La Réserve fédérale a annoncé mercredi qu'elle augmentait son taux directeur des fonds fédéraux à plus de 5 % dans un contexte de lutte contre l’inflation.
La Réserve fédérale a annoncé mercredi qu'elle augmentait son taux directeur des fonds fédéraux à plus de 5 % dans un contexte de lutte contre l’inflation.
Le gouvernement britannique envisage un nouveau cadre pour régir à la fois le commerce et le prêt d'actifs crypto. Deux des plus grands acteurs de l'espace crypto, Binance et Circle, ont soumis des commentaires au gouvernement. Ils appellent à une réglementation équilibrée qui favorise l'innovation tout en protégeant les investisseurs.
La compagnie crypto Binance voit rouge depuis quelques jours. Alors qu’il est particulièrement scruté par les régulateurs, la situation de l’exchange va de mal en pis. Les récents appels d’un ancien fonctionnaire de la SEC sont de nature à aggraver la situation de la société.
La très médiatisée affaire judiciaire entre Ripple et la SEC continue de faire parler d’elle. En attendant que le verdict tombe, les analystes spéculent sur les différentes options possibles pour Ripple. Un règlement amiable entre Ripple et la SEC reste possible, mais à des conditions.
Les conseillers présidentiels ont exprimé une certaine hostilité à l’égard des cryptos dans un rapport économique annuel du président. Warren Davidson et Mike Flood, qui sont des membres du Congrès américain, ont rédigé une lettre sur le sujet. La lettre adressée au président du Conseil des conseillers économiques (CEA) exprime leur désaccord avec les conseillers présidentiels.
Le membre du Congrès McHenry annonce des audiences pour aborder la structure du marché autour de la crypto-monnaie. Le service financier mènera les audiences.
Le bras de fer judiciaire de Ripple avec la SEC devrait bientôt connaître son épilogue. En attendant, les spéculations, elles, continuent. Dans l’ensemble, elles donnent Ripple gagnante. Un nouvel élément qui a fuité semble conforter les avis des analystes dans ce sens.
Trois membres du Congrès américain ont adressé une lettre à la Federal Deposit and Insurance Commission (FDIC) pour demander des éclaircissements sur les efforts déployés par les régulateurs pour refuser l'accès aux services bancaires à l'industrie des cryptomonnaies. Cette situation inquiétante pourrait nuire à l'innovation dans ce secteur en pleine croissance.
La récente crise bancaire a emporté trois des banques les plus favorables aux cryptos aux États-Unis. Il s’agit de Silvergate, Signature et Silicon Valley Bank. Dans la même période, First Republic Bank, une banque classique, était aussi en crise. Mais contrairement aux trois autres, elle n’a pas sombré. Pour le patron de Gemeni, c’est tout sauf un hasard.
La Securities Commission des Bahamas (SCB) ne se laisse plus abattre depuis le scandale FTX. Elle compte bien reprendre les rênes de la réglementation des actifs numériques et des échanges enregistrés. Elle vient ainsi de publier, le 25 avril, un projet de loi inédit sur le sujet (DARE), ouvrant une période de consultation publique.
Ces derniers mois, la situation de l’industrie crypto américaine s’est complexifiée. Il y a d’abord, le marché baissier qui imposait son diktat. Par la suite, la récente crise bancaire et l’absence de réglementation en ont rajouté une couche. Le cocktail est parfait pour pousser les investisseurs vers la sortie. À moins que le tir ne soit rectifié.
L’Internal Revenue Service (IRS) a précédemment lancé une enquête visant à identifier les utilisateurs de Kraken sous-déclarant leurs obligations fiscales. Pour ce faire, l’agence a déposé en février une demande pour exécuter une assignation auprès de l’exchange. Elle souhaitait obtenir des données sur les comptes Kraken ayant effectué au moins 20 000 dollars de transactions en cryptos. Il s’agit des opérations ayant eu lieu au cours d’une seule année entre 2016 et 2020. Cela dit, Kraken voit d’un mauvais œil l’action de l’IRS. Voici pourquoi.
Les législateurs américains donnent un sérieux coup de pouce à la réglementation des stablecoins de paiement. Dans un nouveau projet de loi, ils ont confié la surveillance des émetteurs de ces actifs à la Réserve fédérale. Et ainsi exiger le respect de critères fédéraux stricts. Mais ce n'est pas tout. La version actuelle du projet de loi a également abandonné l'interdiction des stablecoins algorithmiques.
La réglementation crypto aux États-Unis fait de plus en plus froid dans le dos. Les régulateurs du pays poursuivent les entreprises crypto pour différentes raisons. Aussi, Binance fait partie des sociétés qu’ils ont décidé de cibler. En effet, l’exchange crypto fait l’objet d’un examen minutieux de la part de plusieurs organismes de régulation américains. Binance doit notamment faire face à la Commodity Futures Trading Commission, à la SEC et au ministère de la Justice.
L’anonymat des cryptos est toujours aussi mal apprécié par les régulateurs, à cause des risques qui y sont liés. Christy Goldsmith Romero, la commissaire de la CFTC, l’a bien démontré lors de la City Week. Découvrez les déclarations qu’elle a faites sur le sujet lors d’une conférence organisée à Londres dans le cadre de cet événement.
