Cryptoactif

Steve Hanke est un célèbre professeur d'économie appliquée qui travaille à l'université Johns Hopkins. Depuis longtemps, il fait partie des grands détracteurs de la crypto phare. Comme à son habitude, il a récemment critiqué le bitcoin (BTC). Découvrez ce que l’économiste a déclaré ce 26 mars sur Twitter.

Après une année 2022 baissière, les prix ont finalement commencé à remonter sur le marché des cryptomonnaies. Cependant, avec de bons signaux partout, il peut être difficile de comprendre quels tokens méritent votre attention.

La Commodities and Futures Trading Commission a récemment accusé Binance de solliciter et d’accepter des ordres de particuliers aux États-Unis. Le régulateur américain a également affirmé que l’exchange crypto s’était volontairement soustrait à la réglementation. Il soutient que l’entreprise de CZ n’avait pas imposé de vérification d’identité. Pire, elle aurait donné des instructions à ses clients sur la manière d’éviter les contrôles de conformité. Ce 27 mars, Binance a réagi de manière implicite aux accusations de la CFTC, qu’il trouve « inattendues ».

Malgré une période dans l’ensemble grisante pour l’industrie crypto, le soutien financier des compagnies naissantes de ce secteur n’a pas baissé. Une dynamique qui confirme le potentiel du secteur des cryptos, en dépit de nombreux défis.

Après plusieurs mois de cavale, le patron de la compagnie crypto Terraforms Labs a été interpellé au Monténégro. On en sait un peu plus sur les activités clandestines qu’il a menées depuis sa cachette.

Il y a un an, Automata Group Ltd, qui a été créé à Londres en 2017, a lancé AKT.IO, une application mobile. Le produit a été développé avec des équipes de R&D qui opèrent en France, à Sophia Antipolis. Toutefois, il est commercialisé et distribué depuis l’Irlande et l’Italie. Cointribune a eu l’opportunité de s’entretenir avec les fondateurs du groupe AUTOMATA lors de la Paris Blockchain Week en exclusivité. C'est parti.

La crise bancaire aux États-Unis prend de plus en plus de l’ampleur et affecte le monde entier. L’agent de change américain Peter Schiff, qui est un cryptosceptique, a récemment fait des commentaires sur le sujet. Il a indiqué le 23 mars sur Twitter que la crise financière actuelle constitue une suite de celle de 2008. Il a déploré le fait que la plupart des investisseurs n’en soient pas conscients. Toutefois, il estime que les investisseurs en bitcoin (BTC) ont de l’avance sur les autres concernant ce point.

Depuis quelques années, l’adoption des cryptomonnaies est en pleine croissance au Venezuela. Malgré les effets positifs du marché crypto dans le pays, le secteur a amplifié la corruption. Une récente enquête a révélé des actes de corruption de la part de certains membres du gouvernement et de la compagnie pétrolière nationale. 

Tim Draper est un fervent partisan des cryptos et du bitcoin. Encore plus maintenant que ce dernier semble s’inscrire dans une tendance haussière soutenue.

Avec le retour en grâce du bitcoin depuis quelques semaines, les projections sur les cours de l’actif n’en finissent plus. Des prévisions souvent contradictoires qui témoignent néanmoins de l’optimisme que la crypto phare inspire en ce moment.

Depuis plusieurs semaines, les régulateurs américains mènent la vie dure aux firmes cryptos. Plusieurs des mastodontes du secteur ont déjà ouvertement critiqué cette dynamique en appelant les régulateurs à changer de fusil d’épaule. Jusqu’ici, la pilule ne passe pas auprès de ces derniers.

Au cours des dernières années, les États explorent un à un la monnaie numérique de banque centrale ou la CBDC. Aujourd’hui, c’est au tour des Emirats arabes unis de se lancer. Ils ont dévoilé la stratégie de la CBDC dont la première phase sera achevée d’ici la moitié de 2024. La première phase comprend trois piliers majeurs, selon l’annonce.

Bien que le bitcoin (BTC) soit encore baissier malgré ses récentes hausses, la donne pourrait changer dans les prochaines semaines. La crypto phare a de plus en plus la cote. Une popularité sans cesse grandissante dans les circonstances bancaires actuelles.

Dans un thread tweet récent, le PDG de Circle, Jeremy Allaire, a exprimé son inquiétude quant aux risques réglementaires pour le marché crypto et leur impact potentiel sur le dollar américain. Allaire a appelé à une politique claire, cohérente et pragmatique pour aider les États-Unis à maintenir leur position de leader dans l'espace technologique de la blockchain.

Avec la crise bancaire, le bitcoin (BTC) a retrouvé de l’allant. Ses cours ont augmenté de près de 40 % en quelques jours. La crypto phare semble profiter de circonstances censées lui être défavorables. Et cette tendance pourrait se maintenir selon certains analystes.

Déjà victime d’un bear market qui semble durablement s’installer, l’industrie crypto était au bord de la rupture. Le marché des USDC a failli plonger ce secteur dans ce qui aurait été l’une des crises les plus spectaculaires de l’écosystème. Ceci, alors que ce dernier se débat encore contre les conséquences du naufrage de certains mastodontes comme FTX. Pourtant, ce qui a provoqué la tourmente des détenteurs d’USDC était, de loin, une cause externe inattendue : le système bancaire. C’est, en effet, à la chute de la Silicon Valley Bank (SVB), que rattachent les déboires récents de l’USDC. Retour dans cet article en trois actes, sur le drame qu’aurait sans doute vécu Circle, sans l’intervention des régulateurs américains.

