De toutes les initiatives d’élus américains sur les cryptos, celles des républicains semblent les plus crypto-friendly.
De toutes les initiatives d’élus américains sur les cryptos, celles des républicains semblent les plus crypto-friendly.
En début de semaine, Gary Gensler, le responsable de la SEC a officialisé des poursuites judiciaires contre Binance. La compagnie en a pris acte et soulève déjà un élément qui pourrait anéantir la légitimité du patron dans ce dossier.
Dans un paysage crypto rythmé par des hauts et des bas, le Dogecoin, soutenu par l'entrepreneur de renom Elon Musk, tente de naviguer entre les récifs de la régulation financière et les marées imprévisibles du marché. Face à des défis croissants, la "crypto de l'homme du peuple" peut-elle encore compter sur l'appui de son éminent "Dogefather" ?
Nous assistons à la faillite d’un système monétaire et bancaire à bout de souffle. Les politiques monétaires désastreuses et l’inflation incontrôlée expliquent cet écroulement. Les banques centrales ont tenté jadis de sauver l’économie en injectant massivement des liquidités dans le système financier. Cette initiative, née suite à la crise du Covid, a été suivie d’une hausse drastique des taux directeurs. Ce qui a mis en péril bon nombre de dettes souveraines. Les monnaies devenues hyper-inflationnistes ne remplissent plus leur rôle de réserve de valeur. La confiance envers les monnaies comme le dollar s’effrite, et le cycle monétaire du dollar touche inexorablement à sa fin. L’urgence d’une monnaie neutre, transparente, décentralisée et surtout rare se manifeste progressivement. C’est précisément la mission du Bitcoin, dont la rareté absolue est gravée dans le marbre de son protocole. Tentons de démystifier cette notion de rareté numérique, garante d’une réserve de valeur fiable.
La SEC a engagé des poursuites judiciaires contre Binance et Coinbase respectivement. Les griefs du gendarme de la bourse américaine à l’encontre de ces mastodontes de l’industrie crypto sont graves. Toutefois, les enjeux ne sont pas les mêmes pour chacune d’elles.
Deux membres du Congrès américain ont fait part de leurs inquiétudes concernant les pratiques de conformité fiscale en crypto au trésor et à l’IRS.
La SEC est engagée depuis plusieurs semaines dans une chasse aux sorcières contre les firmes cryptos. Une position qu’elle défend bec et ongle pour, selon elle, assainir l’industrie américaine des cryptos et encourager sa croissance. Beaucoup d’acteurs de cette industrie ne perçoivent pas les démarches du régulateur de cette manière.
Gary Gensler a fait face à la presse pour expliquer les lourdes accusations portées par la SEC contre les exchanges Coinbase et Binance.
William Hinman n’est pas un individu lambda pour les acteurs de l’industrie des cryptos. Dans un discours prononcé en 2018, celui-ci avait déclaré que l’Ethereum n’est pas un titre. Une position favorable aux cryptos qui pourrait jouer un rôle dans la victoire annoncée de Ripple.
La réglementation crypto en Europe fait toujours parler d’elle. Maintenant que des règles sont adoptées sur ce marché, leur portée et leurs retombées réelles interrogent. Certains experts comme le président d’Ethereum France ont un avis tranché sur la question.
La réglementation crypto se clarifie de plus en plus en Europe. Une avancée majeure se profile alors que les législateurs britanniques réclament maintenant la mise en place d'un rôle gouvernemental spécifique dédié à la supervision de ce secteur en plein essor. Cette initiative a pour objectif de protéger les consommateurs tout en consolidant la position de leader du pays dans l'industrie des actifs numériques.
Comme CZ, Brian Armstrong ne pense pas se laisser faire aussi facilement.
Face aux pressions réglementaires croissantes, le paysage crypto s'organise et se défend. Au cœur de ce tumulte se trouve Tornado Cash, une plateforme victime de sanctions qualifiées d'illégales par les lobbyistes du secteur.
Dans un contexte de tension croissante entre les régulateurs financiers et les plateformes de cryptos, l’annonce d’une nouvelle action en justice de la SEC (Securities and Exchange Commission) contre Binance a jeté un pavé dans la mare. La SEC accuse Binance d’avoir gonflé artificiellement ses volumes de transaction et d’avoir enfreint plusieurs règles, notamment en ce qui concerne l'accès des utilisateurs américains à sa plateforme. Toutefois, un détail a particulièrement interpellé certains observateurs : l’absence pour le moins inattendue du XRP de Ripple de la liste des cryptomonnaies que la SEC considère désormais comme des titres. Alors que le XRP subit depuis deux ans les assauts de la SEC, cette absence suscite une multitude d’interrogations. Pourquoi XRP est-il absent de cette liste ? S’agit-il d’une stratégie délibérée de la part de la SEC ? Quelles peuvent être les répercussions de cette décision ?
