Venom Foundation s'associe au gouvernement kenyan pour établir un hub de blockchain en Afrique pour le développement du Web3 et de blockchain.
Venom Foundation s'associe au gouvernement kenyan pour établir un hub de blockchain en Afrique pour le développement du Web3 et de blockchain.
Ripple est dans l’attente d’une décision de justice qui pourrait changer la donne pour l’industrie crypto américaine. Pendant ce temps, son actif natif, le XRP, semble avoir le vent en poupe. Une tendance remarquable sur le continent africain où de plus en plus de pays l’adoptent.
Comparée aux autres continents, l’Afrique constitue l’un des marchés les plus prometteurs pour le développement de la blockchain. La technologie semble y gagner un peu plus de terrain chaque année, portée par un pays comme le Nigéria. Mais ce n’est désormais plus le seul État d’Afrique à miser sur son potentiel.
Charles Hoskinson, le fondateur de Cardano et cofondateur d'Ethereum, a récemment participé à un épisode du podcast Hashing It Out de Cointelegraph. Il a parlé de l'état actuel du marché crypto et de l'adoption de la blockchain en Afrique. Hoskinson a également souligné les défis rencontrés par Cardano.
Ce partenariat entre Western Union et MFS Africa qui permettra l’envoi d’argent vers des portefeuilles mobiles en Afrique.
Malgré le bear market et les perspectives à court terme peu reluisantes pour les prix des cryptos, les acteurs du secteur restent unanimes sur le volet adoption. Celui-ci devrait se poursuivre inlassablement, surtout en raison des avantages offerts par la blockchain et ses applications. Dans ce sillage, un rapport a montré que les commerçants dans le monde devraient avoir un recours prononcé pour les crypto paiements, notamment via le bitcoin (BTC).
Depuis l’enquête de CoinDesk sur FTX, qui a ouvert les yeux de la communauté crypto sur la situation délétère de FTX, les révélations diverses ne cessent de s’enchaîner. La dernière en date concerne un système peu commun, mis en place par les responsables de l’exchange. Il consiste à faire travailler des étudiants africains, qui doivent notamment convaincre leurs collègues à s’inscrire sur l’exchange et à y faire des opérations. Ceci, moyennant de l’argent. Décryptage.
Le marché des cryptos connait une reprise depuis le début de cette année. En effet, jusqu’ici, le bitcoin (BTC) par exemple a enregistré une augmentation d’environ 40 %. Parallèlement, son grand rival, l’ether (ETH), est en hausse d’environ 35 %. Aussi, ces dernières années, le secteur crypto a montré son utilité dans le quotidien des consommateurs. Malgré tout, il a encore de farouches détracteurs qui le trouvent inutile et dangereux. C’est ce qu’a démontré l’investisseur mythique Charlie Munger lors de son intervention durant l’assemblée annuelle des actionnaires du Daily Journal.
Pour faire parvenir des fonds aux réfugiés Africains, le Bitcoin est mis à contribution à travers plusieurs réseaux. L’adoption croît très vite.
Depuis leur apparition en 2009 avec l’invention du célèbre anonyme Satoshi Nakamoto, les cryptomonnaies séduisent plus d’un. Leur présence dans le circuit financier mondial s’est imposée et plus personne ne peut les ignorer. Même les plus grands banquiers conservateurs qui ne jurent que par la monnaie traditionnelle n’y peuvent plus rien. Contre toute attente, ces nouveaux actifs numériques se sont frayé un chemin jusqu’en Afrique, un continent pourtant réputé moins avancé en matière technologique. Au cours de l'année 2022, un pays africain est allé jusqu'à adopter le bitcoin comme monnaie officielle. Un deuxième au monde. Au cours de la même année, il a été organisé sur le continent l’une des plus grandes rencontres des acteurs de l'écosystème crypto. Face à cette inarrêtable adoption de cryptos par les populations locales, les banques centrales africaines fléchiront-elles ?
La crypto Bitcoin s’implante lentement, mais sûrement en Afrique du Sud. Il vient de consolider une belle collaboration avec Pick n Pay.
Le rapport entre l’utilité sociale du bitcoin et l'empreinte écologique du minage a souvent fait jaser. Ce débat a longtemps relégué le côté disruptif de cette révolution technologique à son impact écologique, souvent exagéré. La loi Mica, visant à interdire le Proof-of-Work dans l’Union Européenne, en est un parfait exemple. C’est oublier un peu vite la vitesse à laquelle le bitcoin opère, malgré toutes ces critiques, sa transition écologique. En effet, il incite d’une part à ne pas consommer ou reporter sa consommation, en qualité de réserve de valeur. D’autre part, la part de consommation d’énergie renouvelable ne cesse d’augmenter au fil des années. Elle tend surtout à réduire progressivement l’inefficience de l’exploitation des énergies renouvelables, afin d’être plus rentable. Le minage de bitcoins représente ainsi une véritable batterie énergétique dans de nombreux pays, contribuant ainsi à leur développement économique.
Nous poursuivons notre série d’interviews réalisés au forum Dakar Bitcoin Days. Prince Don est un professionnel avec plus de 12 ans d'expérience dans la gestion des risques numériques et technologiques au sein d'un cabinet d'audit. Il a lancé en mars 2022 un podcast intitulé « L'Afrique parle Bitcoin » pour populariser Bitcoin dans les communautés francophones d'Afrique.
