La Bourse de New York (NYSE) explore actuellement la possibilité de passer à un modèle de négociation 24h/24 et 7j/7, une décision potentiellement révolutionnaire largement influencée par le succès des marchés crypto qui opèrent en continu.
La Bourse de New York (NYSE) explore actuellement la possibilité de passer à un modèle de négociation 24h/24 et 7j/7, une décision potentiellement révolutionnaire largement influencée par le succès des marchés crypto qui opèrent en continu.
La semaine première semaine a été dure pour Sam Bankman-Fried et son équipe d’avocats.
Fédérer les défenseurs de l’industrie crypto autour de « Stand with Crypto », c’est l’objectif de ce rendez-vous de Coinbase.
Le maire de New York a choisi de ne pas déclarer ses avoirs en crypto en raison du statut du bitcoin.
La plateforme de trading crypto Coin Cafe est condamnée à rembourser les frais exorbitants et non divulgués appliqués à ses utilisateurs.
La réglementation des cryptomonnaies a longtemps été un sujet de débat et de controverse aux États-Unis. Alors que certaines voix se sont élevées pour étouffer les actifs numériques, d'autres ont plaidé pour une approche plus souple. Jusqu'à ce jour, la réglementation des cryptomonnaies aux États-Unis est fragmentée. Différentes agences gouvernementales n’ont pas encore une vision commune sur la façon idéale d’encadrer le secteur.
New York muscle sa réglementation des cryptomonnaies avec un projet de loi ambitieux, porté par le procureur général Letitia James. Derrière les mots "protéger les investisseurs", se cache en réalité une volonté de renforcer les pouvoirs des régulateurs pour une nouvelle offensive de répression contre les acteurs crypto. Les poursuites judiciaires engagées contre Celsius, CoinEx et Nexo ne laissent aucun doute sur l'objectif réel de cette initiative.
Les sociétés crypto à New York ont la possibilité d’obtenir une licence appelée la BitLicense. L’obtention de cette licence implique des frais qui s’élèvent à plus de 100 000 dollars. Ceci explique pourquoi en 2020, il n’y avait que 25 sociétés crypto détentrices de BitLicense. Parmi ces dernières, on retrouve Circle, Coinbase, Ripple et Square. Maintenant, le Département des services financiers de New York (DFS) a décidé de mettre en place un nouveau cadre réglementaire. La nouvelle réglementation concerne essentiellement les détenteurs de BitLicense.
Soit la TradFi est au bord du gouffre, soit Adrienne Harris, du NYDFS, tente de calmer les esprits crypto.
La banque californienne Silvergate, qui offrait ses services aux entreprises crypto, a fermé ses portes la semaine dernière. Peu de temps après, ce fut le tour de la Silicon Valley Bank qui comptait des sociétés crypto parmi ses clients. Le département californien de la protection financière et de l’innovation s’est chargé de sa fermeture. Ensuite, les régulateurs de l’État de New York ont fait fermer la banque new-yorkaise Signature. Brian Brooks, ancien directeur intérimaire de l’Office of the Comptroller of the Currency (OCC), a récemment donné son avis sur tous ces événements. Il a déclaré que ces derniers indiquent que le gouvernement américain essaie de retirer la crypto du système bancaire.
Signature Bank était le partenaire de nombreux exchanges crypto avant de fermer ses portes tout récemment. Les autorités de régulation américaines ont ordonné cette fermeture après que la banque ait été déstabilisée par des retraits massifs. Mais, pour l’ancien député américain Barney Frank, la décision des régulateurs n’était pas justifiée. Il s’agissait surtout d’une stratégie pour ébranler le secteur.
Actuellement, les régulateurs américains mènent une répression contre les stablecoins. Malgré tout, la communauté crypto n’hésite pas à lancer de nouveaux projets de stablecoins. Beaucoup de ces projets sont indépendants du dollar américain. À ce propos, l’ancien PDG de l’exchange crypto BitMEX a récemment proposé un projet de stablecoin basé sur le bitcoin.
Avec sa politique de répression des cryptos, la SEC n’hésite pas à interférer dans les affaires judiciaires des entreprises crypto. Les acteurs de la nouvelle industrie ont en vain critiqué ce comportement de la Securities and Exchange Commission des États-Unis. À présent, un juge du district sud de New York rend une décision qui pourrait freiner le régulateur dans ses ardeurs.
Mi-février, le NYDFS a ordonné la suspension de l’émission de BUSD signant l’interruption du partenariat entre Paxos et Binance. Pour Binance, cette décision est assez compromettante pour ses activités. Car le stablecoin BUSD est l’un des projets majeurs sur lesquels table la firme crypto. D’aucuns se demandent si la compagnie pourrait survivre longtemps à la disparition du stablecoin.
Face à une adoption irrésistible des cryptomonnaies, les États n’ont trouvé d’autres moyens que de se lancer dans l’émission des CBDC pour tenter de les évincer. Pas plus tard qu’hier, l’Australie a annoncé le lancement de son projet pilote CBDC. La Reserve Bank of Australia travaillera avec le secteur privé pour explorer plus d'une douzaine de cas d'utilisation.
