Coinbase aurait-il peur d’un ban définitif en Inde ? L’exchange crypto manquerait de motivation pour continuer à servir les investisseurs locaux.
Coinbase aurait-il peur d’un ban définitif en Inde ? L’exchange crypto manquerait de motivation pour continuer à servir les investisseurs locaux.
L'Inde émerge comme un leader visionnaire. Elle marque son empreinte non seulement sur l'échiquier géopolitique, mais aussi dans l'univers crypto. Un geste audacieux s'annonce : une réinvention de son identité. Cette initiative suscite des réactions variées. Pourtant, elle symbolise une méditation profonde sur son histoire, son présent et son futur. Plongeons dans cette exploration créative. Un regard neuf sur un tournant monumental, au cœur de la révolution crypto
Dans le vibrant cœur financier de Mumbai, une annonce retentit, résonnant comme le début d’une ère nouvelle dans l’univers crypto. La ministre indienne des Finances, Nirmala Sitharaman, a révélé que la présidence indienne du G20 avait initié des discussions cruciales, cherchant à établir un cadre réglementaire mondial pour les cryptomonnaies.
Dans le bouillonnant tourbillon de l’ère numérique, l’Inde s’éveille et clame un message qui résonne aux quatre coins du monde. La nation, qui se dresse fièrement en pionnière de la révolution crypto, jette une pierre dans la mare des conventions établies, en prônant une harmonisation globale des réglementations encadrant le…
On entend de plus en plus une musique qui insinue que l’hégémon Américain serait menacé par l'organisation des BRICS. Qu'en est-il vraiment ?
Avec plus de 40 % de la population mondiale et près de 26 % de l’économie mondiale, les BRICS s’affirment de plus en plus comme une puissance émergente au point de concurrencer les grands groupes comme le G7. Ce regroupement de pays émergents a le vent en poupe et enregistre de nombreuses demandes d’adhésion. Ces demandes risquent de ne pas être acceptées de sitôt, car le Brésil serait contre l’expansion du groupe, selon certaines sources.
La Cour Suprême indienne voit d’un mauvais œil l’allure qu’il prend et n’hésite pas à l’exprimer à haute voix. Selon un rapport de Hindustan Times, elle a demandé au gouvernement de l’Union de prendre une décision ferme autour des cryptos.
Vérité ou mensonge ? L’Oncle Sam serait-il prêt à ses séparer de ses amis aussi facilement ?
C'est fait. La Chine utilise désormais davantage le yuan que le dollar dans ses échanges internationaux. Requiem pour la monnaie impériale.
Les BRICS ont de grandes ambitions pour le système financier global. Ils ont déjà annoncé leur plan de créer une monnaie commune aux membres de l’organisation. Mais leur projet va au-delà de la question monétaire. Ils veulent contrebalancer la géopolitique mondiale et l’initiative intéresse de nombreux pays du globe.
L’ambassadeur sud-africain Anil Sooklal a révélé que plus de 40 pays ont exprimé leur intérêt à rejoindre le groupe des nations BRICS.
La rumeur flottait dans l’air depuis un certain temps. La Russie a finalement décidé de ne plus accepter la roupie indienne en paiement pour son pétrole.
Les stablecoins remettent en question les autorités financières et les gouvernements à l'échelle mondiale, allant encore plus loin que le Bitcoin dans la perturbation du système monétaire établi. Cependant, les banquiers centraux craignent une perte de contrôle des politiques monétaires et de la souveraineté politique. Pour contrer ces défis, Rabi Sankar propose les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) comme des alternatives.
Découvrez l'enquête révélant l'émergence de 24 CBDC d'ici 2030 et le rôle des banques centrales dans cette révolution financière.
Le yuan a le vent en poupe. Après la Russie et le Brésil, c'est au tour de l'Argentine et de l'Inde d'adopter la monnaie chinoise.
Un nouveau Bretton Woods le 22 août ? La réunion des BRICS pourrait être le plus grand chamboulement monétaire depuis 1971. L’alliance des BRICS enfle Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud pourraient dévoiler à Durban une nouvelle monnaie de réserve internationale (ou plusieurs) en vue de se passer…
Le climat de guerre froide ne s'estompe pas. La réduction de la production de pétrole saoudite et la réunion des BRICS pointent furieusement vers un nouvel ordre mondial.