L’effondrement des banques Silvergate, Silicon Valley et Signature a provoqué une crise qui continue de sévir aux États-Unis. Pour certains analystes, cette crise bancaire, bien qu’elle soit déplorable, pourrait avantager le secteur crypto. JPMorgan a justement publié un rapport qui explique comment la crise actuelle pourrait représenter une opportunité pour certains exchanges crypto.

Les décideurs politiques de l’UE ont précédemment présenté un projet de loi concernant les paiements commerciaux. Ils ont ensuite revu le projet, ajoutant des changements majeurs. L’un de ces derniers était une restriction sur le montant que les utilisateurs peuvent transférer. Celui-ci a été limité à 1 000 euros, à moins que l’utilisateur passe par un fournisseur de services crypto agréé par l’UE. Cette formulation du projet de loi a suscité une vive réaction au sein de la cryptosphère européenne. La communauté a indiqué qu’elle avait le sentiment qu’une telle loi empêcherait l’innovation dans le domaine de la finance numérique. Elle a aussi mentionné un manque d’harmonie par rapport à la voie réglementaire que d’autres projets de loi ont tracée. Sous pression, le Parlement européen a décidé de revenir à la formulation originale du projet de loi.

Le Salvador a été le premier pays au monde à adopter le bitcoin (BTC) comme monnaie légale. Aussi, cela s’est fait à travers une loi promulguée le 5 juin 2021. Malgré les craintes formulées par de nombreux spécialistes des finances, le pays est resté sur sa position. Récemment, le président salvadorien a révélé que l’adoption de la crypto phare avait eu des conséquences positives sur son pays. À présent, il se fixe comme objectif de faire du Salvador un centre technologique et un hub crypto. Pour atteindre son but, Nayib Bukele veut introduire une nouvelle loi.

Le dossier Celsius évolue. Les utilisateurs de la plateforme de prêt de cryptomonnaies pourraient finalement récupérer une partie de leur investissement. En effet, le juge des faillites en charge du dossier a approuvé un plan de règlement qui prévoit un remboursement de 72,5 % de fonds des investisseurs lésés. 

En mai 2022, la cryptosphère a été ébranlée par l’effondrement spectaculaire de l’écosystème Terra. Dans sa chute, l’entreprise crypto Terraform Labs a emporté avec elle 40 milliards de dollars de fonds de milliers d’investisseurs. Très vite, Do Kwon, le fondateur de la compagnie, s’est retrouvé en fuite. Ce n’est que tout récemment qu’il a été arrêté par les autorités monténégrines. À présent, ces dernières portent de graves accusations contre lui.

Le metaverse dépend de plus en plus des cryptomonnaies pour financer les mondes virtuels et soutenir les ventes de terrains virtuels. De nombreux fournisseurs de metaverses ont désormais leur propre monnaie pour soutenir le développement de leurs mondes numériques sur la technologie blockchain.

L’influenceur crypto James Edwards a publié des rapports datant de 2021 sur Twitter, le 20 mars. Il a utilisé ceux-ci pour porter des accusations contre Riccardo Spagni, le fondateur de Monero. Ce dernier a vite réagi pour réfuter les allégations. Voici ce qu’il en est.

Les investisseurs crypto intelligents qui cherchent à réaliser des gains importants en 2023 sont souvent attirés par les nouveaux projets crypto, car ils présentent les meilleures possibilités de trouver de nouveaux coins à des prix très bas. Même si un certain risque est associé, puisque les projets ne sont pas toujours couronnés de succès, le rapport bénéfice/risque est généralement en faveur de l'investisseur.

Le marché des cryptos continue de mener une bataille farouche pour triompher de la crise financière. Alors que certains tokens succombent à cette crise, le BTC se maintient à une valeur relativement élevée. En plus, la crypto phare surpasse près de la totalité des 500 principales entreprises du S&P 500, cette année. C’est ce qu’ont indiqué les données de CryptoManiaks, une plateforme d'éducation crypto, ce 22 mars.

La division "Office of Financial Research" du Trésor américain a effectué une étude sur les CBDC et les stablecoins. Pour réaliser l’enquête, les analystes se sont basés sur des mathématiques et des théories économiques avancées. L’étude met en exergue la façon dont les CBDC et les stablecoins pourraient affecter le système bancaire. Voici les conclusions de cette enquête publiée le 22 mars.

Le National Bureau of Economic Research (NBER) est un organisme privé américain. Il est connu pour fournir entre autres les dates de début et de fin des récessions. Dans le contexte actuel de crise bancaire, un document publié à la fin de l’année 2020 a refait surface. À l’époque, le NBER avait en effet étudié six des plus grandes banques américaines. Il s’agissait de Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Bank of America, Citigroup et Wells Fargo. Voici ce qui ressort du document de travail qui rend compte de cette étude.

Huit célébrités, dont Lindsay Lohan, Jake Paul, Soulja Boy, Kendra Lust, Ne-Yo, Lil Yachty, Akon et Austin Mahone, ont été inculpées par la Securities and Exchange Commission (SEC) pour avoir promu les crypto-monnaies associées la Tron Foundation Limited, BitTorrent Foundation Ltd. et la Rainberry Inc, des sociétés associées à Justin Sun.