Le projet d’émission d’une monnaie numérique de banque centrale CBDC ne fait pas l’unanimité dans le pays. Cependant, l’administration Biden attend bien mener le projet à bon port quoi qu’il en coute. Dans une audition sénatoriale, un ancien conseiller du président américain a déclaré qu'il travaillait à cette fin. Selon lui, l’objectif est d’évincer les cryptomonnaies, car celles-ci aident les adversaires de la sécurité nationale des États-Unis à contourner les sanctions.
Alors qu’il dit tenter de réparer son tort depuis qu’il a été libéré sous caution, SBF, l'ex patron de l’exchange en faillite, FTX doit faire face à une nouvelle pression juridique. Les procureurs en charge de l’affaire ont chargé l’accusé de quatre nouveaux chefs d’accusation, portant la totalité des chefs d’accusation à douze. Des sources judiciaires indiquent que l’ex magnat de la cryptosphère risque désormais jusqu’à 100 ans de prison.
La semaine dernière, le régulateur financier de New York a ordonné d’interrompre l’émission, sur Binance, du stablecoin Binance USD (BUSD). Un coup dur pour l’exchange crypto, qui doit s’exécuter d’ici le 21 février prochain. En attendant, Binance prospecte une autre possibilité, qui pour certains analystes, a peu de chance d’aboutir.
Quels seraient les impacts de cette décision d'arrêt de l'émission du BUSD sur le marché des cryptos ?
Pour les agences américaines de régulation des marchés financiers et boursiers, 2023 est placée sous le signe du contrôle accru des opérations. Depuis le début de cette année, les révélations d’investigations dirigées contre des firmes crypto se sont multipliées. Plus que jamais, la protection des utilisateurs du marché baissier semble au cœur de leurs activités. Paxos est désormais dans le viseur des autorités.
L’ex-PDG de FTX, celle qui était l’une des plus importantes plateformes crypto, devrait encore attendre un peu avant de recouvrer sa liberté. Arrêter depuis décembre dernier aux Bahamas, Sam Bankman Fried s’est vu, depuis, refusé une mise en liberté sous caution. Les restrictions de mise en liberté sous caution resteront en place jusqu'au 21 février à la suite de la décision du juge de prolonger l'interdiction d'utiliser certaines applications de messagerie.
La chasse aux mineurs de bitcoins est loin de finir. Un groupe des militants écologistes de Finger Lakes en partenariat avec le Sierra Club disent non au mining. Ils s'opposent à l'exploitation d'une centrale électrique désaffectée de Seneca Lake utilisée pour le minage de bitcoins.
Le New York Department of Financial Services (NYDFS) a mis en exergue la nécessité de protéger les investisseurs en cas d’insolvabilité d’un actif virtuel.
Le frère d'un ancien chef de produit de Coinbase est reconnu coupable de délit d'initié en cryptomonnaies. Il écope de 10 mois de prison. Il s'agit de Nikhil Wahi, poursuivi par les autorités américaines avec son frère Ishan et son ami Sameer Ramani. La justice leur reproche d'avoir mené une conspiration pour profiter d'informations privilégiées sur le trading de Coinbase en juillet dernier.
Le Breton Aurélien Michel arrêté à New York pour fraude aux NFT : identifié facilement après laissé ses traces partout sur le web !
Le plus grand exchange crypto aux États-Unis est dans de beaux draps actuellement ! En effet, Coinbase est accusé de faits très graves par les autorités de régulation de New York. Il devra verser 100 millions de dollars aux régulateurs en s’engageant à devenir davantage conforme. Voici ce qui s’est concrètement passé.
Le 15 décembre, le Département des services financiers (DFS) de l’État de New York a publié une série de directives. Il s’agit des orientations que les banques doivent désormais respecter avant de proposer des services crypto. Ces lignes directrices ont été conçues spécifiquement pour les banques réglementées. Découvrez le contenu du document de 11 pages produit par le régulateur de l’État de New York, qui est particulièrement exigeant en matière de crypto.
Le Département des services financiers de l'État de New York (DFS) a désormais autorité pour percevoir des frais de surveillance auprès des sociétés cryptos. Adrienne Harris, la surintendance du service a présenté une nouvelle proposition de loi afin de faire payer ces entreprises pour la supervision.
Depuis quelques années aux États-Unis, plusieurs régimes de retraites ont inclus les cryptos dans leurs retraites. La pratique s’est largement développée, avec la croissance soutenue qu’a connue le secteur, avant le début du marché baissier. Beaucoup d’entreprises ont fleuri grâce à elle. Récemment, il est apparu que le recours aux cryptos n’a pas été porteur pour de nombreux régimes de retraite. Ceux-ci ont accusé le coup de l’onde de choc sur le marché et ont perdu de l’argent. Ceci, en mettant en danger les avoirs de leurs clients. Des voix s’élèvent désormais pour mettre fin à ce système.
Wall Street Journal a annoncé, ce jour, que la Bank of New York Mellon (BNY Mellon) a obtenu l’aval du régulateur financier de la ville éponyme pour offrir des services de garde de bitcoin.