En attaquant un exchange crypto à 200 millions d’utilisateurs, la SEC ne s’en prend-elle pas à toute l’industrie crypto ?
Binance se retrouve actuellement sous le coup d’une procédure judiciaire intentée par la SEC. Le motif de la poursuite : trading de tokens considérés comme des titres. Le PDG de Binance a répondu à ces accusations, tandis que la plateforme a exprimé sa déception face à la plainte déposée par la SEC.
Le procès en cours opposant la SEC à Ripple reste au cœur des discussions au sein de la communauté crypto. L'avocat américain et fondateur de CryptoLaw, John Deaton, a récemment apporté son éclairage sur cette affaire lors d'une entrevue exclusive accordée au "Good Morning Crypto Show" de la 3T Warrior Academy. Selon Deaton, les chances de voir XRP sortir victorieux de cette bataille juridique s'élèvent à 75 %.
Alors que les cryptomonnaies continuent de bouleverser le monde financier, les législateurs américains se penchent sur leur régulation. Un projet de loi prometteur pourrait redéfinir le paysage réglementaire de la cryptomonnaie en confrontant la Securities and Exchange Commission (SEC) à un nouveau défi.
On l’avait oublié, mais voilà plus d’un an que la République Centrafricaine est devenue le deuxième pays à légaliser le bitcoin et les cryptomonnaies. Entre-temps, le projet s’est pour le moins enlisé face à une impréparation manifeste et à des oppositions internes...
Le Parlement européen préconise que les crypto-actifs doivent être traités comme des titres par défaut. Les législateurs européens estiment que les nouvelles lois dans le cadre du MiCA pourraient avoir peu de retombées positives à court terme. Une telle situation appelle donc à une réglementation plus claire et plus complète.
La sénatrice Elizabeth Warren est contre l’émergence des cryptos. Alors qu’on soupçonne ces dernières de contribuer à blanchir le revenu d’activités illégales, la sénatrice se sent investie d’une mission. Celle de faire en sorte que de telles activités ne prospèrent plus.
Les normes MiCA sur les cryptos en Europe constituent actuellement l'une des réglementations les plus abouties dans le monde. Après avoir franchi toutes les étapes procédurales nécessaires à son adoption, elle va désormais rythmer le fonctionnement des firmes cryptos eu Europe.
Bybit, la plateforme d’échange de cryptomonnaies bien connue, a décidé de faire ses adieux au marché canadien, suivant ainsi les traces de Binance en raison des contraintes réglementaires. Confrontée à ces nouvelles exigences imposées par les autorités, Bybit se voit contrainte de suspendre ses produits et services destinés aux résidents canadiens.
Binance annonce délister douze cryptomonnaies sous la pression réglementaire française. Monero en fait partie.
Après avoir affiché des positions mitigées, le gouvernement russe a décidé d’abandonner son plan de création d’un exchange crypto unique, appartenant au pouvoir public. Désormais, il décide de se concentrer sur le vote de lois et l’établissement de lignes directrices pour les sociétés privées évoluant dans l’univers des cryptomonnaies.
Les courriels de Hinman, l’ancien patron de SEC, sont essentiels dans le procès de celle-ci contre Ripple. On estime qu’ils pourraient renfermer la preuve mettant fin aux débats sur la nature du XRP, l’actif natif de Ripple. Cependant, l’accès à ceux-ci a été bloqué par la justice. Verrou qui pourrait être totalement levé.
En raison d’une politique réglementaire particulièrement sévère aux États-Unis, nombre de firmes cryptos ont évoqué des intentions de départ. C’est notamment le cas de Binance ou encore de Coinbase qui a finalement changé d’avis.
Le représentant Emmer est l’un des politiques américains les plus favorables à l’industrie crypto. Il a, à plusieurs reprises, contesté la politique mise en œuvre par la SEC pour réguler ce marché. Ceci, en convoquant au Congrès Gary Gensler, le patron du régulateur, afin d’y expliquer le bien-fondé de sa stratégie réglementaire.
La crypto est devenue un sujet brûlant à l’approche de l’élection présidentielle américaine de 2024. En effet, un récent sondage a mis en évidence le soutien massif des électeurs en faveur du droit au Bitcoin lors des élections présidentielles. Selon les résultats, 84 % des électeurs souhaitent que les candidats à la présidence soutiennent ce type d'actif. Cette étude démontre l’importance croissante de la cryptomonnaie dans l’opinion publique et soulève des questions sur son rôle potentiel dans la politique et l’économie.
Généralement, le marché des cryptos récompense les plus perspicaces et persévérants des investisseurs. Ce principe souffre néanmoins de quelques rares exceptions. Quelques fois, certains arrivent à tirer leur épingle du jeu en appliquant une démarche bien pensée.