Histoire du Bitcoin

Le 3 janvier dernier, le réseau Bitcoin a soufflé sa 15ᵉ bougie d’anniversaire, et célébré la création des tout premiers bitcoins. Le 3 janvier 2009 est en effet une date à marquer d’une pierre blanche dans l'Histoire de Bitcoin. De la même couleur que le livre blanc publié par le pseudonyme Satoshi Nakamoto, toujours inconnu à ce jour. Depuis cette date et le premier bloc « Genesis », la révolution technologique du transfert de valeur est en marche, mais le monde ne le réalise pas encore complètement. La faute à une résistance organisée qui ne tiendra pas très longtemps face à cette philosophie de décentralisation. Retour sur la cryptomonnaie phare, son origine, ses cycles, sa promesse technologique et les controverses qui ont jalonné son histoire.

Il fait partie de ceux qui ont marqué l'histoire du bitcoin. Mark Karpelès était le PDG de la plateforme d'échange de cryptomonnaies Mt. Gox, autrefois leader du marché, et qui pourtant a fait faillite dans des conditions des plus déplorables. Mais au-delà de cette étiquette sulfureuse, il a également joué un rôle important dans le développement du projet de Satoshi Nakamoto. De « baron du bitcoin » à paria, explorons le parcours atypique de ce geek qui a marqué l’actualité mondiale en 2014.

Satoshi Nakamoto est à l'origine de l'Histoire de Bitcoin, puisqu'il n'est autre que le créateur du bitcoin (BTC), la pionnière des cryptomonnaies. Cette invention a permis de populariser la technologie blockchain, qui est le socle de fonctionnement des cryptoactifs, des NFT, de la finance décentralisée, du Web3, etc. Pourtant, malgré ses réalisations remarquables en matière d’innovation, sa véritable identité reste inconnue.

Le Bitcoin, cette mystérieuse créature numérique, déchaîne les passions. Il y a les pros, les "antis", les maximalistes… Mais au-delà de ces postures, il faut être à la hauteur des implications sociales et philosophiques de Bitcoin. C'est ce qu'a rappelé l'historien Jacques Favier lors du Surfin Bitcoin 2023 à Biarritz, dans un voyage entre certitudes et inquiétudes, le tout avec une pointe d'humour et d'autodérision qui manque parfois à la communauté.

À la fois simple, éclectique et audacieux, le logo du bitcoin (BTC) porte dans ses attributs l'emblème même de la révolution monétaire. Mais que savons-nous vraiment à son sujet ? Que traduit-il ? La reine des cryptomonnaies a-t-elle toujours arboré cette identité visuelle pleine de charisme et de vigueur ? Quelles sont les origines de ce fond orange iconique et de cette couleur blanche ? Autant de questions auxquelles nous apporterons des réponses dans ce billet.

Au cœur de sa démarche, le mouvement Cypherpunk tente de réinventer les régimes sociaux, économiques et politiques en élaborant des réponses technologiques pérennes basées sur la cryptographie.

Szabo est souvent désigné comme étant le véritable Satoshi Nakamoto, et ce pour plusieurs raisons. La première est que Bit Gold et Bitcoin renferment de nombreuses caractéristiques communes.

Développeur expérimenté et militant pour le respect de la vie privée, découvrez qui se cache derrière cette icône de l'industrie des cryptomonnaies.

Personnage emblématique de la communauté crypto, Gavin Andresen est un acteur majeur de l'histoire du bitcoin (BTC). C'est lui qui, après la disparition de Satoshi Nakamoto, a pris les rênes du projet pour en faire ce que nous connaissons aujourd'hui. Cela lui a d'ailleurs valu d'être surnommé « l'homme qui a construit le bitcoin ».  Dans ce billet, nous nous penchons sur le parcours de cette figure de génie qui a contribué grandement à l’essor de la pionnière des cryptomonnaies. Et qui contribue toujours à la structuration et à l’évolution de l’univers crypto à travers le monde.

Le bitcoin est né dans l'un des contextes financiers les plus tumultueux que les États-Unis, voire le monde entier, aient connus. De 2007 à 2009, avec la crise des subprimes, un sentiment de méfiance envers les gouvernements et les banques s'est emparé de la population, l'amenant à remettre en question l'ensemble du système monétaire.