Eva Kaili est visée par un scandale de corruption. Et cela quelques heures à peine après qu'une député de son parti ait tenté de jeter l’opprobre sur le bitcoin. Quelle ironie.
Eva Kaili est visée par un scandale de corruption. Et cela quelques heures à peine après qu'une député de son parti ait tenté de jeter l’opprobre sur le bitcoin. Quelle ironie.
La Banque d'Angleterre lance désormais des appels d'offres pour la validation du concept de portemonnaie électronique CBDC. Globalement, les régulateurs du monde entier semblent s'intéresser à cette option. La question qui se pose est cependant celle de la protection des données personnelles. Le risque de traçage est également important dans certaines juridictions autoritaires.
La CBDC fait un tel bide que la banque centrale du Nigeria veut la populariser par la force. L'un des objectifs affichés est de ralentir l'inflation…
Après des mois de débats et de discussions, la Reserve Bank of India annonce enfin le lancement de la roupie numérique. Un mois après le lancement de la roupie numérique de gros, la Banque centrale indienne amorce un nouveau projet porteur de nombreux avantages selon certaines personnes.
En collaboration avec la Banque du Japon, 3 mégabanques nippones vont réaliser des transactions de CBDC à partir de 2023.
La Banque d'Angleterre (BOE) plaide pour une réglementation « plus stricte » afin d'éviter la reproduction des fiascos Terra et FTX.
C'est officiel, la FED de New York vient de mettre en place un projet pilote de 12 semaines sur la mise en place d’une monnaie numérique. Un projet en collaboration avec des grandes institutions du réseau bancaire. Est-ce que les CBDC peuvent nuire aux cryptomonnaies ? C’est ici que nous allons aborder le sujet.
Les Nigérians préfèrent les cryptomonnaies et le bitcoin (BTC) à leur CBDC, l'e-Naira, toujours peu utilisée un an après sa création
La banque allemande Erste Bank va cesser de fournir du cash. Une raison de plus de se mettre au bitcoin.
Une grande majorité de Banques centrales dans le monde travaille à élaborer leur propre monnaie numérique de Banque centrale (CBDC). Les objectifs poursuivis ne sont pas les mêmes dans chaque cas. Si certains gouvernements souhaitent prendre une part active dans le développement de ce marché, il en existe dont le but est de créer une CBDC pour combattre la croissance des cryptos. C’est le cas de l’Inde. Le pays a, depuis le début, affiché son opposition au marché des actifs numériques. Récemment, Rabi Sankar, vice-gouverneur de la Banque centrale, a déclaré qu’il croit fermement que les CBDC peuvent « tuer » les cryptos. D’après lui, ces dernières portent en elles, le germe de la « déstabilisation de la stabilité monétaire et fiscale ».
Une vingtaine de banques centrales de la Thaïlande, Chine, HongKong et des émirats Arabes Unis, ainsi que la Bank for International Settlements (BIS) ont récemment collaboré dans le cadre du projet mBridge. Ces institutions se sont mises ensemble pour réaliser un projet pilote qui consiste à faire usage des monnaies virtuelles de CBDC pour la réalisation des opérations de paiements et de change. Le montant total des transferts effectués par les banques asiatiques sur la plateforme mBridge au bout de six semaines se chiffre à près de 22 millions de dollars.
Le nouveau Premier Ministre britannique Rishi Sunak annonce la couleur et promeut les CBDC, les monnaies numériques centralisées.
Compte tenu de la démocratisation de l’industrie crypto, les banques centrales souhaitent riposter en proposant, elles aussi, des monnaies fiduciaires en version numérique. En mars dernier, le président américain Joe Biden dévoilait son plan d’émettre le dollar numérique, une idée qui n’a jamais plu à la Réserve fédérale américaine. D’ailleurs, son gouverneur, Christopher Waller, vient encore de réaffirmer la position de l’institution qu’il dirige. Il aurait repoussé une fois de plus l’idée selon laquelle, la banque centrale américaine devrait concevoir le dollar américain. Les jours passent donc, mais la logique reste la même, la FED ne compte pas céder un centimètre au dollar numérique.
Le FMI a levé le voile le 14 octobre sur les sombres desseins qui se trament derrière la CBDC (Central Bank Digital Currency).
En avril, l'Autorité monétaire de Hong Kong (HKMA) a publié un document de travail sur la création d’une CBDC. Le document invitait le public à donner son avis sur les principales questions de politique et de conception relatives à une CBDC de détail (rCBDC). Une crypto qu’elle veut plus libre et moins dépendante de la monnaie officielle. Réunis au sein du projet Aurum, plusieurs experts locaux et organismes internationaux se penchent sur la question. Parmi ceux-ci, on retrouve le centre Centre d'innovation de la Banque des règlements internationaux. L’objectif est de mettre au point une innovation qui garantit les fondamentaux de la crypto.