La République centrafricaine a pris la décision de faire du bitcoin (BTC) une monnaie légale, après le Salvador. Les députés ont voté à l’unanimité le projet de loi sur l’adoption de la crypto phare, le 21 avril 2022. L’un des objectifs de cette initiative est de garantir l’inclusion financière à la population. Le ministre de l’Économie numérique, des Postes et des Télécommunications n’a pas manqué de saluer l’initiative. Justin Gourna Zacko a déclaré, à l’époque, qu’il travaillerait à la construction d’un cadre favorable au secteur financier centrafricain. À présent, les autorités ont annoncé une décision qui pourrait ne pas plaire à tout le monde.
Depuis des années, on entend que bitcoin est inutile. La députée socialiste Aurore Lalucq l’a martelé dans une interview récente, appelant à plus de régulation. Pourtant, trois types de personnes ont absolument besoin d’une alternative monétaire digitale qui ne nécessite pas de confiance envers un tiers bancaire ou gouvernemental. Qui sont ces gens pour qui la crypto n’est pas une question spéculative, mais une marchandise vitale ?
L’Afrique au sud du Sahara est l’un des maillons essentiels de la chaine de valeurs des envois d’argent dans le monde. L’année dernière, la Banque mondiale a indiqué que la région a compté pour plus de 14 % des envois mondiaux de fonds. En 2020, la région a enregistré plus de 40 milliards de dollars de sa diaspora. Mais ces transactions ne sont pas toujours aussi optimales. Entre les frais de transfert élevés et le délai de latence souvent trop longs, les destinataires peuvent vite déchanter. Une solution est désormais à portée de main.
Le marché crypto en Afrique affiche une certaine croissance, et les premières questions de réglementation se posent déjà. Après l'effondrement de FTX et toutes les conséquences qui ont suivi, l'urgence de réguler le secteur se fait plus pressante. Toutefois, la réglementation d'une industrie aussi volatile que celle des devises virtuelles reste un réel défi. D'autant plus qu'actuellement en Afrique, seulement 25 % des pays réglementent de manière officielle la crypto.
Le Sénégal accueillera les 2 et 3 décembre prochain le premier forum Dakar Bitcoin Days. C’est l’occasion de faire un point sur ce que l’Afrique peut gagner avec l’adoption du Bitcoin. Nous explorerons ici les thèmes développés lors du forum : l’échange de capitaux, la décentralisation, l’inclusion financière, l’éducation et la technologie.
La chaîne de magasins sud-africaine propose les paiements via Bitcoin Lightning.
En Afrique, plus précisément en RDC, un parc classé patrimoine mondial de l’UNESCO baptisé Virunga incite les gens à faire des dons en Shiba Inu.
Il est vrai qu’en Afrique, la croissance du secteur crypto est freinée par la méfiance générale envers les nouvelles technologies. De même, les escroqueries et les interdictions des gouvernements empêchent une meilleure adoption des actifs numériques. Mais, il faut reconnaitre qu’il y a de multiples avantages à utiliser les cryptomonnaies. Découvrez 3 bonnes raisons pour lesquelles les femmes en Afrique doivent posséder des actifs numériques.
Malgré les obstacles rencontrés, la présidence de la République Centrafricaine se montre toujours aussi déterminée à imposer le projet Sango Coin dans son pays. Un tweet récent du président Faustin-Archange Touadéra le confirme.
L’Afrique subsaharienne n’occupe que 2 % du marché mondial de la crypto. Elle abrite néanmoins certains des marchés les plus développés.
Pensez-vous que l’adoption généralisée du bitcoin dépendra de la seule légalisation de cet actif par nos gouverneurs ? N’oublions pas les autres obstacles comme le problème d’accès à internet ou à l’électricité qui empêchent l’utilisation des cryptomonnaies, surtout dans les pays en développement. Ce qui a motivé certains bitcoiners à trouver d’autres moyens pour dépasser ces limites. C'est le cas justement des développeurs de Machankura.
Le bitcoin n’a pas été imaginé pour être une monnaie spéculative. Né après la catastrophe des subprimes en 2009, le bitcoin a été pensé pour redonner une liberté financière aux citoyens. Les subprimes ont dévoilé la duplicité des banques et la corruption du système. Un grand nombre de personnes dans…
Le président Touadéra ne pourra pas échanger les terres et les ressources de la RCA contre des Sango coins
Quand on parle de bitcoin (BTC), de sources d’énergie idéales pour l’activité du mining et d’autres situations en rapport avec les cryptomonnaies, on pense généralement à l’Amérique du Nord, à l’Asie et par moment à l’Amérique latine. Pourtant, il y a une autre région qui, pour plusieurs raisons, mérite une attention particulière compte tenu des possibilités qu’elle offre dans le domaine. Cette région, c’est l’Afrique. Pourquoi les nations africaines sont-elles prêtes pour le mining de cryptomonnaies
La solution innovante Bitcoin (BTC) Layer-2 (L2) de Sango est le moteur du nouveau système monétaire numérique en République centrafricaine. Il s’agit d’un énorme bond en avant en matière d’adoption des cryptomonnaies dans le monde. Une solution L2 révolutionnaire pour Bitcoin La terminologie Bitcoin L2 désigne une deuxième couche construite sur…
Selon un rapport de l’exchange KuCoin, le nombre d’utilisateurs africains des cryptomonnaies a augmenté de plus de 2 500 % en 2021. PDG, le fameux Changpeng Zhao, est parti en tournée sur le continent. Son objectif est de rencontrer plusieurs acteurs majeurs de la région… L’Afrique, un continent encore sous-développé mais…
Le numéro 1 de Cardano, Hoskinson, veut reconstruire l’infrastructure économique et sociale des nations africaines grâce à la technologie blockchain. Ce dernier voit l’Africa Web3 comme une force puissante qui va booster le développement du continent africain et contribuer à sa transformation digitale.