Cela devait arriver tôt ou tard. Le FMI cherche à concurrencer le bitcoin avec un shitcoin de son cru.
Cela devait arriver tôt ou tard. Le FMI cherche à concurrencer le bitcoin avec un shitcoin de son cru.
Plusieurs décideurs politiques s’opposent aux monnaies numériques de banques centrales pendant que la FED étudie la possibilité d’en créer une. C’est le cas du gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis. L’homme politique a exprimé ouvertement son opposition aux CBDC. Ceci a suscité des critiques de la part de l’économiste Paul Krugman, lauréat du prix Nobel. Découvrez l’opinion de Krugman par rapport aux CBDC.
Les CBDC ont suscité la curiosité de nombreux pays au cours des dernières années. Face à la demande croissante de conseils, le FMI va publier un manuel complet à ce sujet. Il permettra d’améliorer les capacités des CBDC pour éviter la fracture numérique. Les intéressés devront attendre quatre à cinq ans avant la sortie du manuel.
Christine Lagarde affirme que les banques centrales ne veulent pas programmer les CBDC. Ce seront les banques privées qui s'en chargeront…
Le Texas pourrait bientôt avoir sa propre monnaie numérique adossée à l'or, si deux législateurs réussissent à faire passer leur projet de loi. Contrairement aux cryptomonnaies traditionnelles, cette monnaie serait garantie par de l'or physique détenu en réserve pour chaque unité en circulation. Les législateurs ont même fixé une date d'entrée en vigueur pour cette nouvelle monnaie, le 1er septembre 2023.
Le Cato Institute avertit dans un rapport que les CBDC pourraient mettre en danger les libertés fondamentales et la vie privée des Américains.
Récemment, durant une interview, la sénatrice américaine Elizabeth Warren a cité les problèmes du secteur bancaire aux États-Unis. Elle a mentionné notamment les frais élevés, la lenteur dans les transactions et le manque de transparence. Pour la sénatrice américaine, il y a bien une solution pour résoudre ces problèmes. Mais, il ne s’agit certainement pas des cryptos. Elizabeth Warren invite plutôt à se tourner vers les CBDC soutenues par le gouvernement.
L'Australie est le théâtre d'une guerre implacable contre le cash. Le pays d'Oz avance à marche forcée vers la CBDC et les privations de libertés qui s'ensuivront.
Ces derniers jours n'ont pas été rose pour la monnaie numérique de la banque centrale américaine, qui a essuyé de multiples contestations. Deux législateurs se sont en effet opposés catégoriquement à son utilisation la semaine dernière, mettant en lumière leur méfiance envers ce projet de la Fed. Tout d'abord, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a tiré le premier. Suivi de près par le sénateur texan Ted Cruz, qui n'a pas mâché ses mots pour exprimer sa défiance totale envers la CBDC. Face à ce tollé politique, la monnaie numérique de la banque centrale semble être sur la corde raide, au grand dam de ses défenseurs.
Le média Radar a publié ce 28 mars sur Twitter un extrait des déclarations de Christine Lagarde durant une émission. Lors de celle-ci, la présidente de la BCE a fait écho à certains propos de Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE. En effet, Panetta avait déclaré en janvier qu’il est nécessaire de réglementer les cryptos et d’adopter une CBDC. Voici les déclarations de la présidente de la Banque centrale européenne sur le sujet.
Au cours des dernières années, les États explorent un à un la monnaie numérique de banque centrale ou la CBDC. Aujourd’hui, c’est au tour des Emirats arabes unis de se lancer. Ils ont dévoilé la stratégie de la CBDC dont la première phase sera achevée d’ici la moitié de 2024. La première phase comprend trois piliers majeurs, selon l’annonce.
La division "Office of Financial Research" du Trésor américain a effectué une étude sur les CBDC et les stablecoins. Pour réaliser l’enquête, les analystes se sont basés sur des mathématiques et des théories économiques avancées. L’étude met en exergue la façon dont les CBDC et les stablecoins pourraient affecter le système bancaire. Voici les conclusions de cette enquête publiée le 22 mars.
Maison-Blanche : ban ou régulation des cryptomonnaies ? Ce rapport donne plus de chance à la première option.
Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a proposé lundi une législation interdisant les monnaies numériques de la banque centrale (CBDC) de son Etat.
Pendant que le bear market semble s’implanter durablement, les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) gagnent du terrain. De plus en plus nombreux sont les États qui travaillent activement à leur déploiement dans leur système financier.