Si les médias annoncent fréquemment la disparition imminente des espèces, la circulation de monnaie fiduciaire (les pièces et les billets) n’a jamais été aussi importante”. Derrière ce paradoxe se cache pourtant de vrais changements dans le rôle du cash. Que font les cryptos à l’argent liquide ? Les CBDC peuvent-elles vraiment faire disparaître les espèces ? En dépit de l’essor des paiements numériques, l’argent liquide n’a pas dit son dernier mot.
La décentralisation est un véritable fléau pour les agences gouvernementales et les banques. Alors que les gens se tournent de plus en plus vers les actifs numériques, le directeur général adjoint du FMI estime que les CBDC ont plus à offrir que les cryptomonnaies et il explique pourquoi.
Et si le Great Reset était une hyperinflation suivie de l'avènement de la CBDC...
Le marché obligataire mondial a perdu 12 000 milliards de dollars. Les pertes latentes abyssales des banques centrales vont plomber les budgets gouvernementaux.
Si la banque centrale de Namibie tolère les paiements en Bitcoin, son cœur balance plutôt du côté de la CBDC. Le Bitcoin n’a pas cours légal Bien que le bitcoin n’est pas cours légal, les marchands namibiens peuvent l’accepter s’ils le souhaitent. C’est ce que dit le…
La plateforme SWIFT est utilisée par au moins 11 000 institutions, avec 4 milliards de comptes dans 200 pays. Elle est considérée comme le plus grand système de messagerie financière au monde. Il y a quelques mois, elle est intervenue pour soutenir l’Ukraine dans le conflit qui l’oppose à la Russie. En effet, SWIFT avait décidé d’empêcher la Russie de liquider des actifs et de transférer des fonds via son réseau. Parallèlement, la plateforme a lancé un programme pour évaluer la possibilité de relier différents systèmes de CBDC. Découvrez les conclusions de l’expérience CBDC de SWIFT.
Le fer de lance du Great Reset est la CBDC (Central Bank Digital Currency). Une monnaie dystopique synonyme de société totalitaire. « The Futur of money » Tel est le titre d’un rapport de 58 pages publié ce mardi 20 septembre par l’US Treasury à propos du «…
Cela fait longtemps que la banque centrale de l’Inde (RBI) souhaite introduire une CBDC en Inde de manière progressive. La ministre indienne des Finances, Nirmala Sitharaman, a d’ailleurs déclaré qu’une CBDC va contribuer à la croissance économique du pays. Actuellement, la RBI essaie de convaincre des structures de participer aux travaux de développement de cette CBDC. Découvrez les entreprises avec lesquelles la RBI est en pourparlers.
Le directeur adjoint de la Bank of Ghana (BOG) a prononcé un discours particulièrement intéressant lors du forum des parties prenantes. En effet, Clarence Blay qui est chargé des technologies financières et de l’innovation dans la banque a parlé des nombreux avantages d’une CBDC. Il faut dire qu’actuellement la BOG s’apprête pour le lancement d’une CBDC au Ghana. Mais, les autorités ont des inquiétudes sur ce point et la BOG essaie de les dissiper.
La CBDC de détail ne sera pas disponible sur blockchain, car sa mise en application prendra beaucoup de temps.
L’industrie des cryptomonnaies est hyper concurrentielle et évolue très rapidement. Pour rester au top, il faut innover sans cesse. C’est ce que fait Ripple (XRP) avec sa plateforme Central Bank Digital Currency (CBDC), dont la mission est de promouvoir la création des applications pour une meilleure inclusion financière. Ripple fait le choix d’innover pour rester compétitive et intemporelle. Pour y parvenir, elle collabore avec plusieurs organismes banquiers du monde. Son but est d’évaluer leurs objectifs, afin de voir dans quelle mesure sa plateforme CBDC pourrait leur venir en aide.
« Ne pas se soucier de l'anonymat parce qu'on a rien à cacher, c'est un peu comme ne pas se soucier de la liberté d'expression parce qu'on a rien à dire » - Edward Snowden.
La monnaie est une question éminemment supérieure. Les auteurs, les acteurs, les théoriciens, et les créateurs de la monnaie sont aussi nombreux qu’anciens. Partout, la monnaie dicte le destin tumultueux des prix, le comportement effréné des individus et des entreprises, et le monopole absolu qu’elle confère…
Faute de manifestation d’intérêt de la part des Nippons, la Banque du Japon (BoJ) met fin à son projet de CBDC. Et pourtant, elle a déjà procédé à des tests de viabilité d’une monnaie numérique de banque centrale adossée au yen depuis avril 2021. Les Nippons n’en ont pas besoin…
Ces dernières années, plusieurs pays s’intéressent de plus en plus aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC). Et il y a de quoi quand on sait que les autorités souhaitent garder le monopole d’État pour ce qui est de battre la monnaie. Cette possibilité ne leur est cependant pas permise avec les cryptomonnaies. Ainsi, les CBDC sont devenus quasi indispensables pour les autorités. Mais quels sont les risques que présentent ces monnaies et quels sont les pays qui prévoient d’en mettre en circulation ?