Crypto : quand Hong Kong et Singapour se battent pour l’hégémonie en Asie
Crypto : quand Hong Kong et Singapour se battent pour l’hégémonie en Asie
Hong Kong vise à devenir une plaque tournante du Web3 et des cryptos, et il semble sur le bon chemin. Il faut dire que malgré sa position anti-crypto, la Chine reconnaît que le Web3 pourrait stimuler son économie numérique. Dans ce contexte, il y a des rumeurs selon lesquelles certains fonctionnaires chinois participent aux événements cryptos de Hong Kong. Parallèlement, les banques d’État chinoises offrent désormais des services aux entreprises crypto locales. Pour la directrice de l’organisme de régulation de Hong Kong, il ne manque plus qu’une chose : protéger les investisseurs. Pour ce faire, voici ce que Julia Leung propose.
Les autorités de surveillance financières de Hong Kong accueilleraient une réunion entre les entreprises crypto nationales et les banquiers locaux.
Les autorités de Hong Kong envisagent de faire de ce territoire chinois indépendant, un hub en matière de crypto. Elles ont récemment publié une déclaration de politique générale à ce sujet. Cette dernière n’a pas laissé indifférentes les compagnies cryptos à travers le monde.
En novembre dernier, le ministère des Finances d’Israël avait publié des lignes directrices pour la réglementation des cryptos. Ce mercredi, la Banque centrale du pays a publié une proposition de règles pour la régulation des stablecoins. Elle souhaite ainsi favoriser l’utilisation des tokens liés à la valeur d’autres actifs comme le dollar, tout en les supervisant. Découvrez les clauses de la nouvelle proposition de réglementation crypto d’Israël.
Le gouvernement chinois a annoncé l’interdiction des cryptos à la fin de septembre 2021. Mais, alors que Hong Kong fait part de ses ambitions dans le secteur, Pékin semble le soutenir. En tout cas, le gouvernement chinois n’a pas exprimé son opposition face à ces ambitions. Ceci remet en question sa position concernant les questions relatives aux cryptos en Chine. Que se passe-t-il donc ?
Le come-back avec les cryptos semble loin pour le PCC. Sauf si les contenus de ce rapport sont vrais.
Hong Kong met la barre très haut en espérant récolter 102 millions de dollars américains grâce à l’émission pilote de ses green bonds.
La liste des créanciers de FTX vient d’être publiée. Long de 115 pages, le document révèle de nombreuses entités à qui FTX doit de l’argent sans préciser les montants dus. Passant des bourses de crypto monnaies, aux géants de la tech jusqu’aux entités gouvernementales, Sam Bankman-Fried a bâti un empire tentaculaire.
Dubaï abrite désormais plus de 500 entreprises de cryptomonnaies. La célèbre ville du Moyen-Orient indique qu'elles sont de plus en plus nombreuses à rejoindre son écosystème d'actifs numériques en développement.
Le service de radiodiffusion publique Radio Television Hong Kong (RTHK) a rapporté une importante information ce 9 janvier. Il s’agit d’une déclaration du secrétaire financier de Hong Kong, Paul Chan Mo-po, sur la crypto. Chan s’est exprimé sur les perspectives de Hong Kong dans le domaine, durant un événement organisé par l’incubateur public Cyberport.
Un membre du conseil législatif de Hong Kong propose de transformer une CBDC en stablecoin. Le but : faciliter l’adoption du Web3.
Après que le régulateur de Hong Kong a autorisé la cotation des ETF crypto en octobre dernier, CSOP Asset Management est le premier à se lancer. Le gestionnaire d'actifs hongkongais a donc levé 73,6 millions de dollars d'investissements pour une cotation à la Bourse de Hong Kong le 16 décembre.
À Hong Kong, les régulateurs viennent d'annoncer de nouvelles lignes directrices pour le développement des cryptos, ce qui inclut un accès plus souple aux ETF. La SFC (Securities and Futures Commission), consciente du potentiel du marché, envisage désormais de l’ouvrir à tous les investisseurs : professionnels, institutionnels et particuliers.
En avril, l'Autorité monétaire de Hong Kong (HKMA) a publié un document de travail sur la création d’une CBDC. Le document invitait le public à donner son avis sur les principales questions de politique et de conception relatives à une CBDC de détail (rCBDC). Une crypto qu’elle veut plus libre et moins dépendante de la monnaie officielle. Réunis au sein du projet Aurum, plusieurs experts locaux et organismes internationaux se penchent sur la question. Parmi ceux-ci, on retrouve le centre Centre d'innovation de la Banque des règlements internationaux. L’objectif est de mettre au point une innovation qui garantit les fondamentaux de la crypto.
Il ne faut pas confondre Hong Kong avec la Chine continentale où les cryptomonnaies ne sont pas les bienvenues.
Les experts s’accordent à dire que le Bitcoin (et les cryptomonnaies dans leur globalité) permettrait à Hong Kong de retrouver sa liberté économique. Depuis quelques années, l’autoritarisme chinois prend de plus en plus l’ascendant sur l’administration du port aux Parfums. La liberté économique en pâtit également. Jouer la carte de la finance décentralisée peut aider à contourner le contrôle quasi absolu exercé par la Chine.
On doit à Charlemagne l’avènement du concept de l’école pour tous, ou du moins sa démocratisation. Sacré Charlemagne ! Mais l’émergence du premier campus metaverse reviendra cette fois-ci à une institution, la Hong Kong University of Science and Technologie (HKUST). Ce projet s’insère dans le programme « MetaHKUST ». Une école metaverse à…
Au vu du contexte, Hong Kong a enfin voté une nouvelle législation permettant de réguler le secteur de la cryptographie. De ce fait, les fournisseurs de services cryptographiques pourront obtenir une licence pour opérer dans la ville. Des amendements destinés à réguler l’espace crypto à Hong Kong ont été soumis au Conseil législatif de la région administrative spéciale de Chine.
Au milieu d'un marché NFT turbulent, la blockchain économe en énergie Tezos lance une collection permanente qui cherche à élever les créatifs qui veulent repousser les limites dans l'espace de crypto art.