En procès pour fraude et plusieurs autres chefs d’accusation, Sam Bankman-Fried, ex-PDG de FTX affirme que la branche US reste solvable.
En procès pour fraude et plusieurs autres chefs d’accusation, Sam Bankman-Fried, ex-PDG de FTX affirme que la branche US reste solvable.
Netflix propose une série sur Bernard Madoff, nous rappelant ainsi que les Ponzi ne touchent pas que le secteur des cryptomonnaies !
Dans la première section Industrie du CMC Crypto Playbook 2023, l'ACJR analyse les principales couvertures médiatiques en matière de crypto cette année, ainsi que le futur rôle du journalisme crypto grand public.
Anthony Scarammuci est le PDG du fonds d'investissement Skybridge Capital. Celui-ci envisage de racheter les parts de FTX tout en notant qu'il y avait une fraude dans la débâcle de SBF et FTX. Le PDG de SkyBridge Capital a déclaré que sa société peut racheter la participation de l'entreprise qu'elle a vendu à FTX en septembre de l'année dernière. D'autre part, Mike Novogratz, le PDG du fonds d'investissement Galaxy Digital, a quant à lui indiqué qu'il serait tenté de « frapper » Sam Bankman Fried, ex-PDG de FTX, dans la mâchoire.
Sam Bankman-Fried a ordonné à Gary Wang, le cofondateur de FTX, d'ouvrir la prétendue ligne de crédit financée par les clients de la bourse. Une ligne de crédit est un type de prêt qui permet à un individu ou à une entreprise d'emprunter de l'argent en fonction de leurs besoins et de leur capacité de remboursement. La ligne de crédit est établie à l'avance par une institution financière. L'emprunteur peut utiliser la ligne de crédit à volonté, remboursant les fonds empruntés avec des intérêts sur une base régulière. Il est souvent utilisé pour des besoins à court terme ou pour des dépenses imprévues.
« Je n'ai pas volé de fonds (…) Presque tous mes actifs sont toujours utilisables pour soutenir les clients FTX. » Voilà le message de SBF.
D’abord, il y avait eu la SEC. Maintenant, c’est au tour d’Alameda-FTX de se dresser contre le rachat par Binance.us de Voyager.
Un nouveau son de cloche retentit dans l’affaire FTX. En effet, la fraude commise par l’ancien PDG de l'échange, Sam Bankman-Fried, a causé des pertes colossales pour des milliers d'investisseurs. Malgré les mois passés, les victimes n’en décolèrent pas et réclament justice. Il semblerait que leurs prières aient été entendues. Car, le bureau du procureur américain pour le district sud de New York a pris les choses en main. C’est du moins ce qu’annonce Cointelegraph relativement au dossier FTX.
Les documents déposés au tribunal des faillites du Delaware ont permis de découvrir que la branche bahamienne de FTX aurait dépensé environ 40 millions de dollars en frais d’hôtels, nourritures et voyages en moins d’un an.
Daniel Friedberg était l'invité d'une réunion le 22 novembre, avec le ministère de la Justice, le FBI et la SEC. Collaborant avec ces instances, l'ancien avocat de FTX leur fournissait des informations sur l'entreprise.
Un rapport de Reuters révèle que le ministère de la Justice américain a ordonné la saisie d’actions Robinhood Markets Inc liées à l’ancien PDG de FTX.
En fin d’année dernière, FTX, le 2e plus grand exchange au monde, faisait faillite, plongeant l’industrie dans la tourmente. Dans la foulée, une chasse aux sorcières était lancée et le coupable désigné était logiquement Sam Bankman-Fried, l’ex-PDG de la plateforme en crise. Incarcéré dans un premier temps, puis libéré sous caution de 250 millions de dollars, le mis en cause s’était réfugié chez ses parents en attendant sa comparution prévue ce 3 janvier devant le juge de district sud de New York, Lewis Keplan. Accusé de 8 chefs d’accusation distincts, SBF réitère son innocence et refuse de plaider coupable.
Ryan Salame, ancien co-PDG de FTX, a choisi d’investir dans 6 restaurants dans les Massachusetts, état dont il est originaire.
L’écosystème de Terra (LUNA) s’est effondré l’année passée, occasionnant une perte de 40 milliards de dollars. Cet effondrement spectaculaire a conduit à celui du célèbre fonds spéculatif Three Arrows Capital (3AC). À présent, le fondateur de 3AC, Zhu Su, cite ceux qui sont, selon lui, les véritables responsables de l’effondrement de Terra.
L’effondrement de FTX a provoqué une onde de choc pour l’ensemble de l’écosystème crypto. Toutefois, cette faillite impacte également des secteurs que l’on pourrait penser être éloignés de la cryptosphère. C’est le cas du sport et de l’e-sport. En effet, via le sponsoring FTX avait tissé des liens importants avec le monde sportif. Dans cet article, on va aborder les partenariats noués entre FTX et le monde du sport, les conséquences directes de sa faillite pour ses organisations sportives partenaires. Et, plus généralement, on va analyser la transformation du lien entre entreprises crypto et géants du sport à la suite de la faillite de FTX. Se dirige-t-on vers la fin du sponsoring sportif pour les exchanges à cause de la débandade FTX ? Une chose est certaine, pour le sponsoring sportif des sociétés crypto, il y aura un avant et un après FTX.