Le Parlement européen a adopté mardi une législation axée sur les données des appareils connectés. La loi a été approuvée par 500 voix tandis que 23 voix étaient contre elle. La législation contient quelques dispositions sur les smart contracts. Les acteurs de l’industrie des cryptos craignent que ces dernières aient un impact négatif sur le secteur.
Les projets CBDC ont le vent en poupe : SWIFT rapporte « un potentiel et une valeur clairs » à partir de tests pilotes. 18 banques ont participé au test.
Un projet de loi à la fois anti-crypto et pro-CBDC fait réagir Kristi Noem : elle est allée jusqu'à d'opposer son veto.
Les discussions au sein de l’UE à propos du déploiement d’une CBDC se poursuivent. Actuellement, les dirigeants se concentrent sur les détails techniques de la monnaie numérique de banque centrale à venir. Ils travaillent notamment sur les utilisations potentielles à privilégier pour l’euro numérique. Dans ce contexte, un ministre a récemment déclaré que la CBDC de la zone euro pourrait devenir un cours légal.
Les réglementations existantes au Nigeria ne sont pas favorables à l’utilisation des cryptos pour les transactions dans les banques locales. Cette situation a suscité jusqu’ici de vives réactions de la part des adeptes de la crypto dans le pays. Ces derniers ont souvent milité pour qu'on intègre les dispositions favorables à de telles opérations aux réglementations. Ils pourraient voir leurs souhaits se réaliser avec la récente annonce du président élu nigérian Bola Tinubu.
Jerome Powell, le président de la Réserve Fédérale américaine (Fed) a participé à une audience devant la la commission des services financiers de la Chambre des représentants. Le but était d’informer les élus américains sur les progrès accomplis par la Fed pour mettre en place une monnaie numérique de banque…
Un peu partout dans le monde, les gouvernements lancent des projets de CBDC. Aux États-Unis, le processus de déploiement du dollar numérique avance à bon train. D’ailleurs, le président Joe Biden fait pression pour que la monnaie numérique soit créée et adoptée au plus vite. Mais, le député Tom Emmer, un représentant du Minnesota, soutient que le projet du Digital Dollar n’augure rien de bon.
Le déploiement de la CBDC américaine signera, selon Jerome Powell, la fin du bitcoin.
Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications ou SWIFT est une plateforme de messagerie bancaire connue. L’entreprise vient de passer 12 semaines à tester son projet de CBDC. Ce 9 mars, SWIFT a publié un communiqué présentant les résultats des tests effectués.
Les résultats de l’étude pilote sur l’utilisation des CBDC menée par la BRI sont publiés. Il s’agit du Projet Icebreaker, en collaboration avec les banques centrales de Norvège, de Suède et d'Israël. L’étude vise à tester la faisabilité technique des transferts transfrontaliers et à comprendre les arbitrages techniques et politiques à entreprendre.
Certains y voient le futur de la manière d’échanger des actifs. D’autres s’inquiètent d’un glissement dangereux vers une société totalement verrouillée par une vision technocratique. La tokenisation fait débat.
Le Brésil a beaucoup progressé dans le secteur crypto ces dernières années. Il a su lancer des projets importants pour stimuler l’adoption de la nouvelle classe d’actifs. L’année passée par exemple, il a décidé de légaliser les paiements en crypto. Aussi, cette année, il a avancé sur son projet de CBDC de manière considérable. Pour preuve, le gouvernement brésilien vient d’annoncer le lancement de la phase de test.
L’Iran continue sa lancée dans l’univers crypto. La phase prépilote de la CBDC d’Iran s’achève avec un franc succès.
La Digital Euro Association a publié un nouveau rapport le 6 mars. Elle y parle de l’utilité des stablecoins pour le paiement de machine à machine (M2M). Elle explique que le paiement M2M est un domaine prêt à se développer. Le rapport indique comment les stablecoins pourraient faire de l’Europe le leader mondial dans le développement de l’Internet des objets (IoT). L’association estime que ce type d’actifs pourrait aider l’Europe à rester compétitive sur le numérique, en l’absence d’une CBDC.
Si l’on s’accorde sur le fait que toute révolution passe par trois phases : ridicule, dangereuse et évidente, les cryptomonnaies sont à la dernière phase. Il y a seulement quelques années, tous les experts de la finance traditionnelle affirmaient que les cryptos ne valent rien et ne servent à rien. Heureusement qu’il ne leur a pas fallu longtemps avant de réaliser le contraire. Pour tenter de les arrêter, ces institutions financières s’apprêtent à leur imposer une régulation trop dure. Dans cet article, découvrez le récap crypto de la semaine où nous reviendrons sur l’essentiel de l’actualité des sept derniers jours.