Thématique Minage

Le bitcoin s’effondre, les mineurs toussent, et certains fuient vers l’IA : quand l’or numérique se transforme en fardeau électrique sous tension maximale !

Bitcoin dégringole, les mineurs migrent vers l’IA. Microsoft paie, les actions grimpent… Mais leurs profits ? Toujours en grève. L’avenir s’écrit désormais entre cloud et coup de poker.

Interdite mais convoitée, la Chine fait mine de rien et rebranche ses machines à bitcoin. Silence à Pékin, mais ça turbine dans les provinces où le courant ne coûte rien.

Un mineur Bitcoin solo a défié les probabilités pour sécuriser un bloc rare, gagnant 3,146 BTC d'une valeur d'environ 266 000 $.

Les mineurs de Bitcoin s'endettent à des niveaux record pour financer de nouveaux équipements et étendre leurs opérations à l'intelligence artificielle (IA) et au calcul haute performance (HPC). Alors que la concurrence pour la puissance de calcul s'intensifie et que les bénéfices post-halving diminuent, les mineurs se tournent de plus en plus vers les marchés de la dette pour garder un avantage tant dans la production de Bitcoin que dans la croissance de l'infrastructure des données.

American Bitcoin Corp. (ABTC), cofondée par Eric Trump, vient de publier sa présentation aux investisseurs d’octobre 2025, marquant une étape clé dans son évolution. L’entreprise passe d’un simple acteur du minage de bitcoin à un véritable écosystème d’actifs numériques. Sa stratégie vise à bâtir une puissance bitcoin américaine pour consolider le leadership des États-Unis sur le marché mondial du bitcoin.

Les mineurs de Bitcoin bénéficient d’un court répit après plusieurs mois de pression accrue. Au bloc 919 296, le réseau Bitcoin a enregistré sa première baisse de difficulté depuis juin : une diminution de 2,73 % à 146,72 trillions. Cet ajustement offre un souffle temporaire après une longue période de hausse de la demande computationnelle, qui a poussé de nombreux mineurs à leurs limites.

Les mineurs de Bitcoin utilisent leur infrastructure énergétique existante pour prendre l'avantage dans l'IA, permettant un déploiement plus rapide des centres de données.

La France s'apprête à céder ses surplus d'énergie nucléaire à un mineur de bitcoin américain au lieu de privilégier la solution française.

Nouveau projet : une banque crypto pourrait voir le jour en Russie. On vous livre tous les détails dans cet article.

Google a pris une participation de 14 % dans la société de minage du bitcoin, TeraWulf. Cette opération fait suite à l’augmentation de son engagement financier dans un accord de colocation avec Fluidstack. Grâce à ce mouvement, le géant technologique devient le premier actionnaire de TeraWulf et renforce ainsi la crédibilité de son modèle entre crypto et hébergement haute performance.

Quand l’IA affamée d’énergie vient piquer les watts du bitcoin, ça chauffe dans les data centers ! Et les mineurs, eux, creusent… pour rester branchés.

Le réseau Qubic (QUBIC) a créé la surprise en atteignant temporairement 52,72 % du hashrate total de Monero (XMR), avec une puissance de calcul de 3,01 GH/s. Cette performance technique, bien qu'éphémère, montre la puissance de ce projet.

Pendant que le prix du bitcoin fait du surplace, sa difficulté de minage grimpe aux cieux : un record technique qui cache peut-être plus d’or que de spéculation…

Pendant que Moscou électrifie ses fermes et que Pékin mine sans bruit, Washington glisse doucement : mais qui tirera vraiment les ficelles du bitcoin dans ce drôle de jeu énergétique ?

Tandis que le mining de Bitcoin semble désormais réservé aux mastodontes industriels équipés d’ASIC surpuissants, un exploit improbable vient défier cette logique. Un mineur solitaire, armé de seulement 2,3 PH/s, a décroché un bloc à lui seul via Solo CK, empochant environ 350 000 dollars. Cette prouesse statistique quasi impossible rappelle les débuts plus ouverts du réseau. Dans un écosystème de plus en plus centralisé, cette victoire isolée ravive la question fondamentale : le réseau Bitcoin est-il encore accessible aux indépendants ?