De nouveaux rapports sont sortis concernant SBF et ses deux sociétés crypto en faillite. Ils révèlent qu’avant FTX, le dirigeant déchu a failli provoquer la chute d’Alameda Research. Découvrez ce qu’il en est.
Sam Bankman-Fried est le fondateur de l'exchange de cryptomonnaies FTX qui s'est effondré récemment. Celui-ci plaidera non coupable de la fraude et des autres accusations portées contre lui lors de sa prochaine comparution. Selon un rapport du Wall Street Journal, qui cite une personne au courant de la situation, Bankman-Fried devrait plaider non coupable à Manhattan le mardi 3 janvier.
L’étau se resserre pour Sam Bankman-Fried, l’ex-PDG de l’exchange crypto en chute FTX. En effet, les soupçons de détournement d'un montant de 1.8 milliard de dollars appartenant aux investisseurs via FTX pèsent sur lui. Actuellement libre sous caution, il pourra plaider sa cause devant les instances judiciaires du tribunal fédéral de Manhattan. En cas de condamnation, SBF pourrait écoper jusqu'à 115 ans de prison.
Le ministère de la Justice américain a ouvert une enquête criminelle pour le piratage FTX la nuit où l'exchange déclarait sa faillite.
C’est l’heure du bilan de la fin de l’année et la monnaie créée par Satoshi Nakamoto ne fait pas exception. S’il y a une chose à retenir pour le bitcoin (BTC) cette année, c’est qu’elle a été tout sauf un fleuve tranquille. Les jours de la reine des cryptomonnaies n’ont pas été de tout repos. Au travers des montagnes russes, elle a mené sa barque au gré du bear market. Ainsi, c’est dans un contexte morose où certains sceptiques avaient déjà programmé sa mise à mort qu’elle a démontré la résilience. Heureusement, la reine des cryptos n’a pas dit son dernier. Plongeons dans la rétrospective d’une année inoubliable.
Dans une bataille juridique, FTX, par la voix de son président déchu Sam Bankman-Fried, implore l’aide du tribunal américain des faillites. L'échange crypto serait impliqué avec deux autres protagonistes dans un litige pour la propriété de RobinHood Market (HOOD). Cette société est évaluée à 450 millions de dollars d’actions. Fried a soumis des doléances auprès du juge dans un dossier, afin d’apporter des solutions à cette malheureuse situation.
Sans action et réglementation strictes, la crypto posera un problème systémique, dixit le vice-gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Les mystères entourant l’effondrement de FTX commencent à se dissiper peu à peu. De nouveaux éléments s’ajoutent aux dossiers de Sam Bankman-Fried. Cette fois, ce sont deux anciens collègues de l’ex-PDG de FTX qui ont plaidé coupable de fraude devant le juge fédéral de Manhattan. Loin d’être résolue, l’affaire FTX suscite encore de nombreux questionnements, notamment sur les contrôles et les régulations des entreprises.
Sam Bankman-Fried, l’ex-patron de l’exchange crypto, FTX a été extradé vers les États-Unis, mercredi soir. Il a accepté de rentrer dans son pays, pour faire face aux poursuites judiciaires dont il fait l’objet. Entre autres, on lui reproche d’avoir utilisé les avoirs de ses clients pour réaliser des investissements personnels. On chiffre le préjudice à plusieurs milliards de dollars. L’affaire FTX est déjà considérée comme l’un des plus grands scandales financiers de l’histoire des États-Unis.
La débâcle de FTX a rabattu les cartes entre échanges centralisés (CEX), échanges décentralisés (DEX) et Cold Wallets. Justement, Albert Einstein prétendait qu'« au milieu de toute crise se trouve une grande opportunité ».
Le Wall Street Journal a publié un article d’opinion sur SBF le 18 décembre passé. L’article était intitulé « Où était le shérif de la SEC (de Biden) au moment de l’affaire Sam Bankman-Fried ? ». « Où était le shérif de la SEC lorsque Sam Bankman-Fried acheminait les fonds des clients de FTX vers sa maison de trading Alameda Research pour financer des paris risqués et un style de vie somptueux ? », pouvait-on lire dans l’article. Il n’en a pas fallu plus pour faire réagir Brad Garlinghouse, le PDG de Ripple.
Sam Bankman-Fried, le fondateur de l’exchange de cryptos FTX est aux arrêts depuis le 12 décembre dernier aux Bahamas. Son arrestation était le résultat de l’inculpation d’un grand jury du tribunal fédéral de Manhattan aux États-Unis. On lui reproche notamment d’avoir détourné les fonds de ses clients et investisseurs. Ceci, afin de combler les pertes de son fonds spéculatif Alameda Research. Depuis, des milliers de personnes appellent à son extradition immédiate vers son pays d’origine.
Les comités de campagne démocrates demandent le remboursement de plus d'un million de dollars de dons de FTX Bankman-Fried. Bankman-Fried a fait plus de 40 millions de dollars en dons de campagne, juste derrière George Soros.
Scandale FTX oblige, les autorités des marchés financiers américaines musclent leur jeu. Après les CSA canadiens, la SEC américaine hausse également le ton. Sale temps pour les casin
Que de rebondissements dans la saga FTX ! De nouvelles révélations viennent suggérer que Sam Bankman-Fried était sur le point de commettre d’autres malversations après l’effondrement de FTX. Elles pourraient fortement aggraver la mésentente actuelle entre les responsables de la restructuration de FTX aux États-Unis et les autorités des Bahamas.