Lentement, mais sûrement, la Russie se taille la part du lion dans le mining de cryptomonnaies.
Lentement, mais sûrement, la Russie se taille la part du lion dans le mining de cryptomonnaies.
Le bitcoin (BTC) est une révolution technologique qui permet d’avoir une monnaie neutre, incensurable et inarrêtable… ou presque. À condition de ne pas capter plus de la moitié de la puissance de calcul du minage. Ce serait le seul moyen techniquement possible de contrôler le réseau et de censurer des transactions. Ce scénario reste très improbable. Toutefois, 40 % des pools de minage de BTC sont concentrés aux États-Unis depuis l’interdiction, en 2021, du minage en Chine. Le minage de BTC peut-il donc dépendre des États-Unis ? Une attaque à 51% est-elle possible de leur part ou de celle d’autres puissances ? Analysons les conditions d’un éventuel contrôle du minage de BTC par les États-Unis, et toutes les conséquences associées.
En Asie, la lutte contre la domination du dollar fait actuellement partie des priorités majeures. La Chine a pris plusieurs mesures allant dans ce sens. Fin mars, elle s’est alliée au Brésil pour mettre fin à la dépendance du dollar pour les échanges commerciaux. Les deux pays ont décidé d’utiliser désormais uniquement leurs monnaies nationales pour effectuer des transactions. À présent, un autre pays décide de s’associer à la Chine pour la même cause.
Depuis quelque temps, la Chine contredit son interdiction des cryptos en s’impliquant activement dans le développement du secteur. Selon le PDG de Galaxy Digital, le fait que le pays soit moins hostile pourrait considérablement avantager l’industrie. Mike Novogratz a précisé les effets que cela pourrait avoir précisément sur le bitcoin (BTC).
Les États-Unis commencent à s’affoler de voir le reste du monde s’écarter du dollar. La guerre proxy en Ukraine et les tensions avec la Chine se muent en fronde globale contre le billet vert.
La Chine conserve une position anti-crypto, mais elle reste très active en matière de développement de la technologie blockchain. À ce propos, un livre blanc national a révélé que plus de 1 400 entreprises blockchain opèrent dans le pays. En fait, les autorités chinoises ont utilisé la nouvelle technologie pour développer de manière plus active leur industrie fintech. Au fil du temps, la Chine a réalisé des avancées notables dans le secteur de la blockchain. Aussi, le gouvernement a récemment indiqué que le pays entend continuer dans ce sens.
La dédollarisation accélère. L'émancipation des nations sur le plan monétaire est de très bon augure pour le Bitcoin.
La Chine était en 2021 la 13e des 20 nations émergentes où les cryptos progressaient le plus. Un rang qu’elle a abandonné pour la 10e place en 2023. Paradoxalement, le pays a officiellement banni les cryptos de son territoire. Pour plusieurs analystes, ce bannissement n’est manifestement qu’apparent au vu des récentes évolutions.
La Russie étudie depuis plusieurs mois les moyens de réduire sa dépendance à l'égard du dollar américain et des systèmes financiers traditionnels. Ceci, en raison des sanctions imposées par les pays occidentaux, en réponse à son invasion de l'Ukraine, en février 2022. Depuis lors, les autorités travaillent d’arrache-pied pour favoriser le développement et l’adoption de technologies blockchain et de crypto paiements, afin de contourner les restrictions. Un pas de géant vient d’être fait dans ce sens.
Dans l’univers de la crypto, ce ne sont pas les nouveautés qui manquent. L’écosystème est plein de génies que chaque jour il y a des nouveaux projets qui séduisent des nouveaux acteurs, voire des États. Dans cet article, découvrez le récap crypto de la semaine où nous reviendrons sur l’essentiel de l’actualité dans l’univers crypto des sept derniers jours.
Le gouvernement chinois a annoncé l’interdiction des cryptos à la fin de septembre 2021. Mais, alors que Hong Kong fait part de ses ambitions dans le secteur, Pékin semble le soutenir. En tout cas, le gouvernement chinois n’a pas exprimé son opposition face à ces ambitions. Ceci remet en question sa position concernant les questions relatives aux cryptos en Chine. Que se passe-t-il donc ?
Le come-back avec les cryptos semble loin pour le PCC. Sauf si les contenus de ce rapport sont vrais.
Hong Kong met la barre très haut en espérant récolter 102 millions de dollars américains grâce à l’émission pilote de ses green bonds.
Le marché des cryptos connait une reprise depuis le début de cette année. En effet, jusqu’ici, le bitcoin (BTC) par exemple a enregistré une augmentation d’environ 40 %. Parallèlement, son grand rival, l’ether (ETH), est en hausse d’environ 35 %. Aussi, ces dernières années, le secteur crypto a montré son utilité dans le quotidien des consommateurs. Malgré tout, il a encore de farouches détracteurs qui le trouvent inutile et dangereux. C’est ce qu’a démontré l’investisseur mythique Charlie Munger lors de son intervention durant l’assemblée annuelle des actionnaires du Daily Journal.