Depuis un moment, la Securities and Exchange Commission (SEC) connaît les mêmes déboires qu’elle inflige à l'industrie crypto. Ses initiatives pour réguler ce secteur sont remises en cause de toute part. Au sein des politiques, certains veulent limiter, voire lui ôter tout pouvoir réglementaire sur ce marché des cryptos.
La plateforme crypto Binance semble vouloir s'opérationnaliser davantage en Russie. Récemment, des sources ont révélé la levée par Binance d’une partie des sanctions appliquées au pays. Une information confirmée par un nouvel élément.
L’application du droit fiscal est l’une des raisons pour lesquelles les gouvernements du monde entier veulent réglementer les cryptos. Ceci leur permettrait en fait de bénéficier d’une partie de milliers de milliards qui y passent chaque année. La France y arrive. Enfin… pas autant que ça.
Jusqu’ici, rien n’a réussi à freiner les régulateurs dans leur politique de répression contre les entreprises crypto aux États-Unis. À ce propos, le milliardaire en capital-risque Chamath Palihapitiya a critiqué la SEC dans un nouvel épisode du All-In Podcast. Il a cité la principale conséquence des actions des régulateurs sur le secteur crypto et la raison expliquant celles-ci. Voici ce qu’il en est.
La réglementation du secteur crypto a récemment franchi une étape clef avec l’adoption des normes MiCA en Europe. Pareil en Angleterre où la question connaît également des évolutions remarquables. Au pays de l’oncle Sam cependant, c’est plutôt la chasse aux sorcières qui est priorisée. L’industrie crypto souhaite voir cela changer.
Le gouvernement américain a longtemps été pointé du doigt pour sa passivité vis-à-vis du secteur crypto. Apparemment, il entend rectifier le tir dans une certaine mesure. Ceci, même si quelques dents grincent.
En 2022, l’Ukraine a engagé une procédure pour adhérer à l’Union européenne (UE). Elle n’en est donc pas encore membre. Pour autant, l’État veut s’inspirer de la nouvelle réglementation sur les cryptos en Europe (MiCA). Une mesure jugée pertinente pour les autorités, mais aussi stratégique. Les cryptos contribuent en effet à l’effort de guerre contre la Russie.
Jeudi 20 avril, la réglementation MiCA de l’Union européenne (UE) sur les cryptos a été adoptée. Cette norme fixe une nouvelle ligne directrice pour l’industrie crypto. Elle peut surtout être un modèle pour l’industrie crypto global. En effet, ailleurs comme aux États-Unis, ça tergiverse encore.
Le PDG de Coinbase, Brian Armstrong, a été interviewé le 18 avril sur CNBC. Il a évoqué les problèmes de l’exchange avec la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Ses propos suggèrent qu’une bataille judiciaire se prépare entre la SEC et Coinbase. Voici ce qu’il en est.
Nous assistons à la faillite d’un système monétaire et bancaire à bout de souffle. Les dettes souveraines insoutenables, les politiques monétaires désastreuses et l’inflation incontrôlée expliquent cet écroulement. Le seul moyen, selon les banques centrales, de sauver ce système moribond est de contrôler toutes les transactions monétaires. D’où les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC), ou « Central Bank Digital Currency » (CBDC). Monnaies numériques manipulables par les banques centrales, elles représentent la pierre angulaire d’un futur dystopique. Le contrôle total de leur circulation va impacter notre liberté financière de manière significative. L’enjeu sociétal est énorme, et les réactions futures promettent d’être vives. Analyse de cet échec prévisible d’une forme de servitude, et des alternatives qui ne manqueront pas d’apparaitre pour y échapper.
Le vote du projet de loi MiCA a été reporté à deux reprises à compter de novembre 2022. Mais, il a été finalement effectué ce 20 avril. Le projet de loi ainsi adopté vise à créer un meilleur cadre réglementaire pour les cryptos au sein de l’UE. Découvrez la réaction des leaders de l’industrie crypto concernant l’adoption du règlement MiCA.
Hong Kong, que l'on croyait pro-crypto jusqu'au bout des ongles, vient de prendre tout le monde à contre-pied en classant les actifs numériques comme étant de la propriété. Une grande déception pour la communauté crypto ! L'affaire qui a tout déclenché portait sur les actifs de crypto détenus par l'ancien exchange Gatecoin. La Haute Cour de Hong Kong a finalement tranché en défaveur de la crypto, la reconnaissant en tant que propriété.
Découvrez comment la réglementation crypto en Belgique évolue avec la surveillance des publicités. De nouvelles mesures sont mises en place.
Austin Campbell est un professeur adjoint à la Columbia Business School. L’expert est intervenu lors d'une audition organisée le 19 avril par la commission des services financiers de la Chambre des représentants. Il a évoqué les risques liés à l’absence de réglementation sur les stablecoins aux États-Unis.
La commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen vient de publier un document analytique pertinent. Celui-ci est intitulé "Euro numérique : dans le doute, s'abstenir (mais se préparer)". Il dresse un bilan mitigé de la CBDC européenne. Voici ce qu’il en est.