Neuf pays emmenés par l'Iran lancent une alternative au réseau SWIFT. Parallèlement, les BRICS et une dizaine d'autres pays discutent d'une nouvelle monnaie à Cape town.
Mahesh Kumar Jain, sous-gouverneur de la Reserve Bank of India (RBI), s’est adressé aux directeurs des banques des secteurs public et privé à l’occasion de la Conférence organisée fin mai par la Reserve Bank of India à Mumbai et à New Delhi. Son discours a évoqué la nécessité pour les banques indiennes d’adopter les technologies de la blockchain et l’IA. Il s’est également penché sur les défis autour de la croissance durable et de la stabilité du secteur bancaire indien ainsi que sur les stratégies à adopter. Décryptons en quelques lignes ces propos.
Il ne sera pas si facile de se débarrasser du dollar. La Russie commence déjà à bouder la roupie indienne pour le paiement de son pétrole.
Alors que la Fed rehausse les taux pour tenter d’endiguer l’inflation, le cartel des pays producteurs de pétrole vient jouer les trouble-fêtes.
Un récent rapport révèle que 53% des utilisateurs de cryptomonnaies pourraient provenir de l’Inde à la fin de cette année. Ce chiffre représente plus de cinq fois le nombre d’investisseurs crypto États-Unis.
Pendant que le bear market semble s’implanter durablement, les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) gagnent du terrain. De plus en plus nombreux sont les États qui travaillent activement à leur déploiement dans leur système financier.
L’année dernière, les pays du G20 ont fait part de leur ambition de mettre en œuvre une norme uniforme concernant le marché des cryptos. Depuis lors, le projet a beaucoup progressé avec la tenue d’une première rencontre des parties prenantes, en Inde, mi-février. Les récents développements montrent que l’Inde tient à accélérer le processus.
L’Inde dispose d’un réseau de paiement national appelé UPI (interface de paiements unifiés). De son côté, Singapour dispose d’un système de paiement rapide appelé PayNow. Récemment, le gouverneur de la Reserve Bank of India et le directeur général de l’Autorité monétaire de Singapour ont lancé une opération. À travers celle-ci, les résidents des deux pays pourront effectuer des transferts d’argent transfrontaliers rapides.
La première réunion des chefs financiers du G20 a lieu du 23 au 25 février à Bengaluru. La ministre indienne des Finances, Nirmala Sitharaman, joue le rôle d’hôte pour l’évènement. Précédemment, elle avait fait une déclaration concernant le fait que le G20 envisageait de réglementer les cryptos de façon collective. Dans ce contexte, une approche pour une réglementation commune des actifs numériques pourrait voir le jour durant la réunion.
L’administration des impôts indirects au cours de l’exercice en cours aide à détecter une évasion fiscale de 22 000 roupies indiennes à New Delhi. Le président central des impôts et des douanes indirects soutient que cette évasion fiscale concerne près de 48 000 cas à ce jour.
La réglementation de l’industrie est actuellement au cœur des débats. Ces dernières semaines en effet, plusieurs spécialistes des finances et nombreux dirigeants ont appelé à renforcer le contrôle des activités de ce secteur. Un moyen pour les Etats d’intervenir dans un écosystème qui jusqu’ici est la chasse gardée de quelques investisseurs.
Les signes de défiance vis-à-vis du dollar s’amoncèlent. Notamment en Inde où l'on s'arrache le pétrole russe, quitte à se mettre l'Empire à dos.
Depuis plusieurs mois, la plateforme d’échange de cryptos, Binance et son homologue indienne WazirX se sont embourbées dans une polémique interminable. Fin 2019, la première a annoncé avoir racheté la seconde. Mais l’année dernière, alors qu’une enquête pour blanchiment de capitaux a été ouverte en Inde contre WazirX, les deux sociétés se rejettent réciproquement la propriété de WazirX. La société de CZ indique que l’accord avec Zanmai Labs, la société qui exploite Wazirx, est limité à certains actifs. Mais la pilule semble ne pas passer. Pendant ce temps, ce sont les utilisateurs de la plateforme qui font les frais de cette mésentente.