Le potentiel de la blockchain en termes d’applications ne cesse de s’élargir. Cette technologie, dont le développement est en cours, tend à pénétrer de nombreux secteurs économiques. De plus en plus, les entreprises, notamment celles opérant dans des domaines stratégiques comme la téléphonie mobile, n’hésitent plus à en faire le fer de lance de leur politique de croissance.
Saviez-vous que le Vietnam est le pays avec la plus forte adoption des cryptomonnaies ? Saviez-vous que le secteur DeFi se développe tout particulièrement aux Etats-Unis et au Royaume-Uni ?
Après l’effondrement de la crypto Terra Luna l’an passé, la banque des règlements internationaux a pris un ensemble de mesures. Notamment le plafonnement à 1 % des réserves en bitcoins des banques. En 2023, elle entend développer une plateforme de surveillance des stablecoins et se concentrer davantage sur les CBDC des…
En décembre, un ancien haut cadre de la banque centrale chinoise a révélé que l’adoption de la CBDC était faible. Il a déclaré que les résultats des tests de l’e-CNY n’étaient « pas idéaux ». Selon lui, l’utilisation du yuan numérique a été faible et très inactive. À l’époque, le gouvernement chinois n’a pas reconnu les faits. Pourtant, les récentes mesures de promotion de l’e-CNY montrent qu’il tente par tous les moyens d’améliorer l’adoption du yuan numérique.
Il est courant d’entendre dans l’écosystème crypto que le dollar est littéralement sur son lit de mort. Agonisant, le billet vert serait sur le point de disparaître, remplacé par l’or, le yuan ou le bitcoin. Ce ne serait qu’une question de temps avant que l’Empire Américain et sa devise nationale perdent leur suprématie. Qu’en est-il vraiment ?
Selon l’économiste chinois Huang Yi-ping, la Chine devrait reconsidérer son interdiction des crypto. Il a averti que l’interdiction des activités crypto pourrait conduire la Chine à rater des opportunités dans le développement des technologies numériques. Il exhorte alors le gouvernement à modifier ses réglementations sur la crypto.
« La crypto n’est ni une monnaie ni un titre. Les États-Unis devraient l’interdire ». Voilà un extrait de la déclaration de Charlie Munger.
Nostr est un réseau social décentralisé que Jack Dorsey a fondé et dans lequel il a investi 14 BTC. À l’époque, l’investissement réalisé représentait 245 000 dollars. Cela dit, au-dessus de Nostr, on retrouve l’application Damus qui se présente comme une alternative à Twitter. L’application prend en charge le réseau Lightning de Bitcoin. Elle affiche une forte résistance à la censure, mais son caractère décentralisé la rend illégale dans certaines juridictions.
L’intérêt pour la blockchain Tron est croissant. Récemment la Dominique et Saint-Martin ont adopté la crypto native de la blockchain, le TRX. Désormais, les dirigeants de Tron croient en la capacité de leur plateforme, à conquérir de nouveaux territoires, même les plus hostiles.
Ce qui est en jeu en Ukraine, c'est le privilège exorbitant du dollar. Une défaite se soldera par la décomposition de l'Empire US.
Red Date Technology est une société d’infrastructure blockchain. L’entreprise s’occupe actuellement de la réalisation d’un projet blockchain pour la Chine. Parallèlement, elle a lancé un système innovant lors de l’édition 2023 du Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse. Découvrez ce projet blockchain axé sur les stablecoins et les CBDC.
La Chine est avant-gardiste sur le développement de la monnaie numérique de banque centrale (CBDC), en commençant à la tester dès 2020. Aujourd’hui, le pays a activé la fonctionnalité de contrat intelligent pour sa CBDC, le yuan numérique. Cette nouvelle fonctionnalité est lancée via l’application Meituan et inclut de nouveaux cas d’utilisation.
Depuis sa première utilisation pour simplifier des transactions sur le marché à terme, l’e-CNY ne cesse de se développer. En effet, depuis août 2021, les autorités chinoises ont réalisé avec succès plusieurs tests avec le yuan numérique. La monnaie numérique chinoise a été notamment utilisée dans le domaine des soins médicaux, des transports, de la fiscalité et des prêts. Il faut dire que l’année passée, les autorités chinoises ont accéléré les choses avec des avancées notables. À présent, un nouveau cas d’utilisation de la CBDC chinoise est expérimenté.
Selon CryptoQuant, la Chine est sur le point de marquer son grand retour sur le marché de la crypto. Des signes significatifs semblent indiquer son retour selon les données recueillies. Ces indicateurs incluent entre autres, la croissance des volumes sur les marchés dérivés et au comptant. La Chine constitue aujourd’hui un des plus grands marchés crypto dans le monde. Pourtant, elle a longtemps connu des restrictions d’activités liées à la crypto.
L’autorité des télécommunications du Népal a ordonné aux fournisseurs d’accès à Internet (FAI) de bloquer toute activité liée aux crypto. Cette déclaration du 8 janvier intervient à la suite de nombreuses restrictions déjà faites auparavant. L’autorité met en garde quiconque tenterait de se livrer à ces activités. Malgré cette interdiction, le Népal se classe parmi les pays ayant une forte adoption des cryptos.
2023 s’annonce aussi mouvementé que 2022. Les tensions géopolitiques vont se renforcer et offrir un terrain fertile pour le Bitcoin.