Cela faisait longtemps que les mineurs de Bitcoin n'avaient pas été surpris par un tel ajustement de la difficulté de minage.

Pendant que le bitcoin souffle après un sprint minier, certains mineurs jouent les fourmis capitalistes. Pas fous : produire, garder, et attendre que ça flambe. Une stratégie... pas si cryptique.

Un geek inconnu, armé de hash loué, décroche 330 000 $ en bitcoin. Hasard technique, coup de bluff, ou révolution silencieuse sous les bits du minage solo ?

L’écosystème Bitcoin DeFi affiche des signaux contradictoires. La plateforme Rootstock enregistre une hausse spectaculaire de sa sécurité réseau au premier trimestre 2025, alors même que la valeur totale des investissements et l'activité des utilisateurs diminuent significativement.

Un minuscule appareil défiant les monstres du mining de bitcoin, une chance digne d’un miracle, et voilà un mineur solitaire empochant 260 000 $ sous le regard médusé de l’industrie.

L’énergie nucléaire et les cryptomonnaies : un mariage improbable ? Marine Le Pen, figure incontournable du paysage politique français, vient de bousculer les codes en reliant ces deux univers. Lors d’une visite à l’EPR de Flamanville, elle a esquissé une vision où les surplus d’électricité nucléaire alimenteraient le minage de Bitcoin.

Après le Texas, c’est au tour de la Russie d’utiliser l’industrie du bitcoin pour équilibrer son réseau électrique et réduire la facture. Quand la France ve-t-elle se réveiller ? Et l'Allemagne ?

À 105 000 $ le Bitcoin, les mineurs chantent sous la pluie des exahashes. Concurrence féroce, marges stellaires : c’est une danse de chiffres et d’électricité.

Les performances du bitcoin, souvent considérées comme un baromètre pour l’ensemble du secteur des cryptos, révèlent cette année un paradoxe. En effet, le prix de l’actif phare a grimpé de 128 % sur une période de douze mois, avec des niveaux qui rappellent ses heures de gloire. Pourtant, cette dynamique exceptionnelle ne semble pas profiter aux entreprises spécialisées dans le mining, dont les actions accusent des baisses spectaculaires. Cette situation renseigne sur un décalage entre la montée en flèche du bitcoin et les performances boursières des sociétés de mining. Les investisseurs et analystes s’interrogent : quels sont les facteurs derrière cette divergence ? Alors que le bitcoin continue d’attirer l’attention avec sa résilience et l’engouement croissant pour les ETF et les achats institutionnels, les entreprises minières font face à des défis structurels majeurs, liés notamment aux coûts énergétiques, aux pressions réglementaires et aux inefficiences opérationnelles.

Le secteur des cryptos vient de franchir une nouvelle étape importante avec l’annonce de Riot Platforms, acteur majeur du minage de bitcoin. En effet, l’entreprise ambitionne de lever 500 millions de dollars par le biais d’une émission d’obligations convertibles. Ce projet intervient dans un contexte où la crypto emblématique s’approche de ses sommets historiques, et déclenche un intérêt renouvelé de la part des investisseurs institutionnels. Ainsi, cette stratégie souligne la volonté de Riot Platforms de consolider sa position dominante sur un marché où la concurrence s’intensifie.

Le gouvernement russe a mis un pied dans l’industrie du bitcoin. Ce soutien n’est probablement pas étranger à l’ambition de faire émerger un système monétaire international plus juste.

Alors que la lutte contre le dérèglement climatique est au cœur des préoccupations mondiales, certains gouvernements envisagent de bannir le minage de Bitcoin, un processus énergivore souvent décrié pour son impact environnemental. Pourtant, une nouvelle étude menée par le groupe de recherche Exponential Science révèle un paradoxe qui pourrait surprendre plus d’un législateur : interdire le minage de Bitcoin pourrait aggraver les émissions de carbone, et aller ainsi à l'encontre des objectifs climatiques. Cette étude, intitulée Les conséquences carbone inattendues des interdictions de minage de Bitcoin : un paradoxe dans la politique environnementale, éclaire davantage sur les effets de déplacement potentiels provoqués par ces interdictions.