Le yen s’écroule face au bitcoin qui s’apprécie de plus de 150 % sur l’année passée.
Le yen s’écroule face au bitcoin qui s’apprécie de plus de 150 % sur l’année passée.
On sait jusqu’ici que de nombreux pays ont demandé à intégrer les BRICS. Parmi eux, plusieurs pays africains, mais pas seulement. On dénombre aussi nombre d'États du Moyen-Orient. Mais aux dernières nouvelles, au moins cinq pays d’Asie à savoir le Japon, l’Indonésie, le Bangladesh, la Thaïlande et Singapour voudraient aussi rejoindre l’alliance en 2024.
L’adoubement des ETF Bitcoin par la SEC pourrait décanter les choses en Asie. Il se murmure que Hong Kong donnera son feu vert avant le mois de juin.
Le marché boursier de Tokyo célèbre alors que le Nikkei surpasse les 40 000 points, alimenté par une forte progression technologique.
En récession et dépassé par l'Allemagne, le déclin dans la finance du Japon semble inexorable. Quelles en sont les causes ?
Le bitcoin vient de marquer un record historique face au yen, la monnaie du Japon. C'est également le cas dans près d'une vingtaine d'autres pays.
Selon des chiffres récents, cinq pays excellent par les problèmes de finances qu’ils rencontrent. Ces pays attirent l’attention des analystes pour leurs dettes qui atteignent des niveaux record. Le cas des États-Unis est bien connu. La France fait également partie de ce cercle restreint d’Etats développés, mais endettés jusqu’au cou.
L'indice Nikkei a récemment dépassé les 36 000 points en bourse, revenant à son plus haut niveau boursier depuis 1989.
Le Japon lance une loi sur la régulation des stablecoins, une décision brillante mais qui pose de nombreux problèmes
La plateforme crypto Binance, à travers sa filiale japonaise a officialisé un deal crypto avec Mitsubishi UFJ Trust and Banking Corporation (MUTB). L’alliance avec ce géant financier est remarquable d’autant qu’elle s’insère dans le contexte crypto du Japon actuel. Ceci étant, il va sans dire qu’elle a des implications stratégiques. Autant pour Binance qui semble se repositionner dans le pays alors qu’elle subit des revers ailleurs. Autant pour le groupe bancaire qui veut profiter de l’engouement autour des actifs numériques pour diversifier ses activités. Quelles sont alors les potentielles incidences de l'accord entre ces deux partenaires ? Les lignes qui suivent y apporteront quelques réponses.
Avec plus de 5 millions d’utilisateurs crypto, soit 4% de sa population, le Japon possède l’un des taux d’adoption les plus élevés au monde. D’ailleurs, le pays de Satoshi Nakamoto reconnaît les cryptomonnaies comme moyen de paiement depuis 2016. Plusieurs grosses chaînes de magasins ainsi que des magasins de vente en ligne acceptent les cryptomonnaies comme moyen de paiement. De même, plusieurs exchanges - BitFlyer, Coincheck, Bitbank, etc. - opèrent dans le pays. Récemment, le pays a lancé le premier fonds bitcoin pour les investisseurs institutionnels, une initiative qui a propulsé le cours de la cryptomonnaie mère. Dans cet article, nous vous proposons une virée dans l’univers crypto japonais. Découvrez comment le Japon est devenu l’une des superpuissances de la scène crypto mondiale.
La Banque de Japon (BoJ) envisage de réduire progressivement les mesures d'assouplissement quantitatif. Cette décision, visant à assurer une transition en douceur, soulève des interrogations quant à l'avenir des cryptos et CBDC au sein de l'économie japonaise.
Comment comprendre l’approche actuelle du Japon vis-à-vis du secteur évolutif des cryptos ? L’essentiel de la réponse à cette question se trouve dans l’histoire technologique, mais aussi culturelle du pays. En effet, quand on pense à l’écosystème crypto japonais, on pense à Satoshi Nakatomo présumé fondateur du Bitcoin. On se rappelle que le pays est incontestablement l’un des premiers à avoir très tôt adopté l’industrie crypto. D’abord, les activités de mining crypto. Ensuite, en devenant un hub pour les opérations cryptos à travers le globe. Une hégémonie notamment portée par des plateformes comme Mt. Gox qui s’effondra en 2014. Depuis, la donne a changé pour l’industrie crypto japonaise, les autorités ayant fait de la réglementation leur priorité.
La plateforme crypto Binance prépare son retour sur le marché japonais depuis plusieurs mois. La société, qui a quitté le pays en 2018 et s’est finalement offert Sakura Exchange Bitcoin (SEBC), un exchange réglementé. La relance des activités prédicament exploitées par ce dernier devrait concrétiser ce retour.
Le Web3 suscite un intérêt croissant à l'échelle mondiale, et le Japon ne fait pas exception. Lors de la conférence WebX web3 à Tokyo, le Premier ministre Fumio Kishida a partagé sa conviction que le Web3 pouvait transformer Internet et contribuer au progrès social. Il a affirmé l'engagement du gouvernement japonais à promouvoir activement le Web3 dans le cadre de sa politique économique axée sur le "nouveau capitalisme".
Il semblerait que MT Gox ait été piraté par des Russes en 2011.
