américain.