Les BRICS ont coopté plusieurs pays cette année. Un moment géopolitique historique qui devrait se poursuivre en 2024. Un officiel du groupe de pays a révélé que six nouveaux pays vont intégrer l’organisation l’année prochaine.
Les BRICS ont coopté plusieurs pays cette année. Un moment géopolitique historique qui devrait se poursuivre en 2024. Un officiel du groupe de pays a révélé que six nouveaux pays vont intégrer l’organisation l’année prochaine.
La volonté des BRICS de sortir de l’influence de dollar prend diverses formes. L’une d’entre elles consiste dans la consolidation de leurs rapports commerciaux. Deux pays se sont illustrés en la matière. Il s’agit de la Chine, membre fondateur de l’organisation qui investit massivement aux Émirats arabes unis (EAU), nouvel adhérent aux BRICS.
Pendant plusieurs siècles et jusqu'à la première moitié du XXe siècle, de grandes parties du monde ont été soumises au colonialisme européen. Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, nombre de ces régions ont regagné leur indépendance vis-à-vis de ces puissances européennes, mais des vestiges de ce colonialisme subsistent encore aujourd'hui. Comme l’explique Lyn Alden dans Broken Money, le système monétaire de Bretton Woods et, par la suite, le système monétaire des eurodollars/pétrodollars représentent des formes de néocolonialisme monétaire, avec les États-Unis aux commandes.
L’Arabie Saoudite, comme quelques autres pays du Golfe dont les Émirats arabes unis (EAU), est depuis peu autorisée à rejoindre les BRICS. Avec l’un de ses membres influents, la Russie, le Royaume saoudien a échangé des questions stratégiques, dont la sortie du dollar. Mais pas seulement.
C’est officiel. C’était prévisible. Les BRICS devraient avancer sans l’Argentine. Le gouvernement de Javier Milei vient d’annoncer officiellement qu’il décline l’invitation du bloc économique. L’information a été publiée sur X ce jeudi 30 novembre par Diana Mondino, celle qui est pressentie pour être le ministre des Affaires étrangères du gouvernement. Retour sur les circonstances entourant cette décision et sur ses conséquences sur la géopolitique.
Alors que la croissance chinoise patine, Pékin n'hésite plus à ouvrir grand les vannes budgétaires et monétaires pour tenter de stimuler son économie malmenée. Entre assouplissement du crédit, distribution anticipée des quotas d'emprunt local et émissions massives d'obligations d'État, l'empire du Milieu multiplie les mesures expansionnistes inédites. Objectif : retrouver une croissance vigoureuse en 2024.
Les pays membres des BRICS comptent lancer une monnaie commune à leur organisation dans un futur proche. Pour l’heure, rien ne permet de préciser le support de la devise envisagée. Au sein des analystes, la question de savoir si la crypto ou l'or pourrait en être le support, fait débat. Et la question n’est pas aisée à trancher. Car certaines données montrent que la crypto a des atouts à faire valoir, pour être choisie comme support de la monnaie des BRICS. Il en va de même pour le métal précieux qu’est l’or. Dans cette analyse, nous tenterons de faire la lumière sur ce qui se dit à ce sujet.
Entre la Chine, le Brésil et l’Argentine de Javier Milei, les relations commerciales et diplomatiques pourraient bientôt se retrouver au point mort. Il semble que le nouveau président argentin prévoit de dollariser l’Argentine et de la séparer de la Chine, du Brésil et des BRICS. Si l’information n’a pas encore fait l’objet d’une communication officielle, elle jette cependant un doute profond sur l’adhésion aux BRICS de l’Argentine, première puissance économique d’Amérique latine. Cependant, Pékin reste formelle : nous ne supplierons pas.
La tendance à la dé-dollar-isation est-elle exagérée ? Le système du pétrodollar touche-t-il à sa fin ? Les BRICS iront-ils jusqu’au bout ?
Les BRICS ont annoncé un plan visant à lancer leur commune dans un avenir proche. Le projet menace le dollar américain, mais aussi l’euro, une monnaie notamment utilisée par un pays comme l’Allemagne. Il semble que ce pays travaille à anéantir ce plan en misant notamment sur la version numérique de l’euro qu’il compte introduire.
Les pays membres des BRICS veulent mettre fin à l’hégémonie occidentale portée par les États-Unis. La concrétisation de ce projet a des implications monétaires et financières liées au dollar. Mais en fait, l’ambition du groupe de pays est tentaculaire. Elle concernerait également les services Internet dont les Américains sont actuellement les patrons.
Les pays des BRICS veulent se défaire de l’influence du dollar américain. L’enjeu est grand pour ce groupe de pays, notamment pour la Russie, qui subit une batterie de mesures financières prises par l’occident en réponse à l’invasion de l’Ukraine. Il semble que le pays manœuvre pour se défaire de ces sanctions. Et il y arrive vraisemblablement puisque le rouble, la monnaie russe, a dépassé le dollar sur le marché des changes.
La guerre Israël-Gaza, peut s’analyser comme une guerre par procuration entre les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux, face à un bloc autoritaire mené par la Russie et la Chine. Le monde n’a jamais été aussi proche depuis 1945 de basculer de nouveau dans un conflit mondial. Si la 3ème guerre mondiale n’a pas eu encore lieu, la 2e guerre froide en revanche est déjà là.
La volonté des BRICS de se débarrasser de l’influence du dollar est certaine. L’idée, clairement exprimée depuis plusieurs mois, connaît un nouveau développement qui suggère une avancée à grands pas du plan. Encore faut-il régler les querelles internes qui menacent la cohésion du groupe.