Le futur du voyage aérien pourrait bien réserver quelques surprises. All Nippon Airways (ANA), la plus grande compagnie aérienne du Japon, fait une incursion audacieuse dans l'espace numérique. Elle a lancé une plateforme d'échange pour les jetons non fongibles (NFT) axés sur l'aéronautique. Ce pari audacieux fait partie de la stratégie d'ANA pour étendre ses activités à l'intersection des compagnies aériennes et du Web3.
Le géant de l'électronique japonais Sony annonce une incursion audacieuse dans les univers du Web3, des NFT et du metaverse. Cela marque une nouvelle étape dans l'adoption des technologies blockchain par les grands acteurs industriels. En partenariat avec Astar, une plateforme nippone de contrats intelligents, et Startale Labs, un habitué du domaine Web3, Sony dévoile un programme d'incubation prometteur.
Binance a réussi à se réintroduire au Japon grâce à l’acquisition de Sakura Exchange Bitcoin (SEBC). Désormais, le géant des bourses crypto se prépare au lancement officiel de Binance Japon. Celui-ci est prévu pour le mois de juin 2023. Il s’agit d’une stratégie de Binance pour étendre sa présence mondiale face à une réglementation de plus en plus stricte.
Binance est prêt à revenir sur le marché japonais après l’avoir quitté en 2018. Ayant acquis la crypto-bourse réglementée Sakura Exchange Bitcoin (SEBC), le géant de l’exchange peut reprendre ses activités dans le pays. Il a également réussi à s’implanter dans d’autres pays asiatiques. Néanmoins, il n’y a pas encore de date précise pour le lancement officiel de Binance Japan.
FTX prévoit de redémarrer ses opérations d’exchange d'ici à 2024. La société crypto vient de récupérer près de 7,3 milliards d’actifs liquides.
Le 20 mars, le chatbot ChatGPT d'OpenAI aurait commis une violation des données, selon une autorité italienne. Cette dernière a alors temporairement bloqué le 31 mars le chatbot. Elle a ensuite entamé une enquête pour en savoir plus sur les risques que l’outil représente. Elle a également demandé à OpenAI de limiter immédiatement le traitement de données pour les utilisateurs italiens. Le 4 avril, le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada a annoncé une enquête sur OpenAI. Philippe Dufresne, commissaire principal à la protection de la vie privée, a précisé que son ministère surveillait de près la technologie de l'IA. Malgré tout, ce lundi 10 avril, il a été révélé que le Japon pourrait utiliser une technologie de l’IA comme le chatbot ChatGPT d'OpenAI, dans ses systèmes. Voici ce qu’il en est.
Interview exclusive avec CZ : Le PDG de Binance raconte comment la répression crypto en Chine l'a contraint à fuir.
L'Asie est le berceau du développement de jeux blockchain à l'échelle mondiale ; Xangle se penche sur les stratégies utilisées par les entreprises les plus performantes et sur les opportunités qui se présentent.
Pour le moment, 4 exchanges crypto vont devoir régler leur compte auprès de la FSA du Japon. Assurément, d’autres sociétés vont suivre.
Arrivé dans le metaverse, il y a presque une année, Nissan comprend peu à peu l’importance de la réalité virtuelle pour le succès de sa stratégie marketing. Dans le cadre d’un test de vente dans le metaverse, la société d’automobile a récemment déposé quatre nouvelles marques Web3 pour ses marques Infiniti, Nismo et Nissan.
Si l’on s’accorde sur le fait que toute révolution passe par trois phases : ridicule, dangereuse et évidente, les cryptomonnaies sont à la dernière phase. Il y a seulement quelques années, tous les experts de la finance traditionnelle affirmaient que les cryptos ne valent rien et ne servent à rien. Heureusement qu’il ne leur a pas fallu longtemps avant de réaliser le contraire. Pour tenter de les arrêter, ces institutions financières s’apprêtent à leur imposer une régulation trop dure. Dans cet article, découvrez le récap crypto de la semaine où nous reviendrons sur l’essentiel de l’actualité des sept derniers jours.
Face à une adoption irrésistible des cryptomonnaies, les États n’ont trouvé d’autres moyens que de se lancer dans l’émission des CBDC pour tenter de les évincer. Pas plus tard qu’hier, l’Australie a annoncé le lancement de son projet pilote CBDC. La Reserve Bank of Australia travaillera avec le secteur privé pour explorer plus d'une douzaine de cas d'utilisation.
Une zone économique metaverse verra bientôt le jour au Japon. Pa plus tard qu’hier, d’importantes entreprises technologiques du pays, dont Fujitsu et Mitsubishi, se sont réunies en perspective d’un nouvel accord pour aider à faire progresser le secteur du metaverse.
En novembre dernier, l’exchange de cryptos, FTX s’est retrouvé dans une situation financière difficile. Celle-ci l’a contraint à stopper les retraits sur sa plateforme, provoquant l’un des plus grands scandales de l’industrie des cryptos. Alors que les clients de FTX dans le monde entier attendent impatiemment la conclusion du litige entre FTX et Sam Bankman-Fried (SBF), les utilisateurs de FTX Japon ont commencé à retirer la totalité de leurs fonds. Une excellente nouvelle pour cette branche de FTX, qui est l’une des plus importantes. Mais ce dénouement, est-il un signe que le scandale FTX s’achèvera sur une bonne note ?