Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
Quand une ex-ministre s’attaque aux stablecoins, ce n’est pas pour leur logo. Mais peut-on encore parler de monnaie publique quand la crypto s’infiltre partout ? Suivez la piste Lagarde…
Christine Lagarde appelle l'Europe à renforcer son rôle mondial en consolidant le commerce, l'économie et la gouvernance - des mesures qui pourraient également ouvrir de nouvelles portes à la croissance des cryptomonnaies dans toute la région.
Doucement, mais sûrement, le pouvoir prépare les esprits à la fin du cash. Heureusement, il y aura toujours le bitcoin.
Christine Lagarde rêve d’un euro numérique supplantant le dollar dans les réserves de change mondiales. Les États-Unis misent eux sur le bitcoin.
Et si l’euro s’imposait enfin comme référence mondiale ? À Berlin, Christine Lagarde a surpris son auditoire en affirmant que la monnaie unique européenne pourrait remplacer le dollar comme principal pilier des réserves internationales. Derrière cette déclaration audacieuse, la présidente de la BCE esquisse une stratégie claire : doter l’Union européenne des leviers nécessaires pour peser financièrement et géopolitiquement. Ainsi, dans un monde en recomposition, cette ambition redéfinit les rapports de force monétaires et place l’euro au cœur d’un nouvel équilibre global en gestation.
Les monnaies numériques des banques centrales réduiraient à néant toute vie privée, mais peu semblent s’en inquiéter. Heureusement qu'il y aura toujours le bitcoin.
Alors que les États-Unis embrassent le bitcoin, l'Europe s'embourbe en continuant de mettre en avant la dystopique de l'euro numérique.
L’intégration du bitcoin dans les réserves des banques centrales divise profondément les acteurs économiques. D’un côté, certains gouverneurs prônent une diversification des actifs pour adapter les stratégies monétaires à un monde en mutation. De l’autre, la Banque centrale européenne (BCE) campe sur une ligne stricte, et rejette fermement toute légitimité du bitcoin en tant que réserve de valeur. Ce débat vient de prendre une nouvelle dimension après les déclarations de Christine Lagarde. Interrogée lors d’une conférence de presse, la présidente de la BCE a coupé court aux spéculations et affirme que le bitcoin ne répondait à aucun des critères requis pour figurer dans les réserves des banques centrales : « liquides, sûres et sécurisées ». Une prise de position qui contraste avec celle du gouverneur de la Banque nationale tchèque, Aleš Michl, ouvert à l’idée d’explorer de nouvelles classes d’actifs. Cette divergence croissante illustre la fracture entre une approche conservatrice du système financier et une vision plus pragmatique, portée par certains décideurs qui cherchent à anticiper les transformations monétaires à venir.
L’économie européenne traverse une période d’instabilité où les tensions géopolitiques se mêlent à un ralentissement marqué de la croissance. Dans ce contexte incertain, la Banque centrale européenne (BCE) se retrouve confrontée à un défi majeur : concilier la nécessité de contenir l'inflation avec l'urgence de relancer une économie fragilisée. Pour répondre à ces enjeux, l’institution dirigée par Christine Lagarde a annoncé une nouvelle réduction de son taux directeur, abaissé de 25 points de base à 3 %. Cette décision, la troisième de ce type en six mois, reflète une approche graduelle et prudente. Toutefois, ce choix déclenche des critiques. Alors que certains saluent la continuité de cette politique, d’autres pointent du doigt un manque d’audace, et considèrent même que des mesures plus ambitieuses seraient nécessaires pour stimuler la consommation et l’investissement.
La banque centrale européenne a de nouveau abaissé son taux directeur. L'augmentation de la masse monétaire va de nouveau accélérer. De bon augure pour le bitcoin.
La Banque centrale européenne vient d'entamer la baisse des taux. De très bon augure pour le bitcoin.
Les saoudiens et d'autres nations comme l’Indonésie mettent en garde l'Europe contre une saisie des réserves de change russes. Le Bitcoin en embuscade.
L’inflation remonte et réduit grandement la probabilité que le bitcoin puisse bénéficier d’une baisse des taux de la part de la FED ou de la BCE cet été.
La législation a été motivée par les tensions avec la Russie, en réponse à l'invasion de l'Ukraine.
La question du gel des réserves de change russe s’est invitée à la conférence de presse de la BCE. Contrairement aux monnaies fiat, on ne peut pas geler les bitcoins…
Christine Lagarde a tempéré les anticipations vis-à-vis d’une baisse des taux cet été. Le Bitcoin devra attendre.
La banque centrale européenne s’est alignée sur la Fed en mettant fin à la hausse des taux. Pourtant, l’inflation repart déjà à la hausse.
Pour le respect de la vie privée, il faudra instaurer « un seuil de protection de la vie privée » dans les transactions en euro.
La phase d’enquête étant terminée, l’UE passe à une autre étape pour son projet de monnaie numérique de banque centrale (MNBC).
Découvrez comment l’euro numérique non anonyme de la BCE influence le marché crypto, la vie privée et les objectifs européens.
La BCE va-t-elle bientôt cesser de rehausser son taux directeur ? Certains gouverneurs le souhaitent.
Le pendant estival du Forum de Davos se déroulait cette semaine à Tianjing, en Chine. La monnaie numérique de banque centrale fut au cœur des débats.
Contrairement à la Fed, la BCE a de nouveau rehaussé son taux directeur ce jeudi.
Nous assistons à la faillite d’un système monétaire et bancaire à bout de souffle. Les dettes souveraines insoutenables, les politiques monétaires désastreuses et l’inflation incontrôlée expliquent cet écroulement. Le seul moyen, selon les banques centrales, de sauver ce système moribond est de contrôler toutes les transactions monétaires. D’où les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC), ou « Central Bank Digital Currency » (CBDC). Monnaies numériques manipulables par les banques centrales, elles représentent la pierre angulaire d’un futur dystopique. Le contrôle total de leur circulation va impacter notre liberté financière de manière significative. L’enjeu sociétal est énorme, et les réactions futures promettent d’être vives. Analyse de cet échec prévisible d’une forme de servitude, et des alternatives qui ne manqueront pas d’apparaitre pour y échapper.
Christine Lagarde affirme que les banques centrales ne veulent pas programmer les CBDC. Ce seront les banques privées qui s'en chargeront…
Le média Radar a publié ce 28 mars sur Twitter un extrait des déclarations de Christine Lagarde durant une émission. Lors de celle-ci, la présidente de la BCE a fait écho à certains propos de Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE. En effet, Panetta avait déclaré en janvier qu’il est nécessaire de réglementer les cryptos et d’adopter une CBDC. Voici les déclarations de la présidente de la Banque centrale européenne sur le sujet.
Parallèlement à une nouvelle hausse de taux, Christine Lagarde annonce une réduction microscopique de son bilan ainsi que le verdissement de sa planche à bille
En réponse à la chute de FTX, Christine Lagarde réclame une réglementation plus stricte du marché de la crypto : un MiCA II.
Pour Christine Lagarde, « l’inflation est venue de nulle part »… Allons bon.
La BCE a de nouveau rehaussé son taux directeur de 0.75 %, mais le vent semble tourner. Christine Lagarde va-t-elle bientôt ressortir sa planche à billets ?