Les BRICS ont officiellement décidé de sortir du dollar. En attendant, la question de l’usage de la monnaie dans le règlement des transactions internationales semble être un point de discorde entre les pays membres. Voici ce qu’il en est dans les lignes qui suivent.
On connaissait jusqu’ici les ambitions hégémoniques de la Chine en matière économique. La volonté de l’ogre asiatique et de ses partenaires des BRICS de se défaire du dollar est essentiellement l’expression de cette ambition. Cette dernière a connu une récente avancée impliquant l’euro, la monnaie utilisée dans l’espace européen.
Aujourd’hui, au sein de l’Union économique eurasiatique, les transactions économiques sont réglées avec les monnaies nationales qui éclipsent désormais le dollar. De même, la plupart des échanges économiques impliquant la Russie se font avec le rouble. L’euro et le dollar sont en train de subir un évincement. Cette mutation du paysage financier mondial ne peut pas passer inaperçue. L’éventualité de l’émergence d’une monnaie commerciale commune au sein des BRICS revient au centre des débats. Dans une récente interview, la Sergueï Glaziev, économiste et homme politique russe, lâche la bombe : la monnaie commune des BRICS est inévitable. Précisions.
Le week-end dernier, le monde a été témoin d'une barbarie absolue lorsque des terroristes du Hamas ont brutalement pris pour cible des civils israéliens. L'État d'Israël, a réagi, comme on pouvait s'y attendre, par des opérations militaires d'envergure dans la bande de Gaza. Il en résulte un conflit régional croissant, alimenté par des querelles historiques qui dépassent l'échelle des considérations géopolitiques traditionnelles. Un nouveau monde est en train de naître.
L’influence des BRICS devient de plus en plus menaçante. Le jeudi 24 août dernier, six pays d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Afrique ont rejoint le bloc. Si les médias ont massivement relayé l’annonce, très peu se sont attardés sur les répercussions de ces adhésions. Pourtant, les BRICS venaient ainsi de prendre le contrôle de la mer Rouge et celui du canal de Suez. On en parle tout de suite. Mais avant, avez-vous entendu parler du coup de gueule du président algérien contre les BRICS ?
L'Irak est prêt à rejoindre les BRICS, a déclaré le Premier ministre de la République arabe, Muhammad Shia al-Sudani, en visite officielle en Russie.
Samedi, le Hamas a lancé une attaque surprise massive contre Israël, traversant la frontière depuis Gaza et s'emparant des villes voisines ou les prenant d'assaut après un énorme bombardement à la roquette. Des scènes terribles où des soldats du Hamas emmenant des civils israéliens à Gaza ont proliféré sur Internet. Israël a réagi en déclarant l'état de guerre. Les combats entre les deux camps promettent d'être plus destructeurs et sanguinaires que tout ce que l'on a connu récemment.
La volonté des pays des BRICS d’en finir avec leur dépendance au dollar s’opérationnalise de plus en plus. Plusieurs pays de cette organisation d’Etats, récemment élargie, se distancient des bons du Trésor américain dont ils débarrassent activement.
La dette américaine s'envole. L'explosion du déficit budgétaire et la guerre contre la Russie pèsent lourd sur le système.
Il y a quelques semaines, le diplomate russe Roman Babouchkine avait évoqué une information sur le plan des BRICS pour sortir du dollar. Celui-ci consistait à miser sur l’établissement d’un dispositif de paiement, typique de l’organisation. Aux dernières nouvelles, la stratégie monétaire du groupe ne se limite pas qu’à cela.
La Fed est confrontée à des défis extraordinaires. La confiance envers la banque centrale n’a jamais été aussi faible. En parallèle, de plus en plus de personnes choisissent bitcoin plutôt que les monnaies fiat traditionnelles. Il est donc légitime de se demander si la décennie 2020 sera celle où bitcoin éclipsera le dollar ?
Contourner les sanctions occidentales, c’est aussi user des technologies naissantes comme les cryptos, la DeFi, la blockchain et les DAO.
La Chine est l’un des plus farouches concurrents des États-Unis pour l’hégémonie mondiale. En tout cas, sur le plan économique tout au moins. Pour y arriver, le pays semble appliquer une stratégie qui consiste à limiter voire réduire ses investissements aux États-Unis. L’Arabie saoudite, qui vient de rejoindre les BRICS, semble également faire pareil, confirmant un peu plus les plans de sortie du dollar.
Dans un secteur où la crypto bouleverse les paradigmes financiers traditionnels, l’Inde émerge en tant que chef de file révolutionnaire, menant les BRICS dans un virage audacieux au cœur du G20. Cette transformation, incarnée par le vif intérêt du G20 pour la feuille de route crypto proposée par le FMI…
Dernièrement, pas moins de 6 pays ont rejoint les BRICS dans ce qu’on appelle désormais les BRICS+. L’organisation a rejeté les demandes d’adhésion de certains pays. Elle semble faire un appel du pied à d’autres. C’est le cas de l’Indonésie.
L'Inde émerge comme un leader visionnaire. Elle marque son empreinte non seulement sur l'échiquier géopolitique, mais aussi dans l'univers crypto. Un geste audacieux s'annonce : une réinvention de son identité. Cette initiative suscite des réactions variées. Pourtant, elle symbolise une méditation profonde sur son histoire, son présent et son futur. Plongeons dans cette exploration créative. Un regard neuf sur un tournant monumental, au cœur de la révolution crypto